https://www.cairn.info/revue-des-sciences-de-gestion-2008-1-page-111.htm
"« L’anormal » est un des facteurs qui attire et interpelle l’attention du spectateur."
"L’absence de familiarité à l’égard du message publicitaire est susceptible de créer une hostilité à l’égard de la marque et réduirait dangereusement l’efficacité du message publicitaire."
"La modification de l’attitude et la formation des jugements, paramètres d’évaluation et de persuasion et donc de l’efficacité de la publicité est pour les affectivistes une question qui pourrait être expliquée fort logiquement à partir d’un certain nombre de facteurs émotionnels. Il n’est pas indispensable de passer d’abord par le filtre cognitif. Autrement dit, un message publicitaire peut tout aussi bien remplir son rôle de persuasion, en se basant tout simplement sur une musique, une couleur, une image, un logo, un nom, etc. (Kammoun. Mohamed, 2001).
Cette conclusion remet en cause totalement, la théorie et le modèle cognitif, qui considèrent qu’il existe toujours une primauté du cognitif sur l’affectif. Janiszewsky. C, (1988) affirme qu’il existe même une indépendance entre le cognitif et l’affectif."
"La publicité est nécessaire à l’entreprise comme pour l’économie en général."
-Mohamed Kammoun, « Efficacité de la publicité. Un état de l'art », La Revue des Sciences de Gestion, 2008/1 (n°229), p. 111-119. DOI : 10.3917/rsg.229.0111. URL : https://www.cairn.info/revue-des-sciences-de-gestion-2008-1-page-111.htm
"« L’anormal » est un des facteurs qui attire et interpelle l’attention du spectateur."
"L’absence de familiarité à l’égard du message publicitaire est susceptible de créer une hostilité à l’égard de la marque et réduirait dangereusement l’efficacité du message publicitaire."
"La modification de l’attitude et la formation des jugements, paramètres d’évaluation et de persuasion et donc de l’efficacité de la publicité est pour les affectivistes une question qui pourrait être expliquée fort logiquement à partir d’un certain nombre de facteurs émotionnels. Il n’est pas indispensable de passer d’abord par le filtre cognitif. Autrement dit, un message publicitaire peut tout aussi bien remplir son rôle de persuasion, en se basant tout simplement sur une musique, une couleur, une image, un logo, un nom, etc. (Kammoun. Mohamed, 2001).
Cette conclusion remet en cause totalement, la théorie et le modèle cognitif, qui considèrent qu’il existe toujours une primauté du cognitif sur l’affectif. Janiszewsky. C, (1988) affirme qu’il existe même une indépendance entre le cognitif et l’affectif."
"La publicité est nécessaire à l’entreprise comme pour l’économie en général."
-Mohamed Kammoun, « Efficacité de la publicité. Un état de l'art », La Revue des Sciences de Gestion, 2008/1 (n°229), p. 111-119. DOI : 10.3917/rsg.229.0111. URL : https://www.cairn.info/revue-des-sciences-de-gestion-2008-1-page-111.htm