Accueil
https://books.google.fr/books?id=9ZzWRz9x8mwC&printsec=frontcover&dq=Goodrick-Clarke&hl=fr&sa=X&ei=0dXUVLTRI4S07gaivYF4&ved=0CFAQ6AEwBA#v=onepage&q=Goodrick-Clarke&f=false
"Le racisme et l'élitisme avait aussi leur place dans l'idéologie völkisch. [...] Un ensemble de qualités morales innées étaient reliées au caractéristiques externes des types raciaux: les Aryens (et donc les Allemands) avaient les yeux bleus, les cheveux blonds, étaient grands et bien proportionnés, mais également nobles, honnêtes et courageux." (p.4)
"A partir de 1885 un nombre considérable de groupes culturels völkisch s'activaient dans les provinces [autrichiennes] et à Vienne." (p.9)
"Le mouvement pangermaniste apparut à son origine comme l'expression d'idéaux juvéniles parmi les fraternités étudiantes de Vienne, Graz et Prague, durant les années 1860. [...] [Sous l'influence de Georg von Schönerer] le pangermanisme autrichien [devint] un mouvement révolutionnaire qui embrasa le populisme anti-capitaliste, l'antilibéralisme, l'antisémitisme et le nationalisme allemand prussophile." (p.9)
"Un classique de la supériorité de la race nordique-aryenne et de l'annonce pessimiste de sa submersion par les peuples non-aryens fut l'essai d'Arthur de Gobineau." (p.13)
"En 1857 seul 6000 juifs résidaient dans la capitale [Vienne], mais en 1910 ce nombre s'était élevé à 175 000, ce qui était plus de 8% de la population totalement de la cité ; dans certains quartiers ils comptaient pour 20% des résidents locaux. [...] Les Allemands de tendance völkisch perçurent certainement ce nouvel afflux comme une sérieuse menace pour le caractère ethnique de la capital. Un exemple de ce type de réaction peut être trouvé dans la description d'Hitler de sa première rencontre avec des Juifs dans la Cité Intérieure." (p.14)
"Guido von List fut le premier écrivain populaire à combiner l'idéologie völkisch avec l'occultisme et la théosophie. [...] List lui-même demeura un penseur mystique presque dépourvu de talent pour l'organisation. [...] Les livres de List passaient parmi les hommes dans les tranchées et les hôpitaux de campagnes [pendant la Première Guerre mondiale]." (p.33, p.46 et p.47)
"Le racisme et l'élitisme avait aussi leur place dans l'idéologie völkisch. [...] Un ensemble de qualités morales innées étaient reliées au caractéristiques externes des types raciaux: les Aryens (et donc les Allemands) avaient les yeux bleus, les cheveux blonds, étaient grands et bien proportionnés, mais également nobles, honnêtes et courageux." (p.4)
"A partir de 1885 un nombre considérable de groupes culturels völkisch s'activaient dans les provinces [autrichiennes] et à Vienne." (p.9)
"Le mouvement pangermaniste apparut à son origine comme l'expression d'idéaux juvéniles parmi les fraternités étudiantes de Vienne, Graz et Prague, durant les années 1860. [...] [Sous l'influence de Georg von Schönerer] le pangermanisme autrichien [devint] un mouvement révolutionnaire qui embrasa le populisme anti-capitaliste, l'antilibéralisme, l'antisémitisme et le nationalisme allemand prussophile." (p.9)
"Un classique de la supériorité de la race nordique-aryenne et de l'annonce pessimiste de sa submersion par les peuples non-aryens fut l'essai d'Arthur de Gobineau." (p.13)
"En 1857 seul 6000 juifs résidaient dans la capitale [Vienne], mais en 1910 ce nombre s'était élevé à 175 000, ce qui était plus de 8% de la population totalement de la cité ; dans certains quartiers ils comptaient pour 20% des résidents locaux. [...] Les Allemands de tendance völkisch perçurent certainement ce nouvel afflux comme une sérieuse menace pour le caractère ethnique de la capital. Un exemple de ce type de réaction peut être trouvé dans la description d'Hitler de sa première rencontre avec des Juifs dans la Cité Intérieure." (p.14)
"Guido von List fut le premier écrivain populaire à combiner l'idéologie völkisch avec l'occultisme et la théosophie. [...] List lui-même demeura un penseur mystique presque dépourvu de talent pour l'organisation. [...] Les livres de List passaient parmi les hommes dans les tranchées et les hôpitaux de campagnes [pendant la Première Guerre mondiale]." (p.33, p.46 et p.47)
