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https://geographie.univ-paris8.fr/?francois-legouy
"De nouvelles ruralités viennent troubler le rapport ville ./ campagne traditionnel, avec une urbanisation de la campagne mais aussi une ruralisation de la ville, comme en témoigne le renouveau des jardins et des pratiques agricoles au cœur ou à la périphérie des villes. Le patrimoine rural est valorisé, comme son mode de vie, jugé plus sain, offrant davantage de convivialité." (p.1)
"Loin de s'uniformiser en dépit des politiques d'aménagements du territoire [...] dont ont bénéficié les espaces ruraux dans des logiques d'égalité territoriale jusque dans les années 1990, les écarts se creusent en termes d'emplois, de dessertes, d'infrastructures." (p.2)
"L'espace rural [...] attire de nombreux citadins. Ces migrations, à rebours de l'exode rural, débutent dans les années 1960 et s'épanouissent largement après 1980: elles sont à l'origine des couronnes périurbaines qui marquent aujourd'hui toutes les villes. Si les motivations ont d'abord été économiques (coût et taille du logement...), elles deviennent de plus en plus environnementales dans la période récente." (p.4)
"Multiappartenance en voie de généralisation, une partie toujours plus importante de la population française aspirant tant à la campagne qu'à la ville. [...] Multirésidentialité [...] Poids majeur des mobilités des individus qui jonglent entre les espaces tant pour leur travail que pour leurs loisirs ou leur consommation." (p.5)
"Loin de la séparation villes-campagnes, ou de la seule consommation des campagnes par les villes, même si ces logiques n'ont pas entièrement disparu, les interrelations l'emportent aujourd'hui. Elles s'expriment par des flux de marchandises, de personnes et d'informations qui viennent combler les aspirations des citadins comme des ruraux et débouchent sur des transactions ou des mises en partages [...] dans des partenariats qui évoluent vers le gagnant-gagnant." (p.6)
"Les mouvements vers les campagnes sont statistiquement les plus nombreux. C'est d'abord la poursuite de la périurbanisation par de jeunes couples avec enfants rajeunissant la pyramide des âges des espaces périurbains avec des auréoles de plus en plus larges. Ce sont des installations dans les communes isolées dans des logiques de retour à la terre qui rappellent celles des années 1968. Ce sont aussi des migrations d'agrément, majoritairement de retraités mais aussi d'actifs, qui viennent investir les belles campagnes bien dotées en paysages et en aménité multiples." (p.6)
"Les espaces ruraux recèlent potentiellement nombre d'aménités qui [...] [peuvent devenir], par des mises en scènes, des lieux attractifs." (p.
"Touristification (création de lieux d'accueil, de restauration, d'activités diverses et sportives, de routes touristiques, de sentiers de randonnées, d'itinéraires en boucles, d'animations festives, restaurations de monuments historiques et de l'habitat traditionnel, visites de caves viticoles...), promu par un storytelling développé de plus en plus sur les réseaux sociaux. [...] Une des formes de développement territorial des campagnes actuelles. [...]
Le tourisme rural se distingue du tourisme de masse par son implantation diffuse: il n'attire pas des concentrations saisonnières importantes et tente de ne pas oblitérer le paysage."
(p.
"La reterritorialisation de l'agriculture (Laurent Rieutort, 2009) est [...] à l'ordre du jour et les initiatives sont multiples avec la grande distribution qui propose désormais des produits régionaux, voire locaux: "Nos régions ont du talent" de Leclerc, "Reflets de France" de Carrefour [...] En Dehors du système dominant, de petites structures, encore confidentielles, émergent, recherchant la commercialisation de proximité, les circuits courts et la production de qualité. Les AMAP (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne) en témoignent: ce sont des associations localisées dans des espaces urbains et périurbains où les consommateurs s'engagent à acheter régulièrement un panier de produits de saison, frais et variés (légumes, fruits, viande, fromages). [...] Ces nouvelles manières de consommer débouchent parfois sur des politiques publiques urbaines, qui visent à sécuriser l'approvisionnement et/ou à préserver les terres agricoles pour aller vers des stratégies alimentaires territoriales ou programmes alimentaires territoriaux (PAT): Montpellier ou Rennes en sont des illustrations avec la délimitation d'un bassin de production agricole à l'échelle du SCoT (Schéma de cohérence territoriale)." (p.9)
"La tendance à la relocalisation de l'agriculture est toutefois bien réelle: elle garantit la traçabilité, permet un contrôle du consommateur et le produit local tend à se parer des qualités du produit de terroir. Les exemples sont nombreux autour des villes au point de faire ressurgir les ceintures agricoles, dites parfois ceintures aliment, et de soutenir l'émergence de circuits courts de proximité [...] Ce nouveau modèle agricole s'appuie sur les projets alimentaires territoriaux (PAT) où des contrats de production lient des agriculteurs aux villes, l'objectif étant d'aller vers une gouvernance alimentaire se déclinant en gouvernance foncière, voire agro-industrielle (installation de légumerie en régie municipale...)." (p.13)
