https://www.contrepoints.org/2017/04/10/286487-renaissance-parti-libertarien-francais
"Pour que vive la liberté.
Après quelques problèmes administratifs et internes qui nous ont empêchés de participer aux échéances présentes, nous sommes heureux de pouvoir vous annoncer le retour de notre mouvement sur l’échiquier politique français. Notre ambition est claire : nous souhaitons peser sur les débats politiques de demain, à l’image des 18 autres partis libertariens dont le LP américain, avec qui nous participons à l’Alliance Internationale des Partis Libertariens (IALP).
En effet, depuis plusieurs mois, une équipe extrêmement motivée menée par Guilhem d’Urbal (ex président et fondateur de SFL Aix-Marseille) travaille à remettre sur pied le parti avec une ligne précise, une organisation cohérente et des propositions concrètes. Notre volonté est de faire entendre les idées libertariennes, sans compromis, ni compromission dans le débat public.
Notre constat
Notre constat est le même que la majorité des Français : le poids de l’État et son périmètre d’action ne cessent d’augmenter, entravant toujours plus nos libertés, avec les résultats catastrophiques que tout le monde constate.
Nous sommes également face à une inflation législative extrêmement préoccupante, l’accumulation de normes, de réglementations et de lois rendent le système incompréhensible pour la majorité des Français et impraticable pour les entrepreneurs.
Au-delà des conséquences dramatiques d’une telle intrusion de l’État dans la vie des individus, ce dernier, en voulant réguler chaque aspect de notre quotidien, va au-delà de ses prérogatives et viole notre droit fondamental à gérer notre vie comme bon nous semble.
En plus de son omniprésence opérationnelle et réglementaire, l’État asphyxie la société par une fiscalité punitive et confiscatoire.
Cette fiscalité hors norme paralyse l’économie et augmente la pauvreté. Nous arrivons à un stade où les seules professions qui s’en sortent sont celles qui bénéficient de privilèges spéciaux ou de monopoles légaux.
Malgré ce constat alarmant, la totalité des partis présents sur l’échiquier politique ne savent rien proposer d’autre que de nouvelles réglementations, de nouvelles violations de nos vies privées, de nouvelles taxes, etc …
Notre vision
Sans garde-fou, l’expansion de l’État est sans limite. Il est urgent d’agir !
Il faut replacer l’État sur ses prérogatives historiques qui sont la protection de nos droits, supprimer toutes les réglementations inutiles ou illégitimes et réduire drastiquement la fiscalité afin de rendre leur liberté aux individus, restaurer l’égalité en droit et rétablir un système propice à la prospérité.
Nous prenons donc part au jeu politique et démocratique non pas pour proposer une énième manière d’administrer la vie des gens mais bien pour leur restituer leurs libertés individuelles, civiles et économiques.
Nous savons que liberté rime avec prospérité et que rien de positif ne peut émerger d’une planification centralisée.
Nous sommes libertariens et nous considérons que c’est aux individus libres d’écrire leur histoire.
Nous faisons nôtre l’article 2 de la DDHC qui stipule que le but de toute organisation politique est la défense de nos droits naturels. Toutes les actions politiques sortant de ce cadre précis sont par nature une violation des droits de l’homme.
Article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 :
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
Nos engagements
Nos engagements s’articulent autour de trois thèmes centraux :
Le poids de l’État :
Recentrer l’État sur ses fonctions régaliennes et la défense des droits naturels.
Ouverture à la concurrence et retrait progressif de l’état des secteurs autres que régaliens.
Diminution du nombre de ministères et d’élus ainsi que suppression des agences, observatoires ou comités en tout genre.
Garantir la protection de la vie privée et fin des politiques de surveillance de masse.
Autonomie accrue des collectivités territoriales et promotion du principe de subsidiarité.
Politique militaire non interventionniste, déclaration de neutralité dans les conflits internationaux et retrait des troupes à l’étranger.
Le poids des normes :
Garantir une totale liberté de conscience et d’expression, fin des outils de censure.
Le consentement entre adultes capables vaut loi, fin des crimes et délits sans victimes.
Simplification législative et normative, suppression des codes et des normes inutiles ou qui contreviennent au principe de non-agression.
Alignement des statuts public et privé, fin de tous les privilèges spéciaux et de tous les monopoles légaux.
Retour à un principe de responsabilité et au droit des contrats.
Le poids de la fiscalité :
Suppression de tous les impôts, subventions et niches fiscales.
Instauration d’une « Flat tax » nationale et locale sur les revenus.
