Les chrétiens persécuteurs.
Barbarie et superstitions. Le christianisme contre la philosophie et la science.
Les supplices de Giordano Bruno et Giulio Cesare Vanini.
Le christianisme comme dégradation de la vie.
Le fatalisme politique des chrétiens: Paul de Tarse, Thomas d'Aquin, Philippe de Commynes, Fénélon, Bossuet, Kant.
Longtemps on a glossé sur le "fatalisme oriental" ; mais on se moquerait à plus forte raison du fatalisme politique des chrétiens. École de résignation.
"l'histoire émouvante de l'évêque d'une ville aux portes de laquelle frappa le féroce roi des Huns. "Je suis Attila, le fléau de Dieu". L'évêque répliqua simplement: "Qu'entre ici le serviteur de Dieu", et il ouvrit la porte pour se faire massacrer." -Ernst Kantorowicz, Les deux corps du Roi. Essai sur la théologie politique au Moyen Age, in Œuvres, Gallimard, coll. Quarto, 2000, 1369 pages, pp.643-1222, p.695.
« Il faut obéir aux rois justes tout autant qu’aux méchants tyrans, car ceux-ci autant que ceux-là sont les représentants de Dieu. » (p.221)
« Quant aux modalités de ce changement légitime [de la forme constitutionnelle d’un Etat], par la force ou par des élections ou par d’autres moyens, l’auteur ne les précise pas ; pas plus qu’il n’indique sa préférence pour telle ou telle forme de gouvernement. » (p.223)
« Augustin n’envisage pas de résistance organisée contre la tyrannie. » (p.223)
« Oresme partage donc la position d’Aristote, qui n’admet la sédition que sous certaines conditions ; mais, pas plus qu’Aristote, Oresme ne fournit d’éléments pour expliciter ces conditions. » (p.307)
-Mario Turchetti, Tyrannie et tyrannicide de l’Antiquité à nos jours, PUF, coll. Fondements de la politique, 2001, 1044 pages.
« Selon Bossuet [...] aucun excès de pouvoir, pour démesuré qu'il soit, ne justifie le recours du peuple à la force, et que l'unique remède offert aux maux des citoyens, "en quelque nombre qu'ils soient", c'est "les prières et la patience contre la puissance publique". »
-Henry Michel, L'idée de l'Etat: essai critique sur les théories sociales et politique en France depuis la Révolution, Paris, Librairie Hachette et Cie, 1896, 666 pages, p.7.
Christianisme et despotisme: Bodin, Hobbes, Joseph de Maistre.
L'anathème lancé contre le suicide. Le christianisme comme acharnement thérapeutique.
Le puritanisme chrétien.
Misogynie et homophobie chrétienne.
Barbarie et superstitions. Le christianisme contre la philosophie et la science.
Les supplices de Giordano Bruno et Giulio Cesare Vanini.
Le christianisme comme dégradation de la vie.
Le fatalisme politique des chrétiens: Paul de Tarse, Thomas d'Aquin, Philippe de Commynes, Fénélon, Bossuet, Kant.
Longtemps on a glossé sur le "fatalisme oriental" ; mais on se moquerait à plus forte raison du fatalisme politique des chrétiens. École de résignation.
"l'histoire émouvante de l'évêque d'une ville aux portes de laquelle frappa le féroce roi des Huns. "Je suis Attila, le fléau de Dieu". L'évêque répliqua simplement: "Qu'entre ici le serviteur de Dieu", et il ouvrit la porte pour se faire massacrer." -Ernst Kantorowicz, Les deux corps du Roi. Essai sur la théologie politique au Moyen Age, in Œuvres, Gallimard, coll. Quarto, 2000, 1369 pages, pp.643-1222, p.695.
« Il faut obéir aux rois justes tout autant qu’aux méchants tyrans, car ceux-ci autant que ceux-là sont les représentants de Dieu. » (p.221)
« Quant aux modalités de ce changement légitime [de la forme constitutionnelle d’un Etat], par la force ou par des élections ou par d’autres moyens, l’auteur ne les précise pas ; pas plus qu’il n’indique sa préférence pour telle ou telle forme de gouvernement. » (p.223)
« Augustin n’envisage pas de résistance organisée contre la tyrannie. » (p.223)
« Oresme partage donc la position d’Aristote, qui n’admet la sédition que sous certaines conditions ; mais, pas plus qu’Aristote, Oresme ne fournit d’éléments pour expliciter ces conditions. » (p.307)
-Mario Turchetti, Tyrannie et tyrannicide de l’Antiquité à nos jours, PUF, coll. Fondements de la politique, 2001, 1044 pages.
« Selon Bossuet [...] aucun excès de pouvoir, pour démesuré qu'il soit, ne justifie le recours du peuple à la force, et que l'unique remède offert aux maux des citoyens, "en quelque nombre qu'ils soient", c'est "les prières et la patience contre la puissance publique". »
-Henry Michel, L'idée de l'Etat: essai critique sur les théories sociales et politique en France depuis la Révolution, Paris, Librairie Hachette et Cie, 1896, 666 pages, p.7.
Christianisme et despotisme: Bodin, Hobbes, Joseph de Maistre.
L'anathème lancé contre le suicide. Le christianisme comme acharnement thérapeutique.
Le puritanisme chrétien.
Misogynie et homophobie chrétienne.