« La guerre est d’une importance vitale pour l’État. »
« Si vos ennemis sont plus puissants et plus forts que vous, vous ne les attaquerez point, vous éviterez avec un grand soin ce qui peut conduire à un engagement général ; vous cacherez toujours avec une extrême attention l’état où vous vous trouverez. »
« Toute campagne guerrière doit être réglée sur le semblant ; feignez le désordre, ne manquez jamais d’offrir un appât à l’ennemi pour le leurrer, simulez l’infériorité pour encourager son arrogance, sachez attiser son courroux pour mieux le plonger dans la confusion : sa convoitise le lancera sur vous pour s’y briser. »
« La prudence et la fermeté d’un petit nombre de gens peuvent venir à bout de lasser et de dompter même une nombreuse armée. »
« Pour être victorieux de ses ennemis, cinq circonstances sont nécessaires :
I. Savoir quand il est à propos de combattre, et quand il convient de se retirer.
II. Savoir employer le peu et le beaucoup suivant les circonstances.
III. Assortir habilement ses rangs.
Mensius dit : « La saison appropriée n’est pas aussi importante que les avantages du sol ; et tout cela n’est pas aussi important que l’harmonie des relations humaines. »
IV. Celui qui, prudent, se prépare à affronter l’ennemi qui n’est pas encore ; celui-là même sera victorieux. Tirer prétexte de sa rusticité et ne pas prévoir est le plus grand des crimes ; être prêt en-dehors de toute contingence est la plus grande des vertus.
V. Être à l’abri des ingérences du souverain dans tout ce qu’on peut tenter pour son service et la gloire de ses armes.
C’est dans ces cinq matières que se trouve la voie de la victoire. »
« Celui qui se défend montre que sa force est inadéquate, celui qui attaque qu’elle est abondante. »
« Rendez-vous dans des lieux où l’ennemi ne puisse pas soupçonner que vous ayez dessein d’aller. Sortez tout à coup d’où il ne vous attend pas, et tombez sur lui lorsqu’il y pensera le moins. »
« Que l’ennemi ne sache jamais comment vous avez l’intention de le combattre. »
« Je dis que la victoire peut être créée […] Et quand j’ai remporté une bataille, je ne répète pas ma tactique, mais je réponds aux circonstances selon une variété infinie de voies. »
« Ne comptez jamais sur le hasard dans tout ce que vous ferez »
« Un ennemi surpris est à demi vaincu. »
« Un grand général doit savoir l’art des changements. »
« L’abondance d’argent est souvent plus funeste qu’elle n’est avantageuse, et plus préjudiciable qu’utile ; par l’abus qu’on en fait, elle est la source de la corruption des cœurs et la mère de tous les vices. »
« Quelque critiques que puissent être la situation et les circonstances où vous vous trouvez, ne désespérez de rien ; c’est dans les occasions où tout est à craindre qu’il ne faut rien craindre ; c’est lorsqu’on est environné de tous les dangers qu’il n’en faut redouter aucun ; c’est lorsqu’on est sans aucune ressource qu’il faut compter sur toutes ; c’est lorsqu’on est surpris qu’il faut surprendre l’ennemi lui-même. »
« Soyez instruit de tout, ne négligez rien de ce que vous pourrez apprendre. »
-Sun Tzu, L’Art de la guerre.
« Si vos ennemis sont plus puissants et plus forts que vous, vous ne les attaquerez point, vous éviterez avec un grand soin ce qui peut conduire à un engagement général ; vous cacherez toujours avec une extrême attention l’état où vous vous trouverez. »
« Toute campagne guerrière doit être réglée sur le semblant ; feignez le désordre, ne manquez jamais d’offrir un appât à l’ennemi pour le leurrer, simulez l’infériorité pour encourager son arrogance, sachez attiser son courroux pour mieux le plonger dans la confusion : sa convoitise le lancera sur vous pour s’y briser. »
« La prudence et la fermeté d’un petit nombre de gens peuvent venir à bout de lasser et de dompter même une nombreuse armée. »
« Pour être victorieux de ses ennemis, cinq circonstances sont nécessaires :
I. Savoir quand il est à propos de combattre, et quand il convient de se retirer.
II. Savoir employer le peu et le beaucoup suivant les circonstances.
III. Assortir habilement ses rangs.
Mensius dit : « La saison appropriée n’est pas aussi importante que les avantages du sol ; et tout cela n’est pas aussi important que l’harmonie des relations humaines. »
IV. Celui qui, prudent, se prépare à affronter l’ennemi qui n’est pas encore ; celui-là même sera victorieux. Tirer prétexte de sa rusticité et ne pas prévoir est le plus grand des crimes ; être prêt en-dehors de toute contingence est la plus grande des vertus.
V. Être à l’abri des ingérences du souverain dans tout ce qu’on peut tenter pour son service et la gloire de ses armes.
C’est dans ces cinq matières que se trouve la voie de la victoire. »
« Celui qui se défend montre que sa force est inadéquate, celui qui attaque qu’elle est abondante. »
« Rendez-vous dans des lieux où l’ennemi ne puisse pas soupçonner que vous ayez dessein d’aller. Sortez tout à coup d’où il ne vous attend pas, et tombez sur lui lorsqu’il y pensera le moins. »
« Que l’ennemi ne sache jamais comment vous avez l’intention de le combattre. »
« Je dis que la victoire peut être créée […] Et quand j’ai remporté une bataille, je ne répète pas ma tactique, mais je réponds aux circonstances selon une variété infinie de voies. »
« Ne comptez jamais sur le hasard dans tout ce que vous ferez »
« Un ennemi surpris est à demi vaincu. »
« Un grand général doit savoir l’art des changements. »
« L’abondance d’argent est souvent plus funeste qu’elle n’est avantageuse, et plus préjudiciable qu’utile ; par l’abus qu’on en fait, elle est la source de la corruption des cœurs et la mère de tous les vices. »
« Quelque critiques que puissent être la situation et les circonstances où vous vous trouvez, ne désespérez de rien ; c’est dans les occasions où tout est à craindre qu’il ne faut rien craindre ; c’est lorsqu’on est environné de tous les dangers qu’il n’en faut redouter aucun ; c’est lorsqu’on est sans aucune ressource qu’il faut compter sur toutes ; c’est lorsqu’on est surpris qu’il faut surprendre l’ennemi lui-même. »
« Soyez instruit de tout, ne négligez rien de ce que vous pourrez apprendre. »
-Sun Tzu, L’Art de la guerre.