Versement du salaire complet et liberté d’affiliation aux régimes de Sécurité sociale.
Conscients qu’en matière politique, le chemin vers la liberté sera long et le travail à fournir colossal, nous invitons toutes les bonnes volontés à venir nous soutenir et participer à la création d’un avenir meilleur."
-La renaissance du Parti Libertarien Français, www.contrepoints.org, 10 avril 2017.
http://www.partilibertarien.fr/
https://twitter.com/LibertariensFR?lang=fr
L'URSSAF EST VOTRE AMIE: https://www.lurssafestvotreamie.com/
https://www.wikiberal.org/wiki/Parti_Libertarien_Fran%C3%A7ais
"32 façons de promouvoir les idées libertariennes et le Parti libertarien français
Soyez ouvert, amical et courtois en présentant vos idées. Évitez toute trace de fanatisme ou d'infaillibilité. Soyez humbles. Si les autres ne sont pas d'accord avec vous, ne les traitez pas comme des imbéciles, des personnes stupides ou mauvaises. Les idées libertariennes sont radicales et choquantes lors d'une première rencontre. La plupart des gens ont besoin de temps pour les "digérer".
Créer des affiches et des tracts afin d’organiser des sessions d'affichage et de tracting dans les universités ou dans la rue.
Création de contenus à diffuser sur les réseaux sociaux et les différents médias (articles, podcats, visuels, vidéos, etc …).
Est-ce qu'un(e) ami(e) étudie un sujet spécifique : en science politique, en économie, en philosophie, en droit, en psychologie ? Recommandez lui un livre donnant une perspective libertarienne.
Si vous avez lu un commentaire favorable sur un livre libertarien, surtout s'il s'agit d'un journal professionnel, numérisez en une copie et distribuez la à des amis qui pourraient être intéressés pour un examen, une étude ou une recherche professionnelle.
Ecrivez une lettre par semaine à un journal, en donnant un point de vue libertarien sur certains problèmes publics. Il sera généralement publié s'il est court, topique et clairement pas "irritable". Restez pratique et précis.
Les bibliothèques universitaires répondent habituellement favorablement aux demandes des enseignants pour de nouvelles acquisitions. Demandez régulièrement des titres libéraux si vous faites des études à la Faculté ou demandez à un membre du corps professoral (sympa) de le faire, si vous êtes étudiant.
Devez-vous rendre un devoir à une date déterminée ? Choisissez un sujet qui vous permettra de lire dans des sources libertariennes et développez une analyse libertarienne du sujet.
De nombreux livres libertariens sont maintenant disponibles dans des éditions économiques. Donnez à votre librairie locale une liste de titres et suggérez lui qu'il les stocke. Pour l'encourager, donnez-lui le catalogue de l'éditeur.
Rappelez-vous qu'un libertarien n'a pas toutes les réponses ! Vous pouvez apprendre en écoutant ou en regardant les autres libertariens sur Youtube ou Dailymotion.
La plupart des collèges, lycées ou universités ont des sociétés littéraires. Si cela vous plaît, rejoignez la société littéraire de votre choix. Vous pouvez ensuite participer à des discussions, jouer un rôle dans la sélection des conférenciers invités, et même apporter des poèmes, des histoires courtes et des critiques à son journal. Les personnes littéraires sont généralement très sensibles à la nécessité d'une véritable liberté et elles sont un bon public pour les idées libertariennes.
Dans de nombreux lycées et universités, le journal étudiant n'est pas pleinement utilisé par le corps étudiant. Les rédacteurs ne sont généralement pas en mesure d'effectuer des contributions originales sur le long terme. Envoyez un commentaire du livre que vous avez lu, du film que vous avez vu, de la musique que vous avez écoutée en écrivant votre texte sous l'angle libertarien. Faites une analyse de certains problèmes locaux d'un point de vue libertarien. Mieux encore, rejoignez l'équipe.
Avez-vous trouvé quelques âmes sympathiques intéressées par une étude approfondie des idées libertariennes ? Formez un club d'étude sur le campus ou dans votre ville et travaillez sur un programme de conférenciers à inviter.
Avez-vous déjà recommandé un livre à votre professeur ? Pourquoi pas ? Lui, il n'hésite pas à vous en préconiser ! Et à votre collègue de travail ? Dites-lui que vous souhaitez en discuter avec lui/elle après qu'il l'ait lu. L'audace vous amènera loin.
