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"[L'économique] concerne l'emploi des ressources et la création des richesses." (p.3)
"Ce livre présente les quatre grandes problématiques élaborées depuis Adam Smith: elles ont en commun de proposer une interprétation du système capitaliste, fondé sur le salariat, mû par la recherche du gain privé, dans le cadre d'une organisation marchande des relations économiques. Économistes classiques et économistes néoclassiques partagent le point de vue libéral selon lequel la concurrence marchande est capable de coordonner les activités privées et de réaliser une allocation efficace des ressources. L'analyse du marché, des règles de l'échange occupe donc une place centrale dans ces théories. Pour Marx et Keynes, au contraire, le système capitaliste, loin d'être régulé au mieux par le marché, engendre nécessairement la crise et le chômage." (p.6)
" [Pour les classiques] L'enrichissement repose sur l'accumulation du "surplus".
Il est abordé d'un point de vue global, celui de la nation. La richesse, pour les classiques, est le flux des produits obtenus par le travail de la nation au cours d'une période, l'année par exemple. La production nécessite l'aide
(pp.8-10)
-Françoise Duboeuf, Introduction aux théories économiques, Paris, La Découverte, 1999, 121 pages.
"[L'économique] concerne l'emploi des ressources et la création des richesses." (p.3)
"Ce livre présente les quatre grandes problématiques élaborées depuis Adam Smith: elles ont en commun de proposer une interprétation du système capitaliste, fondé sur le salariat, mû par la recherche du gain privé, dans le cadre d'une organisation marchande des relations économiques. Économistes classiques et économistes néoclassiques partagent le point de vue libéral selon lequel la concurrence marchande est capable de coordonner les activités privées et de réaliser une allocation efficace des ressources. L'analyse du marché, des règles de l'échange occupe donc une place centrale dans ces théories. Pour Marx et Keynes, au contraire, le système capitaliste, loin d'être régulé au mieux par le marché, engendre nécessairement la crise et le chômage." (p.6)
" [Pour les classiques] L'enrichissement repose sur l'accumulation du "surplus".
Il est abordé d'un point de vue global, celui de la nation. La richesse, pour les classiques, est le flux des produits obtenus par le travail de la nation au cours d'une période, l'année par exemple. La production nécessite l'aide
(pp.8-10)
-Françoise Duboeuf, Introduction aux théories économiques, Paris, La Découverte, 1999, 121 pages.
