https://fr.wikipedia.org/wiki/Sacrifice
"fait de détruire ou laisser détruire stratégiquement une partie d'un ensemble en vue d'un objectif global jugé plus important" => n'est-ce pas vrai de tout choix ?
Problématique avec la notion de don.
"Inutile d’ajouter qu’ils n’y sont guère aidés par la mode, non plus que par le comportement d’adultes ou revanchards ou gavés par une société dite de consommation qui ignore le sacrifice."
-Jean Gagnepain, Du Vouloir dire. Traité d'épistémologie des sciences humaines, Tome 3, Guérir l'homme. Former l'homme. Sauver l'homme, Bruxelles, De Boeck Université, 1995, p.92.
https://viechretienne.catholique.org/meditation/30526-on-ne-recoit-que-ce-que-l-on-donne
"Le Christ dit à Pierre que pour le suivre il faut accepter de tout quitter, même ce qui nous est le plus cher et le plus intime, dans notre vie, comme notre famille. Il faut admirer tous ceux qui l’ont fait dans l’histoire de l’Eglise, tous ceux qui ont quitté père, mère, foyer, et qui ont accepté de vivre selon le commandement du Seigneur de la façon la plus radicale. Ce n’est pas que les propriétés, les maisons, la parenté ou les enfants soient en eux-mêmes nuisibles, car en ce cas il n’y aurait pas grand sacrifice à les abandonner. Il s’agit ici de donner même ce qui est bon pour un bien plus grand."
https://hydre-les-cahiers.blogspot.com/2017/07/la-morale-de-legoisme-rationnel.html
"La survie de son épouse est une valeur plus grande pour le mari que tout ce que son argent pourrait acheter d’autre, c’est ce qu’il y a de plus important pour son propre bonheur et, en conséquence, son action n’est pas un sacrifice."
Derrière des définitions opposées, et une appréciation par suite opposée de la valeur morale du sacrifice, les deux textes ne se contredisent pas: un plus grand bien pour l'agent moral doit toujours être préféré à un moindre bien ou à un mal.
"fait de détruire ou laisser détruire stratégiquement une partie d'un ensemble en vue d'un objectif global jugé plus important" => n'est-ce pas vrai de tout choix ?
Problématique avec la notion de don.
"Inutile d’ajouter qu’ils n’y sont guère aidés par la mode, non plus que par le comportement d’adultes ou revanchards ou gavés par une société dite de consommation qui ignore le sacrifice."
-Jean Gagnepain, Du Vouloir dire. Traité d'épistémologie des sciences humaines, Tome 3, Guérir l'homme. Former l'homme. Sauver l'homme, Bruxelles, De Boeck Université, 1995, p.92.
https://viechretienne.catholique.org/meditation/30526-on-ne-recoit-que-ce-que-l-on-donne
"Le Christ dit à Pierre que pour le suivre il faut accepter de tout quitter, même ce qui nous est le plus cher et le plus intime, dans notre vie, comme notre famille. Il faut admirer tous ceux qui l’ont fait dans l’histoire de l’Eglise, tous ceux qui ont quitté père, mère, foyer, et qui ont accepté de vivre selon le commandement du Seigneur de la façon la plus radicale. Ce n’est pas que les propriétés, les maisons, la parenté ou les enfants soient en eux-mêmes nuisibles, car en ce cas il n’y aurait pas grand sacrifice à les abandonner. Il s’agit ici de donner même ce qui est bon pour un bien plus grand."
https://hydre-les-cahiers.blogspot.com/2017/07/la-morale-de-legoisme-rationnel.html
"La survie de son épouse est une valeur plus grande pour le mari que tout ce que son argent pourrait acheter d’autre, c’est ce qu’il y a de plus important pour son propre bonheur et, en conséquence, son action n’est pas un sacrifice."
Derrière des définitions opposées, et une appréciation par suite opposée de la valeur morale du sacrifice, les deux textes ne se contredisent pas: un plus grand bien pour l'agent moral doit toujours être préféré à un moindre bien ou à un mal.