Les administrateurs de la plupart des universités lisent habituellement le journal étudiant. Toute critique fortement et habilement formulée devrait attirer leur attention et provoquer des questionnements. Si le département d'économie exclut les textes sur le libre-échange ou sur l'école autrichienne d'économie de ses listes de lecture, formulez ouvertement la question : "Pourquoi ?"
Un libertarien n'est pas un brûleur de livres ou un chasseur de sorcières. Mais il a certainement le droit de savoir pourquoi un département des sciences politiques ignore l'anarchisme individualiste dans les cours sur la théorie politique; ou l'école autrichienne dans les cours sur la théorie économique; ou les contributions de Montesquieu, Bastiat, Turgot, Guizot, Tocqueville ou Constant à l'histoire intellectuelle française. Une lettre polie mais d'enquête auprès du professeur ou au département concerné pourrait changer les choses.
Montez une association d'échange de livres d'occasion sur le thème du libre marché. Et expliquez pourquoi vous le faites !
Si vous êtes étudiant et que l'on vous a demandé de lire certains livres, alors préparez une offre concurrente complémentaire avec une autre liste de lecture pour les cours requis. Distribuez votre offre à tous les publics (clients) « captifs ». Au besoin , sollicitez l'aide d'un enseignant ou d'une personne plus expérimentée en bibliographie libertarienne.
Si vos moyens financiers vous le permettent, souscrivez un double abonnement à un journal ou à une revue "libertarienne", ou à défaut "libérale", gardez un numéro pour vous et donnez un exemplaire en cadeau à votre bibliothèque locale.
Fabriquez ou obtenez un calendrier libertarien personnalisé comme celui-ci:
Calendrier-juin.png
Célébrez les commémorations et les anniversaires libertariens en diffusant, autour de vous et sur les réseaux sociaux, votre calendrier libertarien personnalisé.
Organisez une fête de célébration et donnez à vos invités une documentation sur l'invité ou sur l'événement honoré. Par exemple, le 5 décembre, "jour de l'abrogation", faites sauter les bouchons de champagne en l'honneur de la fin de la prohibition aux Etats-Unis en 1933. Le 16 décembre, célébrez l'anniversaire du premier "Boston Tea Party" (1773) ou le 30 juin fêtez l'anniversaire de la naissance de Frédéric Bastiat, etc.
Est-ce que votre faculté, votre quartier ou votre commune possède un ciné-club ? Dans l'affirmative, demandez aux responsables de diffuser des films qui servent de stimulant pour une discussion avec des points de vue libertariens. Sinon, pourquoi ne formez-vous pas un groupe d'amateurs de film ? Et, utilisez le à des fins de promotion des œuvres cinématographiques libertariennes.
Certaines grandes écoles et facultés ont des séries de conférences dirigées par des étudiants, souvent avec des sommes importantes pour financer l'invitation de conférenciers. Essayez de vous impliquer dans le bureau des étudiants afin de promouvoir l'invitation d'un conférencier libertarien.
Dans votre agenda, notez les prochaines conférences qui auront lieu dans votre quartier ou près de chez vous. Renseignez-vous sur le conférencier. Si celui-ci est farouchement anti-libertarien ou simplement interventionniste, étudiez bien à l'avance ses opinions. Faites comme s'il s'agissait de votre propre débatteur. Observez ses points faibles ou faites-vous aider d'un libertarien plus aguerri via votre réseau social. Lors de la conférence, posez-lui des questions qui révéleront votre connaissance de son travail et de votre expertise sur le sujet. Particulièrement, mettez en valeur les conséquences de ses erreurs devant tout le public.
Rédiger et adresser aux journalistes régulièrement des communiqués de presse présentant une vision libertarienne sur les sujets d’actualité.
Effectuer des mailings réguliers aux professeurs et assistants en science politique pour présenter les positions libertariennes.
Établir une liste des faiseurs d'opinion et des influents afin de communiquer régulièrement avec eux et entretenir un lien.
Etablir un fichier des associations « amies » par thématique sociétale (armes, prostitution, drogues, …) et maintenir des liens étroits en leur expliquant la vision libertarienne sur ces sujets sociétaux.
Etablir un fichier par branches professionnelles et prendre contact avec eux pour leur expliquer les bénéfices de la vision libertarienne sur leur métier.
Appeler les émissions de radios libres afin de diffuser une opinion libertarienne sur les sujets d’actualité.
Organiser une présence visible durant les manifestations (pour ou contre manifestants suivant le cas), avec des slogans et des affiches présentant le point de vue libertarien."
