"Une légende, rapportée par Machiavel avec la libre indécence qui convenait à l'auteur de la Mandragola, montre Catherine Sforza répondant, à ses ennemis qui la menaçaient de tuer ses fils tombés entre leurs mains, si elle persistait à se défendre : « Eh, tuez-les, j'en ai plein le ventre ! » Si la parole n'est pas vraie, Catherine était femme à la prononcer et à la tenir. Ce fut le dernier de ses fils, ce fut Jean, qui fit tressaillir dans ses entrailles de guerrière tout le sang des Sforza."
-Pierre Gauthiez, Jean des Bandes Noires, 1901.
https://archive.org/stream/jeandesbandesnoi00gautuoft/jeandesbandesnoi00gautuoft_djvu.txt
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_des_Bandes_Noires
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/5c/Gbnere_pace_1.jpg
-Pierre Gauthiez, Jean des Bandes Noires, 1901.
https://archive.org/stream/jeandesbandesnoi00gautuoft/jeandesbandesnoi00gautuoft_djvu.txt
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