"Éléments de "crise" de certains espaces urbains inclus dans l'espace rural: centre-villes désertés par le petit commerce de proximité, nombreux logements vacants et valeurs immobilières en chute libre. Des caractères d'insalubrité ont été relevés pour ces centres comme à Lovède où un quart des immeubles sont murés ; les taux de vacance avoisinent les 20% à Verdun ou à Bar-le-Duc mais peuvent atteindre 50% à Saint-Mihiel. Ces constats rappellent que ces petites villes ne sont pas toujours les bénéficiaires des flux migratoires vers les campagnes, ceux-ci profitant souvent plus aux couronnes périphériques de ces pôles -et aux villages- qui connaissent un mouvement de périurbanisation en lien avec des logements inadaptés et vieillis. La forte croissance des centres commerciaux et des grandes enseignes de distribution en périphérie du fait de politiques commerciales permissives et laissées à la décision des édiles locaux a parallèlement conduit à la disparition du petit commerce de centre-ville. [...] Les mêmes petites villes concentrent parfois des indices de pauvreté relativement importants et que les enquêtes révèlent des indices sous-évalués du fait d'une moindre demande d'assistance [...] Contraction des services de l'Etat (justice, armée, santé, transports publics) et les difficultés de mobilités pour leurs habitants en l'absence de transports collectifs.
Nombre de ces petites villes paraissent d'une certaine manière comme les grandes perdantes de la métropolisation." (p.14)
" [Exemple de territoires de projets] Quelque 334 Pays regroupant 73% de la superficie de la France et 41% de sa population seront créés jusqu'en 2010, avant de devenir dans la loi MAPTAM (loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, 2014) des pôles d'excellence territoriaux et ruraux. La nomenclature de ces pays est significative des projets retenus: touristique avec la mise en valeur du patrimoine rural et agricole (Pays Terres romanes en Pays catalan, Pays du Vignoble nantais, Pays Rhin vignoble-Grand Ballon...) ou de services avec dans l'appellation le nom de la ville centre [...] L'originalité des Pays consiste en leur conseil de développement, instance partenariale de gestion et de gouvernance et la charte de développement du Pays, véritable "constitution interne du Pays". Le Pays de Saugues en Margeride en Haute-Loire, sis dans l'hyper-ruralité, est un exemple significatif: il est entré depuis une dizaine d'années dans une nouvelle dynamique à partir de la laine des ovins du Pays "que les acteurs tentent de valoriser et spécifier autour d'un projet coordonné par une association relevant de l'économie sociale et solidaire" à l'origine de nouvelles interactions avec les villes." (p.15)
"Avec moins de 120 000 habitants et 22 habitants au km2, la Creuse est le deuxième département le moins peuplé de France et le plus âge d'Europe. Le revenu moyen par foyer fiscal, un des plus faibles de France, est inférieur de 6000 euros à la moyenne nationale. L'accès à Internet reste compliqué dans certains secteurs ; les infrastructures de communication manquent, notamment dans le sud creusois et la desserte de la gare de La Souterraine, est menacée." (p.20)
"Loin de se voir submergés par l'urbanisation, les espaces non bâtis continuent de l'emporter sur le bâti. Le terme d'espaces ouverts désigne les espaces non artificialisés, agricoles, forestiers ou naturels qui représentent souvent plus de 50% de la superficie des communes mais aussi de l'aire urbaine. Ils occupent 60% de l'aire urbaine de Toulouse et près de 80% pour celle de Paris dont 49% de terres agricoles, les grandes forêts royales couvrant le reste. Dans le zonage en aires urbaines de 2010, l'essentiel du potentiel agricole français était d'ailleurs localisé dans le périurbain avec 77% des exploitations agricoles et 75% de la Surface Agricole Utilisée totale." (p.22)
"Désir de vivre dans des unités à taille humaine avec les pratiques sociales afférentes, soit la convivialité attribuée aux petites communautés du fait d'une interconnaissance généralisée et la solidarité qui débouche sur l'échange de services." (p.24)
"Associations qui œuvrent à faire émerger la ruralité comme ressource territoriale [...] porteuse d'un développement spécifique plus soutenable, se multiplient. "Beaujolais Vert Votre Avenir" promeut ainsi le territoire de la communauté de communes Saône Beaujolais: elle soutient les porteurs de projets et les nouveaux habitants désireux de venir s'installer dans un territoire vert, connecté, engagé dans les "défis du développement durable" pour une "nouvelle vie saine"." (p.24)
p.26
-Monique Poulot & François Legouy, Les espaces ruraux en France, Documentation Photographique, CNRS Éditions, 2019, 64 pages.