***
https://www.partiliberal.fr/single-post/pourquoi-le-plib-change-de-nom
"Pour que vive la liberté.
Après quelques problèmes administratifs et internes qui nous ont empêchés de participer aux échéances présentes, nous sommes heureux de pouvoir vous annoncer le retour de notre mouvement sur l’échiquier politique français. Notre ambition est claire : nous souhaitons peser sur les débats politiques de demain, à l’image des 18 autres partis libertariens dont le LP américain, avec qui nous participons à l’Alliance Internationale des Partis Libertariens (IALP).
En effet, depuis plusieurs mois, une équipe extrêmement motivée menée par Guilhem d’Urbal (ex président et fondateur de SFL Aix-Marseille) travaille à remettre sur pied le parti avec une ligne précise, une organisation cohérente et des propositions concrètes. Notre volonté est de faire entendre les idées libertariennes, sans compromis, ni compromission dans le débat public.
Notre constat
Notre constat est le même que la majorité des Français : le poids de l’État et son périmètre d’action ne cessent d’augmenter, entravant toujours plus nos libertés, avec les résultats catastrophiques que tout le monde constate.
Nous sommes également face à une inflation législative extrêmement préoccupante, l’accumulation de normes, de réglementations et de lois rendent le système incompréhensible pour la majorité des Français et impraticable pour les entrepreneurs.
Au-delà des conséquences dramatiques d’une telle intrusion de l’État dans la vie des individus, ce dernier, en voulant réguler chaque aspect de notre quotidien, va au-delà de ses prérogatives et viole notre droit fondamental à gérer notre vie comme bon nous semble.
En plus de son omniprésence opérationnelle et réglementaire, l’État asphyxie la société par une fiscalité punitive et confiscatoire.
Cette fiscalité hors norme paralyse l’économie et augmente la pauvreté. Nous arrivons à un stade où les seules professions qui s’en sortent sont celles qui bénéficient de privilèges spéciaux ou de monopoles légaux.
Malgré ce constat alarmant, la totalité des partis présents sur l’échiquier politique ne savent rien proposer d’autre que de nouvelles réglementations, de nouvelles violations de nos vies privées, de nouvelles taxes, etc …
Notre vision
Sans garde-fou, l’expansion de l’État est sans limite. Il est urgent d’agir !
Il faut replacer l’État sur ses prérogatives historiques qui sont la protection de nos droits, supprimer toutes les réglementations inutiles ou illégitimes et réduire drastiquement la fiscalité afin de rendre leur liberté aux individus, restaurer l’égalité en droit et rétablir un système propice à la prospérité.
Nous prenons donc part au jeu politique et démocratique non pas pour proposer une énième manière d’administrer la vie des gens mais bien pour leur restituer leurs libertés individuelles, civiles et économiques.
Nous savons que liberté rime avec prospérité et que rien de positif ne peut émerger d’une planification centralisée.
Nous sommes libertariens et nous considérons que c’est aux individus libres d’écrire leur histoire.
Nous faisons nôtre l’article 2 de la DDHC qui stipule que le but de toute organisation politique est la défense de nos droits naturels. Toutes les actions politiques sortant de ce cadre précis sont par nature une violation des droits de l’homme.
Article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 :
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
Nos engagements
Nos engagements s’articulent autour de trois thèmes centraux :
Le poids de l’État :
Recentrer l’État sur ses fonctions régaliennes et la défense des droits naturels.
Ouverture à la concurrence et retrait progressif de l’état des secteurs autres que régaliens.
Diminution du nombre de ministères et d’élus ainsi que suppression des agences, observatoires ou comités en tout genre.
Garantir la protection de la vie privée et fin des politiques de surveillance de masse.
Autonomie accrue des collectivités territoriales et promotion du principe de subsidiarité.
Politique militaire non interventionniste, déclaration de neutralité dans les conflits internationaux et retrait des troupes à l’étranger.
Le poids des normes :
Garantir une totale liberté de conscience et d’expression, fin des outils de censure.
Le consentement entre adultes capables vaut loi, fin des crimes et délits sans victimes.
Simplification législative et normative, suppression des codes et des normes inutiles ou qui contreviennent au principe de non-agression.
Alignement des statuts public et privé, fin de tous les privilèges spéciaux et de tous les monopoles légaux.
Retour à un principe de responsabilité et au droit des contrats.
Le poids de la fiscalité :
Suppression de tous les impôts, subventions et niches fiscales.
Instauration d’une « Flat tax » nationale et locale sur les revenus.
