https://books.google.fr/books?id=NDa3eHUDUDYC&pg=PT62&lpg=PT62&dq=soci%C3%A9t%C3%A9+sans+imp%C3%B4ts+th%C3%A9orie&source=bl&ots=snoEbzMJFf&sig=LvGAJ-SnnDjm-s7WgbXhmsFUfD4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwi0yZ7NwvbZAhVG6RQKHU5fD304HhDoAQhcMAg#v=onepage&q=soci%C3%A9t%C3%A9%20sans%20imp%C3%B4ts%20th%C3%A9orie&f=false
"La part de l'impôt dans le produit intérieur brut (PIB), proche de 10% un peu partout avant la Première Guerre mondiale, s'élève en moyenne à 35% dans les pays de l'OCDE en 2007, allant de 28.3% pour les Etats-Unis à 48.7% pour le Danemark. [...]
La France n'a pas échappé à cette évolution, avec un taux égal à 43.5% du PIB en 2007, contre 8 à 10% en 1900, soit une multiplication par quatre en un siècle. Les statistiques semblent donc indiquer une formidable et irrésistible ascension du pouvoir de l'Etat fiscal, corollaire de la démultiplication de ses missions et interventions dans la vie sociale."
-Nicolas Delalande, Les Batailles de l'impôt. Consentement et résistances de 1789 à nos jours, Éditions du Seuil, 2011.
"La part de l'impôt dans le produit intérieur brut (PIB), proche de 10% un peu partout avant la Première Guerre mondiale, s'élève en moyenne à 35% dans les pays de l'OCDE en 2007, allant de 28.3% pour les Etats-Unis à 48.7% pour le Danemark. [...]
La France n'a pas échappé à cette évolution, avec un taux égal à 43.5% du PIB en 2007, contre 8 à 10% en 1900, soit une multiplication par quatre en un siècle. Les statistiques semblent donc indiquer une formidable et irrésistible ascension du pouvoir de l'Etat fiscal, corollaire de la démultiplication de ses missions et interventions dans la vie sociale."
-Nicolas Delalande, Les Batailles de l'impôt. Consentement et résistances de 1789 à nos jours, Éditions du Seuil, 2011.