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    Citations de personnalités politiques (ou autres)

    Johnathan R. Razorback
    Johnathan R. Razorback
    Admin


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    Date d'inscription : 12/08/2013
    Localisation : France

    Citations de personnalités politiques (ou autres) Empty Citations de personnalités politiques (ou autres)

    Message par Johnathan R. Razorback Lun 22 Fév 2016 - 17:45

    "Les déclarations du ministre de l'Economie et des Finances [Alain Madelin] contrarient la volonté réformatrice du gouvernement fondée sur une politique de justice sociale et fiscale et sur une méthode de concertation large et responsable. Dans ce contexte, Alain Madelin m'a présenté sa démission et je l'ai acceptée."
    -Communiqué du Premier ministre Alain Juppé, 26 août 1995 (cf: http://www.lopinion.fr/25-aout-2014/arnaud-montebourg-precedent-alain-madelin-il-y-a-19-ans-15592 ).

    "La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage."
    -Éric Besson, Ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire, 5 janvier 2010.

    "Il y a un moment déjà que nous repensons la notion d’appropriation collective. Nos conceptions ont été longtemps marquées par des conceptions étatiques de l’appropriation sociale. Même si le mouvement ouvrier français a été traversé de beaucoup de courants coopératifs autogestionnaires.

    Aujourd’hui, des choses essentielles bouleversent notre approche. D’abord, la dimension mondiale de ces enjeux, qui ne peut pas réduire la question de la souveraineté des choix économiques au seul horizon des États nationaux
    ."
    -Pierre Laurent : « L’écologie est LA question du XXIe siècle », Reporterre, 10 septembre 2016.

    "Accordons le droit de vote à tous les habitants majeurs de France et donc aux étrangers qui vivent ici."
    -Pierre Laurent, Vœux du 11 janvier 2016 (pour cette référence à d'autres prises de position de personnalités de gauche sur cette même question => http://laconnaissanceouverteetsesennemis.blogspot.fr/2014/06/contre-leligibilite-et-le-vote-etrangers_15.html ).

    "Le plus stratégique est de constituer le supranational en communauté politique, capable d’affirmer sa souveraineté en se dotant de projet partagé."
    -Roger Martelli, Faut-il être souverainiste avec Lordon ?, 15 avr. 2014 (cf: https://blogs.mediapart.fr/roger-martelli/blog/150414/faut-il-etre-souverainiste-avec-lordon ).

    "On ne dispute pas la nation au Front national : on ouvre la souveraineté populaire vers tous les espaces politiques sans distinction. On ne lui dispute pas l’identité collective, nationale ou autre : on plaide pour les libres identifications, pour le libre jeu des appartenances."
    -Roger Martelli, Penser le populisme, Regard.fr, 19 septembre 2016.

    "Madame Le Pen parle comme un tract du Parti communiste des années 1970. »
    -Hollande, Canal +, avril 2015.

    « Si nous ne voulons pas du renforcement de l’Europe, alors la seule voie possible c’est de sortir de l’Europe, tout simplement. Sortir de l’Europe, sortir de Schengen, sortir de l’euro, et même sortir de la démocratie [sic]. La souveraineté européenne, c’est être capable de décider pour nous-mêmes et éviter le retour au nationalisme, au populisme, aux extrémismes. »
    -François Hollande, 7 octobre 2015, au Parlement européen.

    "Le FN prend sciemment, cyniquement, le langage du PC."
    -François Hollande, in Davet & Fabrice Lhomme, Un président ne devrait pas dire ça..., Éditions Stock, 2016, 662 pages, p.325.

    "La nationalité française doit pouvoir être retirée à toute personne d’origine étrangère qui aurait volontairement porté atteinte à la vie d’un fonctionnaire de police ou d’un militaire de la gendarmerie ou de toute autre personne dépositaire de l’autorité publique", avait demandé le président de la République, soutenu dans une large mesure par sa majorité." (Nicolas Sarkozy, discours de Grenoble, cité dans Le Monde, 28/09/2010)

    "Marine Le Pen a le programme économique de l’extrême-gauche."
    -Nicolas Sarkozy, France info, 24 mars 2015.

