https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Boudot
« Dures années de guerres et de désastres, d’inquiétude et de désarroi. Qu’ont pensé de Nietzsche, dans cette période, les écrivains ? » (p.9)
« On ne peut nier que la pensée de Nietzsche, toujours mêlée de passion ait suscité, même en France […] un goût dangereux pour les solutions de violence. » (p.10)
« Comment ne pas se sentir d’accord avec lui pour exalter l’homme, pour le pousser aux graves décisions et aux larges projets d’avenir. » (p.11)
-Genevièvre Bianquis, préface à Pierre Boudot, Nietzsche et l’au-delà de la liberté. Nietzsche et les écrivains français de 1930 à 1960, Aubier-Montaigne, 1970, 155 pages.
« Beaucoup [au début des années 30] ne pensaient pas comme aujourd’hui que l’esprit contemporain doit nécessairement se recommander soit de Marx, soit de Nietzsche. » (p.17)
« A l’Ecole Normale, deux ans après la mort de Nietzsche, Jean Giraudoux eut comme professeur Charles Andler. » (p.23)
« Camus parle de Nietzsche dans L’Homme révolté. […] Une partie du chapitre sur Nietzsche a été reprise dans l’article « Nietzsche et le nihilisme », Les Temps Modernes, août 1951. » (p.64)
« Il aime Nietzsche. « J’emporte Nietzsche sous mon bras. J’aime ce type immensément. Et cette solitude… Il y a des choses que j’adore, -mon cœur où se consume mon été, cet été chaud, court, mélancolique et bienheureux-. » (p.77)
« Il faut « pousser les hommes vers une vie forte qui entraîne les hommes vers une vie forte qui entraîne des souffrances et des joies, mais qui seule ». » (p.80)
« Cette pensée nous fait déboucher sur un certain humanisme. Non que l’amour pour l’homme suffise à le fonder. Il y a humanisme lorsque la civilisation et la culture sont créées dans la maîtrise croissante des forces se dirigeant vers l’homme. C’est de l’homme que tout rayonne, et par lui que lui-même, l’art et la science reçoivent leur sens. » (p.84)
« Quiconque craint la contradiction et demeure logique tue en lui la vie. » (Citadelle)
« [Nietzsche] remet le corps à sa place au milieu de la vie de l’esprit. » (Drieu La Rochelle, Notes pour comprendre le siècle, Gallimard, 1941)
« Le totalitarisme [offre] les chances d’une double restauration corporelle et spirituelle à l’homme du XXe siècle. » (Ibid)
« L’œuvre de Nietzsche […] infiniment dangereuse et infiniment salutaire. » (Gabriel Marcel, L’Homme problématique, Aubier, Editions Montaigne, 1955, p.36)
« On pourrait notamment s’intéresser aux journaux, particulièrement ceux des partis extrêmes, au cours de cette période. » (p.143)
« Nietzsche reste l’homme d’une éternelle adolescence et peut-être aussi le modèle de l’adolescence de l’œuvre. » (p.149)
-Pierre Boudot, Nietzsche et l’au-delà de la liberté. Nietzsche et les écrivains français de 1930 à 1960, Aubier-Montaigne, 1970, 155 pages.
« Dures années de guerres et de désastres, d’inquiétude et de désarroi. Qu’ont pensé de Nietzsche, dans cette période, les écrivains ? » (p.9)
« On ne peut nier que la pensée de Nietzsche, toujours mêlée de passion ait suscité, même en France […] un goût dangereux pour les solutions de violence. » (p.10)
« Comment ne pas se sentir d’accord avec lui pour exalter l’homme, pour le pousser aux graves décisions et aux larges projets d’avenir. » (p.11)
-Genevièvre Bianquis, préface à Pierre Boudot, Nietzsche et l’au-delà de la liberté. Nietzsche et les écrivains français de 1930 à 1960, Aubier-Montaigne, 1970, 155 pages.
« Beaucoup [au début des années 30] ne pensaient pas comme aujourd’hui que l’esprit contemporain doit nécessairement se recommander soit de Marx, soit de Nietzsche. » (p.17)
« A l’Ecole Normale, deux ans après la mort de Nietzsche, Jean Giraudoux eut comme professeur Charles Andler. » (p.23)
« Camus parle de Nietzsche dans L’Homme révolté. […] Une partie du chapitre sur Nietzsche a été reprise dans l’article « Nietzsche et le nihilisme », Les Temps Modernes, août 1951. » (p.64)
« Il aime Nietzsche. « J’emporte Nietzsche sous mon bras. J’aime ce type immensément. Et cette solitude… Il y a des choses que j’adore, -mon cœur où se consume mon été, cet été chaud, court, mélancolique et bienheureux-. » (p.77)
« Il faut « pousser les hommes vers une vie forte qui entraîne les hommes vers une vie forte qui entraîne des souffrances et des joies, mais qui seule ». » (p.80)
« Cette pensée nous fait déboucher sur un certain humanisme. Non que l’amour pour l’homme suffise à le fonder. Il y a humanisme lorsque la civilisation et la culture sont créées dans la maîtrise croissante des forces se dirigeant vers l’homme. C’est de l’homme que tout rayonne, et par lui que lui-même, l’art et la science reçoivent leur sens. » (p.84)
« Quiconque craint la contradiction et demeure logique tue en lui la vie. » (Citadelle)
« [Nietzsche] remet le corps à sa place au milieu de la vie de l’esprit. » (Drieu La Rochelle, Notes pour comprendre le siècle, Gallimard, 1941)
« Le totalitarisme [offre] les chances d’une double restauration corporelle et spirituelle à l’homme du XXe siècle. » (Ibid)
« L’œuvre de Nietzsche […] infiniment dangereuse et infiniment salutaire. » (Gabriel Marcel, L’Homme problématique, Aubier, Editions Montaigne, 1955, p.36)
« On pourrait notamment s’intéresser aux journaux, particulièrement ceux des partis extrêmes, au cours de cette période. » (p.143)
« Nietzsche reste l’homme d’une éternelle adolescence et peut-être aussi le modèle de l’adolescence de l’œuvre. » (p.149)
-Pierre Boudot, Nietzsche et l’au-delà de la liberté. Nietzsche et les écrivains français de 1930 à 1960, Aubier-Montaigne, 1970, 155 pages.