"De nouvelles ruralités viennent troubler le rapport ville ./ campagne traditionnel, avec une urbanisation de la campagne mais aussi une ruralisation de la ville, comme en témoigne le renouveau des jardins et des pratiques agricoles au cœur ou à la périphérie des villes. Le patrimoine rural est valorisé, comme son mode de vie, jugé plus sain, offrant davantage de convivialité." (p.1)
"Loin de s'uniformiser en dépit des politiques d'aménagements du territoire [...] dont ont bénéficié les espaces ruraux dans des logiques d'égalité territoriale jusque dans les années 1990, les écarts se creusent en termes d'emplois, de dessertes, d'infrastructures." (p.2)
"L'espace rural [...] attire de nombreux citadins. Ces migrations, à rebours de l'exode rural, débutent dans les années 1960 et s'épanouissent largement après 1980: elles sont à l'origine des couronnes périurbaines qui marquent aujourd'hui toutes les villes. Si les motivations ont d'abord été économiques (coût et taille du logement...), elles deviennent de plus en plus environnementales dans la période récente." (p.4)
"Multiappartenance en voie de généralisation, une partie toujours plus importante de la population française aspirant tant à la campagne qu'à la ville. [...] Multirésidentialité [...] Poids majeur des mobilités des individus qui jonglent entre les espaces tant pour leur travail que pour leurs loisirs ou leur consommation." (p.5)
"Loin de la séparation villes-campagnes, ou de la seule consommation des campagnes par les villes, même si ces logiques n'ont pas entièrement disparu, les interrelations l'emportent aujourd'hui. Elles s'expriment par des flux de marchandises, de personnes et d'informations qui viennent combler les aspirations des citadins comme des ruraux et débouchent sur des transactions ou des mises en partages [...] dans des partenariats qui évoluent vers le gagnant-gagnant." (p.6)
"Les mouvements vers les campagnes sont statistiquement les plus nombreux. C'est d'abord la poursuite de la périurbanisation par de jeunes couples avec enfants rajeunissant la pyramide des âges des espaces périurbains avec des auréoles de plus en plus larges. Ce sont des installations dans les communes isolées dans des logiques de retour à la terre qui rappellent celles des années 1968. Ce sont aussi des migrations d'agrément, majoritairement de retraités mais aussi d'actifs, qui viennent investir les belles campagnes bien dotées en paysages et en aménité multiples." (p.6)
"Les espaces ruraux recèlent potentiellement nombre d'aménités qui [...] [peuvent devenir], par des mises en scènes, des lieux attractifs." (p.
"Touristification (création de lieux d'accueil, de restauration, d'activités diverses et sportives, de routes touristiques, de sentiers de randonnées, d'itinéraires en boucles, d'animations festives, restaurations de monuments historiques et de l'habitat traditionnel, visites de caves viticoles...), promu par un storytelling développé de plus en plus sur les réseaux sociaux. [...] Une des formes de développement territorial des campagnes actuelles. [...]
Le tourisme rural se distingue du tourisme de masse par son implantation diffuse: il n'attire pas des concentrations saisonnières importantes et tente de ne pas oblitérer le paysage."
(p.
"La reterritorialisation de l'agriculture (Laurent Rieutort, 2009) est [...] à l'ordre du jour et les initiatives sont multiples avec la grande distribution qui propose désormais des produits régionaux, voire locaux: "Nos régions ont du talent" de Leclerc, "Reflets de France" de Carrefour [...] En Dehors du système dominant, de petites structures, encore confidentielles, émergent, recherchant la commercialisation de proximité, les circuits courts et la production de qualité. Les AMAP (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne) en témoignent: ce sont des associations localisées dans des espaces urbains et périurbains où les consommateurs s'engagent à acheter régulièrement un panier de produits de saison, frais et variés (légumes, fruits, viande, fromages). [...] Ces nouvelles manières de consommer débouchent parfois sur des politiques publiques urbaines, qui visent à sécuriser l'approvisionnement et/ou à préserver les terres agricoles pour aller vers des stratégies alimentaires territoriales ou programmes alimentaires territoriaux (PAT): Montpellier ou Rennes en sont des illustrations avec la délimitation d'un bassin de production agricole à l'échelle du SCoT (Schéma de cohérence territoriale)." (p.9)
"La tendance à la relocalisation de l'agriculture est toutefois bien réelle: elle garantit la traçabilité, permet un contrôle du consommateur et le produit local tend à se parer des qualités du produit de terroir. Les exemples sont nombreux autour des villes au point de faire ressurgir les ceintures agricoles, dites parfois ceintures aliment, et de soutenir l'émergence de circuits courts de proximité [...] Ce nouveau modèle agricole s'appuie sur les projets alimentaires territoriaux (PAT) où des contrats de production lient des agriculteurs aux villes, l'objectif étant d'aller vers une gouvernance alimentaire se déclinant en gouvernance foncière, voire agro-industrielle (installation de légumerie en régie municipale...)." (p.13)