    "'Il [le Front National] ne peut voir que, précisément, ce qui sonnerait la mort sociale et économique de notre pays, ce serait au contraire la sortie de l'euro."
    -Laurence Parisot & Rose Lapresle, Un piège bleu Marine, Calmann-Lévy, 2011, 144 pages, p. 112.

    "Dire que tout est de la faute de l'euro est facile et faux."
    -Jean-François Copé, Meeting à Reims (09.09.16: http://www.liberation.fr/direct/element/pour-cope-chaque-jeune-doit-recevoir-a-16-ans-un-numero-de-siret_47111/ ).

    "Il faudrait amener la zone euro aux trois conditions prédéfinies d’une union monétaire. Auparavant il faudrait écoper le navire pour le rééquilibrer, c’est-à-dire éponger les dettes soudainement œdèmisées à partir de 2007/2008. L’endettement espagnol en 2008 était inférieur à celui de l’Allemagne. La technique financière permet cela, il faut aussi que la solidarité européenne existe, que les pays qui ont profité de l’euro au détriment des autres acceptent en quelque sorte de rendre la monnaie de la pièce et ne contribuent pas à l’aggravation de la situation, avec en point de mire l’éradication du concurrent industriel et commercial. Sans cela, l’Union européenne et l’euro périront."
    -Alain Favaletto, Secrétaire départemental du Front National dans le Haut-Rhin, Comprendre la crise de l'euro, blog de l'auteur, 03 janvier 2015.

    "Ce que représente le voile pour les femmes, non ce n'est pas un phénomène de mode, non, ce n'est pas une couleur qu'on porte, non : c'est un asservissement de la femme." -Manuel Valls, 4 avril 2016, colloque au théâtre Déjazet à Paris sur "L'islamisme et la récupération populiste en Europe". Cité dans Marianne, 5 avril 2016 (cf: http://www.marianne.net/mode-islamique-voile-est-asservissement-femme-lache-valls-100241823.html ).

    "Il n'y a pas de contagion du foulard."
    -Thierry Mandon, secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, sur RTL, 13 avril 2016.

    "L’immigration est pourtant une source de coûts très importants ; elle est utilisée par le grand patronat pour peser à la baisse sur les salaires et déstabilise en profondeur notre société et ses équilibres."
    -Le programme du Front National, rubrique immigration (cf: http://www.frontnational.com/le-projet-de-marine-le-pen/autorite-de-letat/immigration/ ).

    « Le développement de nouveaux champs sectoriels s’ouvre avec les technologies vertes, les énergies décarbonées et la capture et le stockage du CO2, les biotechnologies et les sciences du vivant, la chimie du végétal, les nouveaux matériaux, les nanotechnologies, les sciences cognitives et les nouvelles technologies informatiques. Autant de pistes pour une nouvelle révolution productive. »
    -Le Monde diplomatique, mars 2012.

    "Je me méfie aussi de la course à "plus libéral que moi tu meurs". Si le libéralisme aboutit à ne plus avoir de politique industrielle, à oublier que l'objectif, c'est aussi de fortifier nos entreprises face à une concurrence mondiale effrénée, si le libéralisme est un ­capitalisme sans racines et sans identité, ça ne m'intéresse pas. Même les Américains ne se privent pas de protéger leurs entreprises quand il le faut. Il ne faudrait pas que les politiques français, avec la fureur du converti, confondent la modernisation du pays avec l'abandon de toute ambition industrielle, au profit d'un libéralisme qu'on achèterait comme un veau d'or, avec une naïveté coupable."
    -Laurent Wauquiez (cf: http://www.lejdd.fr/Politique/Laurent-Wauquiez-Aucun-compromis-avec-la-gauche-en-2017-788989 ).

    "On ne peut rien faire de bon pour le monde du travail si l'on ne sort des traités européens."

    "Le 49-3, c'est la quintessence de la monarchie présidentielle au service du capitalisme absolu."

    "Nous prévoyons de mettre 100 milliards [dans les services publiques] pour relancer l'activité."

