https://books.google.fr/books?id=NzcOegwbMNsC&pg=PA219&dq=la+r%C3%A9ception+de&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjBq5-PjffdAhWUe8AKHWLsDjsQ6AEIPzAE#v=onepage&q=la%20r%C3%A9ception%20de&f=false
"Il nous importe surtout de savoir comment une philosophie est accueillie philosophiquement. Une audience choisie vaut mieux pour elle qu'un auditoire vulgaire. La description et l'examen de ce dernier ne revêt qu'une importance secondaire et dont l'intérêt relatif est d'autant plus difficile à déterminer que son étude n'a guère été encore entreprise." (p.56-57)
-Jacques D'Hondt, "La réception profane de Hegel en France", chapitre III in Jean Quillien (ed.), La Réception de la philosophie allemande en France aux XIXe et XXe siècles, Presses Universitaires de Lille, 1994, 307 pages, pp.55-72.
"Camus [...] ignorait l'allemand et connaissait assez peu la civilisation allemande." -Pierre Vaydat, "Albert Camus et la philosophie allemande", chapitre in Jean Quillien (ed.), La Réception de la philosophie allemande en France aux XIXe et XXe siècles, Presses Universitaires de Lille, 1994, 307 pages, p.220.
"Il nous importe surtout de savoir comment une philosophie est accueillie philosophiquement. Une audience choisie vaut mieux pour elle qu'un auditoire vulgaire. La description et l'examen de ce dernier ne revêt qu'une importance secondaire et dont l'intérêt relatif est d'autant plus difficile à déterminer que son étude n'a guère été encore entreprise." (p.56-57)
-Jacques D'Hondt, "La réception profane de Hegel en France", chapitre III in Jean Quillien (ed.), La Réception de la philosophie allemande en France aux XIXe et XXe siècles, Presses Universitaires de Lille, 1994, 307 pages, pp.55-72.
"Camus [...] ignorait l'allemand et connaissait assez peu la civilisation allemande." -Pierre Vaydat, "Albert Camus et la philosophie allemande", chapitre in Jean Quillien (ed.), La Réception de la philosophie allemande en France aux XIXe et XXe siècles, Presses Universitaires de Lille, 1994, 307 pages, p.220.