https://www.erudit.org/fr/revues/rf/2008-v21-n2-rf2879/029439ar.pdf
"Third wave is what defines it; girls who want to be boys, boys who want to be girls, boys and girls who insist they are both, whites who want to be black, blacks who want or refuse to be white, people who are white and black, gay and straight, masculine and feminine, or who are finding ways to be and name none of the above." (Heywood et Drake 1997 : .
"Aux yeux des postmodernes, la réalité est « précaire », plurielle et morcelée, vu qu’elle « se confond avec les interprétations subjectives qu’on en fait » (Boisvert 1998 : 184)." (p.15)
"Sur le plan des pratiques sociales, cela se traduit par le désengagement de l’État, par la reconnaissance des particularismes et des identités territoriales, par l’avènement des initiatives locales et régionales ainsi que par la décentralisation et la dissémination du Pouvoir. Les concepts de nation et de citoyenneté comportent des mutations radicales, engendrées par les mouvements sociopolitiques de décolonisation, par la visibilisation des minorités et par les grands mouvements de migration. Le multiculturalisme et le métissage deviennent les mots d’ordre dans bien des sociétés postcoloniales. [...] L’autre est le sujet social que mettent en avant le féminisme, le postcolonialisme et le multiculturalisme. Il est le queer, le bizarre, l’étrange, qui trouble l’ordre sexuel et générique." (p.16)
-Oprea, D. (2008). Du féminisme (de la troisième vague) et du postmoderne. Recherches féministes, 21 (2), 5–28.
"Third wave is what defines it; girls who want to be boys, boys who want to be girls, boys and girls who insist they are both, whites who want to be black, blacks who want or refuse to be white, people who are white and black, gay and straight, masculine and feminine, or who are finding ways to be and name none of the above." (Heywood et Drake 1997 : .
"Aux yeux des postmodernes, la réalité est « précaire », plurielle et morcelée, vu qu’elle « se confond avec les interprétations subjectives qu’on en fait » (Boisvert 1998 : 184)." (p.15)
"Sur le plan des pratiques sociales, cela se traduit par le désengagement de l’État, par la reconnaissance des particularismes et des identités territoriales, par l’avènement des initiatives locales et régionales ainsi que par la décentralisation et la dissémination du Pouvoir. Les concepts de nation et de citoyenneté comportent des mutations radicales, engendrées par les mouvements sociopolitiques de décolonisation, par la visibilisation des minorités et par les grands mouvements de migration. Le multiculturalisme et le métissage deviennent les mots d’ordre dans bien des sociétés postcoloniales. [...] L’autre est le sujet social que mettent en avant le féminisme, le postcolonialisme et le multiculturalisme. Il est le queer, le bizarre, l’étrange, qui trouble l’ordre sexuel et générique." (p.16)
-Oprea, D. (2008). Du féminisme (de la troisième vague) et du postmoderne. Recherches féministes, 21 (2), 5–28.