    "Il faut sortir du nucléaire. [...] Nous devons et nous pouvons passer au 100% d'énergies renouvelables."
    -Discours de Jean-Luc Mélenchon au défilé de la France insoumise, 5 juin 2016.

    "Au siècle où les humains n’étaient « que » deux milliards, il y avait le « parti de classe ». Il était nécessairement aussi délimité que l’était « la classe » elle-même dans une société où elle n’était nullement hégémonique. En fait, les ouvriers constituaient une sorte d’archipel dans un océan de paysannerie et de travailleurs indépendants de la boutique et de l’artisanat. Sa verticalité correspondait à une organisation du travail lui-même. La centralisation découlait des moyens de transports et de communication autant que comme reflet de la centralisation de son adversaire. Bref, le « parti de classe » correspondait à une réalité sociale et matérielle qui s’est elle-même dépassée de toutes les façons possibles. L’émergence du « peuple » comme catégorie sociale protagoniste face à l’oligarchie de la période du capitalisme financiarisé dominant appelle sa forme spécifique d’organisation."
    -Jean-Luc Mélenchon, Le peuple et le « mouvement », Le blog de Jean-Luc Mélenchon, 2 novembre 2016.

    "La France n'est pas une nation occidentale mais universaliste, nous sommes présents sur les 5 continents."
    -Jean-Luc Mélenchon, débat présidentiel sur TF1, 20 mars 2017.

    "Florian Philippot est un fasciste, on en a rien à faire."
    -Jean-Luc Mélenchon, Interview pour RTL, 21/09/2017.

    "Les deux grands courants idéologiques engendrés par la révolution industrielle, accompagnant l’un l’essor du capitalisme et l’autre l’espérance socialiste, sont désormais à bout de souffle. Malgré leurs différences, fondées sur un enracinement social historiquement opposé et des valeurs souvent contradictoires, ils se montrent pareillement désorientés sur l’essentiel, saisis d’impuissance face à l’effondrement du credo productiviste qu’ils partagent. Celui-ci ne constitue-t-il pas leur matrice commune ? Forcer la nature pour développer les forces productives, diffuser l’enrichissement, chacun à sa manière, produire plus pour consommer plus et stimuler la croissance. Une logique qui a fait ses preuves dans le grand bond en avant du développement mais qui aujourd’hui, justement, ne marche plus."
    -Le Manifeste pour une société écologique (EELV: http://ri.eelv.fr/manifeste/ ).

    "Que se serait-il passé si François Mitterand n'avait, en 1983, pris son tournant libéral, au mépris de ses promesses de 1981 ? La France serait sortie du système monétaire européen et se serait paupérisée à grande vitesse."
    -Etienne Gernelle, Le Point, n°2281, 26 mai 2016, p.8.

    "On a besoin d'un vrai prix du travail. S'il est inférieur à ce qui est nécessaire au travailleur pour vivre, il faut le complèter par un revenu mnimum garanti, quel que soit le nom qu'on lui donne."
    -Alain Madelin, Le Point, n°2281, 26 mai 2016, p.36.

    "Pour les salariés en CDI (sans parler des personnels à statut, comme les cheminots), ce détricotage [du code du travail] sera une perte. En revanche, pour les millions de chômeurs et de précaires, ce sera une formidable bouffée d'oxygène. Combien d'emplois au juste notre pays y gagnera-t-il ? Difficile de le dire avec précision."
    -Capital, n°287, août 2015, p.58.

    « Nous allons étendre la loi de 2004 qui s’est appliquée à l’école, qui a fait l’objet à l’époque de beaucoup de débats. On s’est rendu compte qu’elle était excellente, elle a quand même apaisé les tensions à l’école. Nous allons la faire appliquer dans l’ensemble de l’espace public. »
    -Florian Philippot, 26 août 2016 (cf: http://www.marianne.net/fn-veut-interdire-kippa-voile-grande-croix-rue-ce-n-est-pas-nouveau-100245344.html ).