Versement du salaire complet et liberté d’affiliation aux régimes de Sécurité sociale.
Conscients qu’en matière politique, le chemin vers la liberté sera long et le travail à fournir colossal, nous invitons toutes les bonnes volontés à venir nous soutenir et participer à la création d’un avenir meilleur."
-La renaissance du Parti Libertarien Français, www.contrepoints.org, 10 avril 2017.
http://www.partilibertarien.fr/
https://twitter.com/LibertariensFR?lang=fr
L'URSSAF EST VOTRE AMIE: https://www.lurssafestvotreamie.com/
https://www.wikiberal.org/wiki/Parti_Libertarien_Fran%C3%A7ais
"32 façons de promouvoir les idées libertariennes et le Parti libertarien français
Soyez ouvert, amical et courtois en présentant vos idées. Évitez toute trace de fanatisme ou d'infaillibilité. Soyez humbles. Si les autres ne sont pas d'accord avec vous, ne les traitez pas comme des imbéciles, des personnes stupides ou mauvaises. Les idées libertariennes sont radicales et choquantes lors d'une première rencontre. La plupart des gens ont besoin de temps pour les "digérer".
Créer des affiches et des tracts afin d’organiser des sessions d'affichage et de tracting dans les universités ou dans la rue.
Création de contenus à diffuser sur les réseaux sociaux et les différents médias (articles, podcats, visuels, vidéos, etc …).
Est-ce qu'un(e) ami(e) étudie un sujet spécifique : en science politique, en économie, en philosophie, en droit, en psychologie ? Recommandez lui un livre donnant une perspective libertarienne.
Si vous avez lu un commentaire favorable sur un livre libertarien, surtout s'il s'agit d'un journal professionnel, numérisez en une copie et distribuez la à des amis qui pourraient être intéressés pour un examen, une étude ou une recherche professionnelle.
Ecrivez une lettre par semaine à un journal, en donnant un point de vue libertarien sur certains problèmes publics. Il sera généralement publié s'il est court, topique et clairement pas "irritable". Restez pratique et précis.
Les bibliothèques universitaires répondent habituellement favorablement aux demandes des enseignants pour de nouvelles acquisitions. Demandez régulièrement des titres libéraux si vous faites des études à la Faculté ou demandez à un membre du corps professoral (sympa) de le faire, si vous êtes étudiant.
Devez-vous rendre un devoir à une date déterminée ? Choisissez un sujet qui vous permettra de lire dans des sources libertariennes et développez une analyse libertarienne du sujet.
De nombreux livres libertariens sont maintenant disponibles dans des éditions économiques. Donnez à votre librairie locale une liste de titres et suggérez lui qu'il les stocke. Pour l'encourager, donnez-lui le catalogue de l'éditeur.
Rappelez-vous qu'un libertarien n'a pas toutes les réponses ! Vous pouvez apprendre en écoutant ou en regardant les autres libertariens sur Youtube ou Dailymotion.
La plupart des collèges, lycées ou universités ont des sociétés littéraires. Si cela vous plaît, rejoignez la société littéraire de votre choix. Vous pouvez ensuite participer à des discussions, jouer un rôle dans la sélection des conférenciers invités, et même apporter des poèmes, des histoires courtes et des critiques à son journal. Les personnes littéraires sont généralement très sensibles à la nécessité d'une véritable liberté et elles sont un bon public pour les idées libertariennes.
Dans de nombreux lycées et universités, le journal étudiant n'est pas pleinement utilisé par le corps étudiant. Les rédacteurs ne sont généralement pas en mesure d'effectuer des contributions originales sur le long terme. Envoyez un commentaire du livre que vous avez lu, du film que vous avez vu, de la musique que vous avez écoutée en écrivant votre texte sous l'angle libertarien. Faites une analyse de certains problèmes locaux d'un point de vue libertarien. Mieux encore, rejoignez l'équipe.
Avez-vous trouvé quelques âmes sympathiques intéressées par une étude approfondie des idées libertariennes ? Formez un club d'étude sur le campus ou dans votre ville et travaillez sur un programme de conférenciers à inviter.
Avez-vous déjà recommandé un livre à votre professeur ? Pourquoi pas ? Lui, il n'hésite pas à vous en préconiser ! Et à votre collègue de travail ? Dites-lui que vous souhaitez en discuter avec lui/elle après qu'il l'ait lu. L'audace vous amènera loin.
