http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle
https://docs.google.com/file/d/0B9dekxoyNOwpdkgwN2lqakcwV1k/edit
http://www.freepdf.info/index.php?post/Degrelle-Leon-Pourquoi-j-ai-cru-en-Hitler2
"Pour lui, l'Allemagne ne fut qu'un instrument au même titre que la France de 1800 ne fut qu'un instrument pour Napoléon. Ce dernier était à moitié italien, alors que Hitler était Autrichien ; l'un comme l'autre, ils ont voulu réaliser un rêve impérial qui devait logiquement dépasser les frontières étriquées de leur pays d'adoption. J'ai posé un jour la question à Hitler: je lui ai demandé ce qu'il était, s'il était allemand ou européen et il m'a fait cette réponse tout à fait surprenante en me disant: «Je suis grec ...». Il voulait dire par là à quel point il se sentait l'héritier de toute la culture européenne, vieille de trois mille ans, bâtie sur ce vaste espace qui va des forêts germaniques aux côtes méditerranéennes.
Il ne m'a pas caché à quel point il accordait peu d'intérêt aux recherches archéologiques, qui constituaient la manie de Himmler et des gens de l'Ahnenerbe qui cherchaient à privilégier les origines germaniques. Avec un peu plus de temps et poussé par un nombre grandissant d'Européens qui, à la faveur de la guerre, avaient découvert la révolution nationalesocialiste, il aurait dépassé le cadre étroitement germanique pour réaliser une véritable révolution à l'échelle du continent." (p.4)
"On se trompe là aussi à propos de Hitler. Il était intensément croyant et invoquait souvent le nom de Dieu. Il était de formation chrétienne, il avait même été enfant de choeur et chantre à l'église de sa paroisse. Certains leaders nationaux‐socialistes étaient hostiles à l'Eglise, notamment Bormann et Himmler, pour ne pas parler bien sûr de Rosenberg, mais leur influence sur Hitler était à peu près nulle. Il ne prenait pas très au sérieux les recherches de
Himmler sur les anciennes religions germaniques et sa politique fut très favorable à l'Eglise catholique, même si celle‐ci fournit ensuite les opposants les plus déterminés au régime." (p.5)
"L'hitlérisme devait échapper au carcan étroitement allemand dans lequel l'avaient confiné les héritiers du nationalisme et du pangermanisme traditionnels."
-Léon Degrelle, Pourquoi j'ai cru en Hitler, Interview recueillie par Jean Kapel et publiée dans la revue « Histoire magazine », N° 19,
septembre 1981.
https://docs.google.com/file/d/0B9dekxoyNOwpdkgwN2lqakcwV1k/edit
http://www.freepdf.info/index.php?post/Degrelle-Leon-Pourquoi-j-ai-cru-en-Hitler2
"Pour lui, l'Allemagne ne fut qu'un instrument au même titre que la France de 1800 ne fut qu'un instrument pour Napoléon. Ce dernier était à moitié italien, alors que Hitler était Autrichien ; l'un comme l'autre, ils ont voulu réaliser un rêve impérial qui devait logiquement dépasser les frontières étriquées de leur pays d'adoption. J'ai posé un jour la question à Hitler: je lui ai demandé ce qu'il était, s'il était allemand ou européen et il m'a fait cette réponse tout à fait surprenante en me disant: «Je suis grec ...». Il voulait dire par là à quel point il se sentait l'héritier de toute la culture européenne, vieille de trois mille ans, bâtie sur ce vaste espace qui va des forêts germaniques aux côtes méditerranéennes.
Il ne m'a pas caché à quel point il accordait peu d'intérêt aux recherches archéologiques, qui constituaient la manie de Himmler et des gens de l'Ahnenerbe qui cherchaient à privilégier les origines germaniques. Avec un peu plus de temps et poussé par un nombre grandissant d'Européens qui, à la faveur de la guerre, avaient découvert la révolution nationalesocialiste, il aurait dépassé le cadre étroitement germanique pour réaliser une véritable révolution à l'échelle du continent." (p.4)
"On se trompe là aussi à propos de Hitler. Il était intensément croyant et invoquait souvent le nom de Dieu. Il était de formation chrétienne, il avait même été enfant de choeur et chantre à l'église de sa paroisse. Certains leaders nationaux‐socialistes étaient hostiles à l'Eglise, notamment Bormann et Himmler, pour ne pas parler bien sûr de Rosenberg, mais leur influence sur Hitler était à peu près nulle. Il ne prenait pas très au sérieux les recherches de
Himmler sur les anciennes religions germaniques et sa politique fut très favorable à l'Eglise catholique, même si celle‐ci fournit ensuite les opposants les plus déterminés au régime." (p.5)
"L'hitlérisme devait échapper au carcan étroitement allemand dans lequel l'avaient confiné les héritiers du nationalisme et du pangermanisme traditionnels."
-Léon Degrelle, Pourquoi j'ai cru en Hitler, Interview recueillie par Jean Kapel et publiée dans la revue « Histoire magazine », N° 19,
septembre 1981.