    "Nous avions nous aussi, Américains et Européens, un objectif  clair: éliminer Bachar, responsable à nos yeux  de l’écrasement de son peuple, de la radicalisation de son opposition et finalement de la montée en puissance de Daech. Et faciliter la transition vers une Syrie sans Bachar.

    Nous ne nous sommes pas donné les moyens d’atteindre cet objectif. [...]

    Il faudra une forte coalition pour venir à bout d’un Etat islamique auto-proclamé dont les moyens sont considérables
    ."
    -Alain Juppé, Notre fiasco syrien, 24/10/2015 (cf: http://www.al1jup.com/notre-fiasco-syrien/ ).

    Position ridiculisée ici: https://www.les-crises.fr/notre-fiasco-syrien-par-alain-juppe/

    "Quand l'UMP a été créée, c’était une victoire contre le gaullisme. Cela faisait longtemps qu’Alain Juppé qui en a été le premier président, et bien d’autres, cherchaient par tous les moyens à extirper le gaullisme du RPR qu'ils jugeaient ringard au point d’en faire partir de grandes figures comme Séguin et Pasqua."
    -Henri Guaino, Entretien avec Geoffroy Clavel, Le Huffington Post, 21/09/2016.

    "Les premiers révolutionnaires de 1789 étaient des libéraux, à l’instar de ceux des prochaines révolutions."
    -Aurélien Véron, Les libéraux sont-ils une espèce en voie de disparition ?, Contrepoints, 27 décembre 2016.

    "Il y a une question politique de fond, historique et morale: est ce que la France avec son histoire, avec son aspiration, se rallie à ce que j'appelle l'hypercapitalisme qui domine le monde."
    -François Bayrou, Émission "Face aux chrétiens", rapporté par L'Express, 02/02/2017.

    "Le libéralisme est une valeur de gauche."
    -Emmanuel Macron, sur Europe 1, 27 septembre 2015.

    "Je suis pour un modèle solidariste."

    "Faire payer davantage les revenus du capital."

    "Si c'était l'argent qui m'intéressait, je serais rester banquier d'affaire."

    "Le contrat de travail, c'est pas un contrat comme un autre. Il est déséquilibré. On le sait, c'est le code du travail. [...] Je suis contre [le fait que le contrat de travail se négocie au niveau individuel]."

    "On laisse faire, non pas la sauvagerie du marché, mais le dialogue social."

    "Je pense que l'on peut dire, penser, au-delà de l'endroit où l'on est dans la société."

    "Pour moi, la beauté de la politique, c'est d'essayer de convaincre, d'être dans le dialogue les uns avec les autres et d'aller au contact."

    "Je pense que ceux qui utilisent la laïcité comme un combat contre l'Islam se trompent très profondément. [...] La laïcité, il faut la laisser à sa place."

    "On doit démanteler les associations [islamistes qui rejettent la République française]. [...] La Première des batailles, c'est de ramener la République dans [certains] quartiers."

    "C'est un sujet [la dépénalisation du canabis] sur lequel je n'ai pas finalisé ma réflexion."

    "Reconstruire de la conflictualité politique autour des éléments signifiants."

    "Je crois dans une vraie souveraineté européenne. [...] Sur beaucoup de sujets, l'Europe protège mieux que l'Etat-Nation."
    -Emmanuel Macron, "En Direct de Mediapart", 4 novembre 2016.

    "Nous ne pouvons plus louer le capitalisme, sans en limiter les effets."
    -Emmanuel Macron, Meeting de Lyon, 4 février 2017.

    "La France n'est un modèle pour le monde que si elle est exemplaire."

    "La division et les fractures qui parcourent notre société doivent être surmontées."

    "Nous avons un rôle immense: corriger les excès du cours du monde, et veiller à la défense de la liberté."

    "[L'Europe] est l'instrument de notre puissance et notre souveraineté."

    "Rien ne me fera renoncer à défendre en tout temps et en tout lieux les intérêts supérieurs de la France."
    -Emmanuel Macron, Discours d'investiture à la présidence de la république, 14 mai 2017.

    "Je crois à cet esprit des Lumières qui fait que notre objectif, à la fin, est bien l’autonomie de l’homme libre, conscient et critique."
    -Emmanuel Macron, Discours au Congrès, 3 juillet 2017.

