Lu sur Docti (http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/rousse-sujet_5808_1.htm ) :
Elle est une divine apparition
Sa flamboyante chevelure
La rend féline et lionne
Un regard profond
Baigné d’un vert intense
Hypnotise votre serviteur
Sa gracieuse silhouette
Grande et élancée
J’ai envie d’y déposer
Mes lèvres sur ses hanches
Blanche porcelaine
Sa peau est douce
Sous des caresses expertes
Elle frémit d’extase
La toison cuivrée
Accueille ma bouche
Luisants pétales
Frémissez sous ma langue
Elle chante
Ma rousse Fée
Ses gémissements
Sont une douce mélodie
Son iodé parfum
Enivre mes sens
Son nectar inonde ma langue
Quel délice de la boire
Elle se pâme sous ma bouche
S’abandonne au Merveilleux
Elle crie sa joie interminablement
Soudain une blanche main s’accroche ma hampe
Elle palpite entre ses fins doigts
La belle n’en a cure,
La gaule coulisse divinement entre eux
La Fée s’avance gaillardement
Son visage se tend vers l’objet tant désiré
Le dôme violet caresse ses joues
Sa rousse crinière frôle la tige de chair
Je frémis, mon ventre se crispe
Sa langue rose lape sa friandise
Le souffle chaud de ma Fée, sur mon ventre
Je me laisse aller à sa bouche
Ses lèvres s’entrouvrent, ses dents blanches raclent
Sur la fine peau du membre raide de désir pour elle
Ma Fée, les joues creusées, me tète lentement
Pour m’avaler progressivement au fond de sa gorge chaude
Profonde elle est, avalant la hampe avec délice
Son petit nez aux taches de rousseur vient cogner
Contre mon pubis velu
La coquine aspire, lèvres soudées au pieu
Sa langue me plaque, ses dents mordillent, ses yeux brillent
D’un feu d’amour aux couleurs d’émeraude
La rousse Fée me sent palpiter, je gémis d’aise
Sous sa gourmande bouche
Mes doigts se crispent sur les draps de satin
Le bonheur est proche, elle me sent tressauter
Tendues et gonflées, les veines bleutées reflètent mon envie
Les doigts coquins de ma flamboyante amante
Enserrent tendrement mes bourses
Le nectar est proche, la Fée le sait, elle attend ce moment
Pour boire son mâle, s’abreuver à lui pour aspirer son âme
Un cri
La lave jaillit au fond de la magique gorge
Le garçon se tord, la Fée soudée à lui
Il hurle sa joie, elle accroît sa succion
Pour ne perdre aucune goutte de son âme
Plus tard elle le sait, il viendra la couvrir
Sa hampe en elle, la jouissance viendra.
Elle est une divine apparition
Sa flamboyante chevelure
La rend féline et lionne
Un regard profond
Baigné d’un vert intense
Hypnotise votre serviteur
Sa gracieuse silhouette
Grande et élancée
J’ai envie d’y déposer
Mes lèvres sur ses hanches
Blanche porcelaine
Sa peau est douce
Sous des caresses expertes
Elle frémit d’extase
La toison cuivrée
Accueille ma bouche
Luisants pétales
Frémissez sous ma langue
Elle chante
Ma rousse Fée
Ses gémissements
Sont une douce mélodie
Son iodé parfum
Enivre mes sens
Son nectar inonde ma langue
Quel délice de la boire
Elle se pâme sous ma bouche
S’abandonne au Merveilleux
Elle crie sa joie interminablement
Soudain une blanche main s’accroche ma hampe
Elle palpite entre ses fins doigts
La belle n’en a cure,
La gaule coulisse divinement entre eux
La Fée s’avance gaillardement
Son visage se tend vers l’objet tant désiré
Le dôme violet caresse ses joues
Sa rousse crinière frôle la tige de chair
Je frémis, mon ventre se crispe
Sa langue rose lape sa friandise
Le souffle chaud de ma Fée, sur mon ventre
Je me laisse aller à sa bouche
Ses lèvres s’entrouvrent, ses dents blanches raclent
Sur la fine peau du membre raide de désir pour elle
Ma Fée, les joues creusées, me tète lentement
Pour m’avaler progressivement au fond de sa gorge chaude
Profonde elle est, avalant la hampe avec délice
Son petit nez aux taches de rousseur vient cogner
Contre mon pubis velu
La coquine aspire, lèvres soudées au pieu
Sa langue me plaque, ses dents mordillent, ses yeux brillent
D’un feu d’amour aux couleurs d’émeraude
La rousse Fée me sent palpiter, je gémis d’aise
Sous sa gourmande bouche
Mes doigts se crispent sur les draps de satin
Le bonheur est proche, elle me sent tressauter
Tendues et gonflées, les veines bleutées reflètent mon envie
Les doigts coquins de ma flamboyante amante
Enserrent tendrement mes bourses
Le nectar est proche, la Fée le sait, elle attend ce moment
Pour boire son mâle, s’abreuver à lui pour aspirer son âme
Un cri
La lave jaillit au fond de la magique gorge
Le garçon se tord, la Fée soudée à lui
Il hurle sa joie, elle accroît sa succion
Pour ne perdre aucune goutte de son âme
Plus tard elle le sait, il viendra la couvrir
Sa hampe en elle, la jouissance viendra.