https://ia601405.us.archive.org/21/items/HitlerAndI_720/HitI.pdf
"J'avais quitté le Parti Socialiste et je cherchais encore ma voie." (p.2)
"N'avez-vous pas baptisé votre mouvement national-socialiste d'un seul mot, Herr Hilter ? La grammaire allemande nous apprend que dans une combinaison de mot de cette sorte le premier terme [national] sert à qualifier le second [socialisme], qui est le terme essentiel." (p.9)
"Je pense à mon vieux camarade Moeller van den Bruck, le Rousseau de la Révolution Allemande [...] avec lequel, immédiatement après le Traité de Versailles, j'ai fondé le Club de Juin dans le but de ressusciter l'Allemagne." (p.15)
"Jamais le proverbe sur la rencontre des extrêmes ne s'est avéré aussi valable que dans l'Allemagne d'après-Guerre." (p.24)
"Aucun future historien ne sera en mesure de comprendre et d'expliquer le présent Troisième Reich sans avoir lu Le Déclin de l'Occident de Spengler [...] et d'autres œuvres de la même nature. Parmi les plus intéressantes [...] La Révolution de Droite et Le Troisième Reich de mon ami Moeller van den Bruck, qui étaient de toutes les plus pures." (p.27)
"Spengler, qui déifiait le Prussianisme, eu une remarquable discussion avec Moeller van den Bruck, a une occasion, au Club de Juin, où nous avions organisés une rencontre entre ces deux grands esprits de l'époque. Le grand but de Spengler était de mettre le socialisme au service du Prussianisme. Ce que qu'à fait Hitler." (p.27)
"[Dans Mein Kampf], des réminiscences de Houston Chamberlain et Lagarde, deux auteurs dont les idées furent connues d'Hitler par l'intermédiaire de l'infortuné Dietrich Eckhart, étaient intercalées avec les délires antisémites de Streicher, incluant les croyances récentes sur les excès sexuels des Juifs, et les ingénieuses idées d'Hitler en matière de politique étrangère." (p.57)
"[Hitler] était profondément influencé par le paganisme germanique." (p.59)
"Au Congrès de Nuremberg de 1937 [Hitler] s'adressa à 20 milles femmes. Elles étaient vieilles et jeunes, laides et belles, mariées, célibataires ou veuves, amères et plein d'espoirs, inquiètes et esseulées, d'une morale respectable ou non. Hitler ne savait rien de la femme ou des femmes, et pourtant de ses lèvres surgirent une phrase qui provoqua un enthousiasme délirant:
"Que vous ai-je donné ? Que vous as donné le National-Socialisme ? Nous vous avons donné l'Homme !"
La réaction du public ne peut être décrite que comme orgiastique."
"Une fédération européenne, basée sur les mêmes principes que ceux de l'Allemagne fédérale, mènerai à une Europe désarmée, formant un bloc solide dans lequel chaque pays conserverait sa propre administration, ses propres coutumes et religions. L'abolition des barrières douanières créerai une grande Autarcie européenne, avec la prévalence du libre-échange sur le Continent." (p.82)
"Le temps du capitalisme est fini." (p.111)
-Otto Strasser, Hitler and I (1940).
"A la droite nous devons prendre le nationalisme, qui a été désastreusement allié au capitalisme, et à la gauche nous devons prendre le socialisme, qui a fait une malheureuse union avec l'internationalisme. Ainsi nous donnerons forme au national-socialisme qui sera la force motrice d'une nouvelle Allemagne et d'une nouvelle Europe." -Gregor Strasser, cité par Otto Strasser, Hitler and I (1940).
"Regardez le communiste juif qu'était Marx et le juif capitaliste qu'est Rathenau. Tout le mal vient des Juifs, qui polluent le monde."
"Un État fort verra si la production va dans le sens des intérêts nationaux, et, si elle contrevient à ces intérêts, pourra procéder à l'expropriation de l'entreprise concernée et prendre le contrôle de son administration."
