https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_Janicaud
"La pensée censée « post-métaphysicienne » [ainsi chez Derrida], fière de sa maturité, se voit chargée de ce fardeau, rançon de son histoire : l'oubli n'est plus possible et le rebondissement des vieilles questions métamorphosées vient piéger la pseudo-innocence du « gai savoir »." (p.247)
"Ni la métaphysique ni la science n'avaient donc su penser le temps comme fond de la « réalité »." (p.248)
"De ce qu'une métaphysique éternitaire-substantialiste est un modèle révocable, il ne s'ensuit nullement, ni que les grandes questions posées par la métaphysique spéciale ne soient plus du tout des questions, ni que les conditions de possibilité dégagées par (et pour) une métaphysique génerale soient effacées." (p.249)
-Dominique Janicaud, "Métaphysique et histoire", REVUE DE SYNTHESE, IV'S. N" 2, AVRIL-JUIN 1993.
"La pensée censée « post-métaphysicienne » [ainsi chez Derrida], fière de sa maturité, se voit chargée de ce fardeau, rançon de son histoire : l'oubli n'est plus possible et le rebondissement des vieilles questions métamorphosées vient piéger la pseudo-innocence du « gai savoir »." (p.247)
"Ni la métaphysique ni la science n'avaient donc su penser le temps comme fond de la « réalité »." (p.248)
"De ce qu'une métaphysique éternitaire-substantialiste est un modèle révocable, il ne s'ensuit nullement, ni que les grandes questions posées par la métaphysique spéciale ne soient plus du tout des questions, ni que les conditions de possibilité dégagées par (et pour) une métaphysique génerale soient effacées." (p.249)
-Dominique Janicaud, "Métaphysique et histoire", REVUE DE SYNTHESE, IV'S. N" 2, AVRIL-JUIN 1993.