    « L'Occident s'est perdu dans un interventionnisme moral intempestif au Proche et Moyen Orient, ainsi qu'en Afrique du Nord, durant les dix dernières années. »
    -Emmanuel Macron, Entretien au journal Le Point, 30 août 2017.

    "La pornographie a franchi la porte des établissements scolaires. Nous ne pouvons ignorer ce genre qui fait de la femme un objet d'humiliation."
    -Emmanuel Macron, message Twitter, 12:42 PM, 25 nov. 2017.

    "Je suis pour tourner la page d’une Europe ultralibérale." -Emmanuel Macron, Entretien au Journal du Dimanche, 29 septembre 2018.

    "S'il était en Allemagne, le président français devrait affronter des arguments de fond et de valeur, et il aurait, sinon plus de peine, du moins des explications autrement plus lourdes à livrer sur ses plans.

    Nous sommes en France, pays où l'économie a toujours joué un rôle secondaire. On en connaît l'origine, l'Etat royal absolutiste puis la Révolution ont mis devant la politique
    ."
    -Eric Le Boucher (éditorialiste), Macron face à l'inculture économique des Français, lesechos.fr, 2 novembre 2017.

    "Emmanuel Macron fait des choses que la droite aurait dû faire depuis longtemps et qu'il serait fou de dénoncer. Mais il ne va pas assez loin."
    -Maël de Calan, interview avec Isabelle FicekPierre et Alain Furbury, lesechos.fr, 1er novembre 2017.

    "J'ai ai épinglé plus d'un au mur de ces experts ultralibéraux qui ne connaissent rien à la réalité des collectivités locales."
    -François Baroin, Entretien sur France 2, 20 novembre 2017.

    "Jean est le fils d'un génie politique, il n'est pas étonnant qu'il soit précoce. Quand vous êtes l'enfant d'un pianiste de grand talent, ce n'est pas étonnant que vous ayez vous même des aptitudes et si vous êtes le fils de Zidane, que vous jouiez bien au foot.", explique à l'AFP Thierry Solère, vice-président UMP du conseil général des Hauts-de-Seine proche de Jean Sarkozy.

    "La capacité de discernement des citoyens ne suffit plus."
    -Audition, commune avec la commission des Lois, de Mme Françoise Nyssen, ministre de la Culture, et discussion générale au cours de la réunion du 22 mai 2018 à 16 heures 30.

    "à l'UDI, nous proposons depuis plus d'un an une grande agence nationale de la cohésion des territoires. Comme au temps de la planification, il faut montrer qu'il y a une politique déterminée pour que tout le monde ait accès aux transports, à la téléphonie mobile, à l'Internet à haut débit, à des formations d'excellence, à un réseau médical ...  [...]

    Nous devons réformer l'Europe de l'intérieur : actuellement, elle organise une compétition déloyale entre ses membres alors qu'elle n'a pas été faite pour cela. Ensuite, il faut fédérer l'Europe face aux grandes puissances mondiales pour reconquérir notre indépendance sur un certain nombre de sujets, comme la souveraineté industrielle ou technologique, mais aussi pour le contrôle des frontières et de l'immigration, la création d'un parquet et d'une police fédérale qui combattent le terrorisme et la grande délinquance internationale... Il faut tourner la page des années Barroso [président de la Commission européenne de 2004 à 2014] qui ont été celles du culte de l'ultra-libéralisme
    ."
    -Jean-Christophe Lagarde, Entretien avec Alexandre Sulzer, www.lexpress.fr, 22/08/2018.




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    « La question n’est pas de constater que les gens vivent plus ou moins pauvrement, mais toujours d’une manière qui leur échappe. » -Guy Debord, Critique de la séparation (1961).

    « Rien de grand ne s’est jamais accompli dans le monde sans passion. » -Hegel, La Raison dans l'Histoire.

    « Mais parfois le plus clair regard aime aussi l’ombre. » -Friedrich Hölderlin, "Pain et Vin".


      La date/heure actuelle est Sam 23 Nov 2024 - 10:48