"
(p.VII)
"
(p.VIII)
"
(p.XI-XIII)
"
(p.XIV)
"
(p.XVII)
"
(p.XVIII)
"Le roman capte ainsi les discours aux formes et aux contenus les plus divers, en les laissant côte à côte (ou face à face), sans chercher à les unifier: aucune voix qui serait dotée du savoir de la vérité ne les surplombe." (p.XIX)
"Comme les autres, l'intellectuel est englué dans la léthargie ou le pathos impuissant." (p.XXII)
"Une révolution allemande, c'est une révolution qui n'a pas eu lieu. [...] Non seulement les "journées" révolutionnaires sont prises dans le chapelet ordinaire des jours ordinaires mais les grandes journées initiales, celles du soulèvement de marins de Kiel le 3 novembre 1918 et de la révolution à Berlin le 9 novembre, sont pratiquement effacées." (pp.XXII-XXIII)
"
(pp.XXV-XXVI)
"
(p.XXVII)
"Le dialogue a un rôle d'élucidation ; il est lié à une exigence fondamentale : faire la clarté ; il s'agit de mettre au point, dans l'interaction, sa propre pensée." (p.XXIX)
"
(pp.XXX-XXXI)
" Karl et Rosa [a] été écrit entre février 1942 et le printemps de 1943, donc après la conversion formelle de Döblin au catholicisme et le baptême dans la Blessed Sacrament Church de Hollywood le 30 novembre 1941." (p.XXXIII)
"
(p.XXXIX)
-Michel Vanoosthuyse, préface à Alfred Döblin, Novembre 1918. Une révolution allemande, tome 1 "Bourgeois & soldats", Agone, 2009 (1939 pour la première édition hollandaise), 420 pages.