-Hitler, cité par Otto Strasser, Hitler and I (1940).
"J'avais quitté le Parti Socialiste et je cherchais encore ma voie." (p.2)
"N'avez-vous pas baptisé votre mouvement national-socialiste d'un seul mot, Herr Hilter ? La grammaire allemande nous apprend que dans une combinaison de mot de cette sorte le premier terme [national] sert à qualifier le second [socialisme], qui est le terme essentiel." (p.9)
"Je pense à mon vieux camarade Moeller van den Bruck, le Rousseau de la Révolution Allemande [...] avec lequel, immédiatement après le Traité de Versailles, j'ai fondé le Club de Juin dans le but de ressusciter l'Allemagne." (p.15)
"Jamais le proverbe sur la rencontre des extrêmes ne s'est avéré aussi valable que dans l'Allemagne d'après-Guerre." (p.24)
"Aucun future historien ne sera en mesure de comprendre et d'expliquer le présent Troisième Reich sans avoir lu Le Déclin de l'Occident de Spengler [...] et d'autres œuvres de la même nature. Parmi les plus intéressantes [...] La Révolution de Droite et Le Troisième Reich de mon ami Moeller van den Bruck, qui étaient de toutes les plus pures." (p.27)
"Spengler, qui déifiait le Prussianisme, eu une remarquable discussion avec Moeller van den Bruck, a une occasion, au Club de Juin, où nous avions organisés une rencontre entre ces deux grands esprits de l'époque. Le grand but de Spengler était de mettre le socialisme au service du Prussianisme. Ce que qu'à fait Hitler." (p.27)
"[Dans Mein Kampf], des réminiscences de Houston Chamberlain et Lagarde, deux auteurs dont les idées furent connues d'Hitler par l'intermédiaire de l'infortuné Dietrich Eckhart, étaient intercalées avec les délires antisémites de Streicher, incluant les croyances récentes sur les excès sexuels des Juifs, et les ingénieuses idées d'Hitler en matière de politique étrangère." (p.57)
"[Hitler] était profondément influencé par le paganisme germanique." (p.59)
"Au Congrès de Nuremberg de 1937 [Hitler] s'adressa à 20 milles femmes. Elles étaient vieilles et jeunes, laides et belles, mariées, célibataires ou veuves, amères et plein d'espoirs, inquiètes et esseulées, d'une morale respectable ou non. Hitler ne savait rien de la femme ou des femmes, et pourtant de ses lèvres surgirent une phrase qui provoqua un enthousiasme délirant:
"Que vous ai-je donné ? Que vous as donné le National-Socialisme ? Nous vous avons donné l'Homme !"
La réaction du public ne peut être décrite que comme orgiastique."
"Une fédération européenne, basée sur les mêmes principes que ceux de l'Allemagne fédérale, mènerai à une Europe désarmée, formant un bloc solide dans lequel chaque pays conserverait sa propre administration, ses propres coutumes et religions. L'abolition des barrières douanières créerai une grande Autarcie européenne, avec la prévalence du libre-échange sur le Continent." (p.82)
"Le temps du capitalisme est fini." (p.111)
-Otto Strasser, Hitler and I (1940).
"A la droite nous devons prendre le nationalisme, qui a été désastreusement allié au capitalisme, et à la gauche nous devons prendre le socialisme, qui a fait une malheureuse union avec l'internationalisme. Ainsi nous donnerons forme au national-socialisme qui sera la force motrice d'une nouvelle Allemagne et d'une nouvelle Europe." -Gregor Strasser, cité par Otto Strasser, Hitler and I (1940).
"Regardez le communiste juif qu'était Marx et le juif capitaliste qu'est Rathenau. Tout le mal vient des Juifs, qui polluent le monde."
"Un État fort verra si la production va dans le sens des intérêts nationaux, et, si elle contrevient à ces intérêts, pourra procéder à l'expropriation de l'entreprise concernée et prendre le contrôle de son administration."
-Hitler, cité par Otto Strasser, Hitler and I (1940).