"Éléments de "crise" de certains espaces urbains inclus dans l'espace rural: centre-villes désertés par le petit commerce de proximité, nombreux logements vacants et valeurs immobilières en chute libre. Des caractères d'insalubrité ont été relevés pour ces centres comme à Lovède où un quart des immeubles sont murés ; les taux de vacance avoisinent les 20% à Verdun ou à Bar-le-Duc mais peuvent atteindre 50% à Saint-Mihiel. Ces constats rappellent que ces petites villes ne sont pas toujours les bénéficiaires des flux migratoires vers les campagnes, ceux-ci profitant souvent plus aux couronnes périphériques de ces pôles -et aux villages- qui connaissent un mouvement de périurbanisation en lien avec des logements inadaptés et vieillis. La forte croissance des centres commerciaux et des grandes enseignes de distribution en périphérie du fait de politiques commerciales permissives et laissées à la décision des édiles locaux a parallèlement conduit à la disparition du petit commerce de centre-ville. [...] Les mêmes petites villes concentrent parfois des indices de pauvreté relativement importants et que les enquêtes révèlent des indices sous-évalués du fait d'une moindre demande d'assistance [...] Contraction des services de l'Etat (justice, armée, santé, transports publics) et les difficultés de mobilités pour leurs habitants en l'absence de transports collectifs.
Nombre de ces petites villes paraissent d'une certaine manière comme les grandes perdantes de la métropolisation." (p.14)
" [Exemple de territoires de projets] Quelque 334 Pays regroupant 73% de la superficie de la France et 41% de sa population seront créés jusqu'en 2010, avant de devenir dans la loi MAPTAM (loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, 2014) des pôles d'excellence territoriaux et ruraux. La nomenclature de ces pays est significative des projets retenus: touristique avec la mise en valeur du patrimoine rural et agricole (Pays Terres romanes en Pays catalan, Pays du Vignoble nantais, Pays Rhin vignoble-Grand Ballon...) ou de services avec dans l'appellation le nom de la ville centre [...] L'originalité des Pays consiste en leur conseil de développement, instance partenariale de gestion et de gouvernance et la charte de développement du Pays, véritable "constitution interne du Pays". Le Pays de Saugues en Margeride en Haute-Loire, sis dans l'hyper-ruralité, est un exemple significatif: il est entré depuis une dizaine d'années dans une nouvelle dynamique à partir de la laine des ovins du Pays "que les acteurs tentent de valoriser et spécifier autour d'un projet coordonné par une association relevant de l'économie sociale et solidaire" à l'origine de nouvelles interactions avec les villes." (p.15)
"Avec moins de 120 000 habitants et 22 habitants au km2, la Creuse est le deuxième département le moins peuplé de France et le plus âge d'Europe. Le revenu moyen par foyer fiscal, un des plus faibles de France, est inférieur de 6000 euros à la moyenne nationale. L'accès à Internet reste compliqué dans certains secteurs ; les infrastructures de communication manquent, notamment dans le sud creusois et la desserte de la gare de La Souterraine, est menacée." (p.20)
"Loin de se voir submergés par l'urbanisation, les espaces non bâtis continuent de l'emporter sur le bâti. Le terme d'espaces ouverts désigne les espaces non artificialisés, agricoles, forestiers ou naturels qui représentent souvent plus de 50% de la superficie des communes mais aussi de l'aire urbaine. Ils occupent 60% de l'aire urbaine de Toulouse et près de 80% pour celle de Paris dont 49% de terres agricoles, les grandes forêts royales couvrant le reste. Dans le zonage en aires urbaines de 2010, l'essentiel du potentiel agricole français était d'ailleurs localisé dans le périurbain avec 77% des exploitations agricoles et 75% de la Surface Agricole Utilisée totale." (p.22)
"Désir de vivre dans des unités à taille humaine avec les pratiques sociales afférentes, soit la convivialité attribuée aux petites communautés du fait d'une interconnaissance généralisée et la solidarité qui débouche sur l'échange de services." (p.24)
"Associations qui œuvrent à faire émerger la ruralité comme ressource territoriale [...] porteuse d'un développement spécifique plus soutenable, se multiplient. "Beaujolais Vert Votre Avenir" promeut ainsi le territoire de la communauté de communes Saône Beaujolais: elle soutient les porteurs de projets et les nouveaux habitants désireux de venir s'installer dans un territoire vert, connecté, engagé dans les "défis du développement durable" pour une "nouvelle vie saine"." (p.24)
p.26
-Monique Poulot & François Legouy, Les espaces ruraux en France, Documentation Photographique, CNRS Éditions, 2019, 64 pages.
