https://fr.book4you.org/book/11185403/7bb47b
"Faire progresser la démocratie." (p.7)
"
(p.12)
"
(p.13)
"
(pp.14-15)
"
(p.16)
"
(p.18)
"
(pp.21-22)
"
(p.23)
"
(p.24)
"
(p.27) condorcet européen
"
(p.31) l'acceptation de la division
"
(p.37) vide argumentatif
"
(p.42)
"
(p.44)
"
(p.55) guizot et le contrôle idéologique des profs de philo. citer bastiat sur thiers.
"
(p.56)
"
(p.64) antinomie classique passions / raison. Dans quelle mesure l'éloge de la raison est-il la traduction idéologique de la bienséance et de la respectabilité bourgeoise, et avant elle aristocratique (Norbert Elias) ;
"
(p.69) + ad populum de Ferry
"
(p.71)
"
(p.74)
"
(p.76)
"
(p.77)
"
(p.80)
"
(p.85) rien sur le vote des plein pouvoirs.
"
(p.90)
"
(p.98)
"
(p.100)
"Dès 1946, les socialistes ont été remis sous perfusion marxisto-guesdiste par Guy Mollet." (p.114)
"Dès 1948, la part des femmes et des hommes issus directement de la Résistance y était plus faible [...]
En 1950 une fronde "de gauche" a secoué la base MRP, Charles d'Aragon et l'abbé Pierre ont démissionné spectaculairement en regrettant que leur parti ait perdu ses "orientations populaires". [...] En 1955, Maurice-René Simonnet, en plein congrès de Marseille, a refusé que son MRP constitue l' "aile sociale de la majorité des bien-pensants". [...] De 100 000 militants actifs en 1947 le mouvement est passé à moins de 25 000 en 1950, avec moins de 15% des voix désormais aux élections." (pp.114-115)
"
(pp.117-118)
"
(p.120)
" [Les centristes de la IVème république] à défaut de renouveler assez le stock des idées et des valeurs centristes, ont persévéré sur la voie de la franche notabilité locale et ont cultivée l'art du rassemblement et du compromis raisonnable." (p.122)
"
(pp.125-128)
"
(p.143)
"
(p.153-154)
"
(pp.164-165)
"Nous ne concluons pas que "le" centre existe conceptuellement et relève de la pensée politique autant que "la" gauche ou "la droite" qui, elles, existent tout armées dans les têtes et les cœurs depuis les environs de 1900." (p.265)
"
(pp.275-276)
"Laisser respirer et s'épanouir une société toujours menacée par l'étatisme et rendue passive par des politiques de redistribution qui font fi de l'initiative et de la proximité." (p.281)
-Jean-Pierre Rioux, Les centristes. De Mirabeau à Bayrou, Fayard, 2011, 314 pages.
agiographie. Ose citer Aristote, Péguy et Albert Camus. Cite bcp François Furet.
"Le véritable choix n'est pas entre les idéaux. C'est le choix entre les moyens [...] Le mauvais choix des moyens est le seul véritable choix contre l'idéal. Choisir les moyens, n'est-ce pas exactement gouverner ?"
-Edgar Faure, cité dans Jean-Pierre Rioux, Les centristes. De Mirabeau à Bayrou, Fayard, 2011, 314 pages., p.128.
https://fr.book4you.org/book/12137054/621bf8
"Faire progresser la démocratie." (p.7)
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(p.12)
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(p.13)
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(pp.14-15)
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(p.16)
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(pp.21-22)
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(p.27) condorcet européen
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(p.31) l'acceptation de la division
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(p.37) vide argumentatif
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(p.55) guizot et le contrôle idéologique des profs de philo. citer bastiat sur thiers.
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(p.56)
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(p.64) antinomie classique passions / raison. Dans quelle mesure l'éloge de la raison est-il la traduction idéologique de la bienséance et de la respectabilité bourgeoise, et avant elle aristocratique (Norbert Elias) ;
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(p.69) + ad populum de Ferry
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(p.76)
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(p.85) rien sur le vote des plein pouvoirs.
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(p.98)
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(p.100)
"Dès 1946, les socialistes ont été remis sous perfusion marxisto-guesdiste par Guy Mollet." (p.114)
"Dès 1948, la part des femmes et des hommes issus directement de la Résistance y était plus faible [...]
En 1950 une fronde "de gauche" a secoué la base MRP, Charles d'Aragon et l'abbé Pierre ont démissionné spectaculairement en regrettant que leur parti ait perdu ses "orientations populaires". [...] En 1955, Maurice-René Simonnet, en plein congrès de Marseille, a refusé que son MRP constitue l' "aile sociale de la majorité des bien-pensants". [...] De 100 000 militants actifs en 1947 le mouvement est passé à moins de 25 000 en 1950, avec moins de 15% des voix désormais aux élections." (pp.114-115)
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(pp.117-118)
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(p.120)
" [Les centristes de la IVème république] à défaut de renouveler assez le stock des idées et des valeurs centristes, ont persévéré sur la voie de la franche notabilité locale et ont cultivée l'art du rassemblement et du compromis raisonnable." (p.122)
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(pp.125-128)
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(p.143)
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(p.153-154)
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(pp.164-165)
"Nous ne concluons pas que "le" centre existe conceptuellement et relève de la pensée politique autant que "la" gauche ou "la droite" qui, elles, existent tout armées dans les têtes et les cœurs depuis les environs de 1900." (p.265)
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(pp.275-276)
"Laisser respirer et s'épanouir une société toujours menacée par l'étatisme et rendue passive par des politiques de redistribution qui font fi de l'initiative et de la proximité." (p.281)
-Jean-Pierre Rioux, Les centristes. De Mirabeau à Bayrou, Fayard, 2011, 314 pages.
agiographie. Ose citer Aristote, Péguy et Albert Camus. Cite bcp François Furet.
"Le véritable choix n'est pas entre les idéaux. C'est le choix entre les moyens [...] Le mauvais choix des moyens est le seul véritable choix contre l'idéal. Choisir les moyens, n'est-ce pas exactement gouverner ?"
-Edgar Faure, cité dans Jean-Pierre Rioux, Les centristes. De Mirabeau à Bayrou, Fayard, 2011, 314 pages., p.128.
https://fr.book4you.org/book/12137054/621bf8