https://drive.google.com/file/d/14GIcHUB8XVvhbNOm6JEyAsA2izAjXDUa/view
"Des héros prolétariens surgissent -sans cesse, une nouvelle génération révolutionnaire grandit et s'épanouit. C'est une grande victoire de la ligne révolutionnaire du président Mao. Suivant l'enseignement du président Mao : « Il faut prendre soin de la croissance de la jeune génération", nous éditons et publions cette « Collection pour l'étude des jeunes pour répondre aux besoins des jeunes instruits installés à la campagne qui étudient par eux-mêmes. Se guidant sur le marxisme-léninisme et sur la pensée de Mao Tsétoung, cette collection comprend, du point de vue du contenu, des connaissances générales en philosophie, en sciences sociales, en littérature et en sciences naturelles, ainsi que sur l'utilisation des techniques agricoles." (p.7)
"Ce sont les rapports de production qui constituent l'objet de l'économie politique marxiste." (p.10)
"Le rapport quantitatif entre deux marchandises échangées varie selon l'époque et le ·lieu, mais pour un même lieu et une même époque, ce rapport reste à peu près constant. On peut se demander ce qui détermine ce rapport
d'échange. Il est clair que si des marchandises différentes
peuvent au cours de l'échange établir un rapport quantita-
tif fixe, c'est qu'elles doivent avoir entre elles un élément
commun. Cet élément commun ne peut pas être leur valeur
d'usage. En effet, si l'on considère leur valeur d'usage res-
pective, chaque marchandise a une nature propre qui la dif-
férencie des autres. Le tissu, par exemple, sert à confection-
ner des vêtements, tandis que le riz calme la faim, ce sont là
deux valeurs d'usage de nature différente, on ne peut donc
pas les comparer. Aussi l'élément commun entre diverses
marchandises doit être recherché ailleurs que dans leur
valeur d'usage. Si l'on élimine la valeur d'usage du tissu et
du riz, il reste malgré tout un élément commun : ils sont
tous deux des produits du travail. Leur production repré-
sente une dépense de travail humain. C'est ce travail cristal-
lisé dans les marchandises qui constitue leur valeur. En
tant que valeurs, des marchandises différentes ont une
nature commune : on peut désormais les comparer quanti-
tativement. La raison pour laquelle on peut échanger 3
mètres de tissu contre 2 boisseaux de riz est que leur pro-
duction respective demande une dépense égale de travail.
C'est pourquoi leur valeur peut être équivalente. On voit
donc que la valeur d'échange est déterminée par la valeur
(N.d.T. : c'est-à-dire le travail cristallisé dans les marchan-
dises) ; la valeur d'échange est une manifestation de la
valeur et cette dernière est le fondement de la valeur
d'échange." (p.54)
-Étudions l'économie politique, Éditions du peuple, Shangaï, 1975, 291 pages.
"Des héros prolétariens surgissent -sans cesse, une nouvelle génération révolutionnaire grandit et s'épanouit. C'est une grande victoire de la ligne révolutionnaire du président Mao. Suivant l'enseignement du président Mao : « Il faut prendre soin de la croissance de la jeune génération", nous éditons et publions cette « Collection pour l'étude des jeunes pour répondre aux besoins des jeunes instruits installés à la campagne qui étudient par eux-mêmes. Se guidant sur le marxisme-léninisme et sur la pensée de Mao Tsétoung, cette collection comprend, du point de vue du contenu, des connaissances générales en philosophie, en sciences sociales, en littérature et en sciences naturelles, ainsi que sur l'utilisation des techniques agricoles." (p.7)
"Ce sont les rapports de production qui constituent l'objet de l'économie politique marxiste." (p.10)
"Le rapport quantitatif entre deux marchandises échangées varie selon l'époque et le ·lieu, mais pour un même lieu et une même époque, ce rapport reste à peu près constant. On peut se demander ce qui détermine ce rapport
d'échange. Il est clair que si des marchandises différentes
peuvent au cours de l'échange établir un rapport quantita-
tif fixe, c'est qu'elles doivent avoir entre elles un élément
commun. Cet élément commun ne peut pas être leur valeur
d'usage. En effet, si l'on considère leur valeur d'usage res-
pective, chaque marchandise a une nature propre qui la dif-
férencie des autres. Le tissu, par exemple, sert à confection-
ner des vêtements, tandis que le riz calme la faim, ce sont là
deux valeurs d'usage de nature différente, on ne peut donc
pas les comparer. Aussi l'élément commun entre diverses
marchandises doit être recherché ailleurs que dans leur
valeur d'usage. Si l'on élimine la valeur d'usage du tissu et
du riz, il reste malgré tout un élément commun : ils sont
tous deux des produits du travail. Leur production repré-
sente une dépense de travail humain. C'est ce travail cristal-
lisé dans les marchandises qui constitue leur valeur. En
tant que valeurs, des marchandises différentes ont une
nature commune : on peut désormais les comparer quanti-
tativement. La raison pour laquelle on peut échanger 3
mètres de tissu contre 2 boisseaux de riz est que leur pro-
duction respective demande une dépense égale de travail.
C'est pourquoi leur valeur peut être équivalente. On voit
donc que la valeur d'échange est déterminée par la valeur
(N.d.T. : c'est-à-dire le travail cristallisé dans les marchan-
dises) ; la valeur d'échange est une manifestation de la
valeur et cette dernière est le fondement de la valeur
d'échange." (p.54)
-Étudions l'économie politique, Éditions du peuple, Shangaï, 1975, 291 pages.