https://books.google.fr/books?id=Zxw3UjlO7hcC&pg=PA11&lpg=PA11&dq=Georges+Guy-Grand&source=bl&ots=ZBj5kugME9&sig=EVZJMuF9uMSiOtIa29hPZJ25Mg8&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjMhvurp-rdAhVQ0RoKHYgwC1oQ6AEwB3oECAAQAQ#v=onepage&q=Georges%20Guy-Grand&f=false
"Georges Guy-Grand, ce jurassien "laïc et républicain", fut une des belles figures de la IIIe République, l'un des premiers animateurs de l'Union pour la Vérité. J'ai toujours admiré son honnêteté scrupuleuse. Il croyait à la vertu du dialogue franc et courtois. Et nous en avons souvent usé ensemble. Il fut surpris, au début, de voir un homme d'Église qui ne cachait pas son attachement au meilleur de l'idéologie des Droits de l'Homme, et même son admiration pour Proudhon. Mais il me fit entièrement confiance, et me livra ses propres archives proudhoniennes." (p.11)
"Daniel Halévy n'ayant pas l'honneur d'être franc-comtois, G. Guy-Grand, qui l'était, le classait malicieusement parmi les "proudhoniens de l'extérieur". Et il est certain qu'il vibrait plus spontanément aux accents de Proudhon père de famille, passablement bonaldiens, qu'aux imprécations de Proudhon socialiste. Il n'empêche qu'il fréquentait depuis toujours Proudhon, et qu'il l'admirait sincèrement. C'était un grand Monsieur." (p.12)
-Pierre Haubtmann, Pierre-Joseph Proudhon: sa vie et sa pensée, 1809-1849, Paris, Beauschene Éditeur, 1982, 1136 pages.
"Georges Guy-Grand, ce jurassien "laïc et républicain", fut une des belles figures de la IIIe République, l'un des premiers animateurs de l'Union pour la Vérité. J'ai toujours admiré son honnêteté scrupuleuse. Il croyait à la vertu du dialogue franc et courtois. Et nous en avons souvent usé ensemble. Il fut surpris, au début, de voir un homme d'Église qui ne cachait pas son attachement au meilleur de l'idéologie des Droits de l'Homme, et même son admiration pour Proudhon. Mais il me fit entièrement confiance, et me livra ses propres archives proudhoniennes." (p.11)
"Daniel Halévy n'ayant pas l'honneur d'être franc-comtois, G. Guy-Grand, qui l'était, le classait malicieusement parmi les "proudhoniens de l'extérieur". Et il est certain qu'il vibrait plus spontanément aux accents de Proudhon père de famille, passablement bonaldiens, qu'aux imprécations de Proudhon socialiste. Il n'empêche qu'il fréquentait depuis toujours Proudhon, et qu'il l'admirait sincèrement. C'était un grand Monsieur." (p.12)
-Pierre Haubtmann, Pierre-Joseph Proudhon: sa vie et sa pensée, 1809-1849, Paris, Beauschene Éditeur, 1982, 1136 pages.