Les administrateurs de la plupart des universités lisent habituellement le journal étudiant. Toute critique fortement et habilement formulée devrait attirer leur attention et provoquer des questionnements. Si le département d'économie exclut les textes sur le libre-échange ou sur l'école autrichienne d'économie de ses listes de lecture, formulez ouvertement la question : "Pourquoi ?"
Un libertarien n'est pas un brûleur de livres ou un chasseur de sorcières. Mais il a certainement le droit de savoir pourquoi un département des sciences politiques ignore l'anarchisme individualiste dans les cours sur la théorie politique; ou l'école autrichienne dans les cours sur la théorie économique; ou les contributions de Montesquieu, Bastiat, Turgot, Guizot, Tocqueville ou Constant à l'histoire intellectuelle française. Une lettre polie mais d'enquête auprès du professeur ou au département concerné pourrait changer les choses.
Montez une association d'échange de livres d'occasion sur le thème du libre marché. Et expliquez pourquoi vous le faites !
Si vous êtes étudiant et que l'on vous a demandé de lire certains livres, alors préparez une offre concurrente complémentaire avec une autre liste de lecture pour les cours requis. Distribuez votre offre à tous les publics (clients) « captifs ». Au besoin , sollicitez l'aide d'un enseignant ou d'une personne plus expérimentée en bibliographie libertarienne.
Si vos moyens financiers vous le permettent, souscrivez un double abonnement à un journal ou à une revue "libertarienne", ou à défaut "libérale", gardez un numéro pour vous et donnez un exemplaire en cadeau à votre bibliothèque locale.
Fabriquez ou obtenez un calendrier libertarien personnalisé comme celui-ci:
Calendrier-juin.png
Célébrez les commémorations et les anniversaires libertariens en diffusant, autour de vous et sur les réseaux sociaux, votre calendrier libertarien personnalisé.
Organisez une fête de célébration et donnez à vos invités une documentation sur l'invité ou sur l'événement honoré. Par exemple, le 5 décembre, "jour de l'abrogation", faites sauter les bouchons de champagne en l'honneur de la fin de la prohibition aux Etats-Unis en 1933. Le 16 décembre, célébrez l'anniversaire du premier "Boston Tea Party" (1773) ou le 30 juin fêtez l'anniversaire de la naissance de Frédéric Bastiat, etc.
Est-ce que votre faculté, votre quartier ou votre commune possède un ciné-club ? Dans l'affirmative, demandez aux responsables de diffuser des films qui servent de stimulant pour une discussion avec des points de vue libertariens. Sinon, pourquoi ne formez-vous pas un groupe d'amateurs de film ? Et, utilisez le à des fins de promotion des œuvres cinématographiques libertariennes.
Certaines grandes écoles et facultés ont des séries de conférences dirigées par des étudiants, souvent avec des sommes importantes pour financer l'invitation de conférenciers. Essayez de vous impliquer dans le bureau des étudiants afin de promouvoir l'invitation d'un conférencier libertarien.
Dans votre agenda, notez les prochaines conférences qui auront lieu dans votre quartier ou près de chez vous. Renseignez-vous sur le conférencier. Si celui-ci est farouchement anti-libertarien ou simplement interventionniste, étudiez bien à l'avance ses opinions. Faites comme s'il s'agissait de votre propre débatteur. Observez ses points faibles ou faites-vous aider d'un libertarien plus aguerri via votre réseau social. Lors de la conférence, posez-lui des questions qui révéleront votre connaissance de son travail et de votre expertise sur le sujet. Particulièrement, mettez en valeur les conséquences de ses erreurs devant tout le public.
Rédiger et adresser aux journalistes régulièrement des communiqués de presse présentant une vision libertarienne sur les sujets d’actualité.
Effectuer des mailings réguliers aux professeurs et assistants en science politique pour présenter les positions libertariennes.
Établir une liste des faiseurs d'opinion et des influents afin de communiquer régulièrement avec eux et entretenir un lien.
Etablir un fichier des associations « amies » par thématique sociétale (armes, prostitution, drogues, …) et maintenir des liens étroits en leur expliquant la vision libertarienne sur ces sujets sociétaux.
Etablir un fichier par branches professionnelles et prendre contact avec eux pour leur expliquer les bénéfices de la vision libertarienne sur leur métier.
Appeler les émissions de radios libres afin de diffuser une opinion libertarienne sur les sujets d’actualité.
Organiser une présence visible durant les manifestations (pour ou contre manifestants suivant le cas), avec des slogans et des affiches présentant le point de vue libertarien."
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Dernière édition par Johnathan R. Razorback le Ven 9 Oct - 9:43, édité 1 fois