http://www.defnat.com/e-RDN/cahiers-de-la-RDN.php
https://fr.calameo.com/read/0005581155644e8e649cc
"Le budget de la défense s'établit aujourd'hui à 42.3 milliards d'euros, soit 13.7% du budget général (Éducation 21.7%, charge de la dette 14%). Le calcul hors pensions fait apparaître des moyens budgétaires à hauteur de 31.4 milliards d'euros en 2015, 32 en 2016 et 32.2 en 2017.
Les deux questions sont posées au futur chef de l'Etat, chef des Armées, sont, respectivement, celle du respect des engagements de la loi de programmation (LPM) 2014-2019 et celle des 2% du PIB, montant estimé indispensable par les militaires (dont le Céma) pour restaurer certaines capacités militaires, accomplir les missions des Armées et préparer l'avenir. Leur affectation aux Armées supposerait un budget d'un montant annuel de 24 milliards, hors pensions." (p.
"On a une volonté de réaffirmation de la puissance française et de son poids militaire en Europe, à l'heure où les principales Armées européennes connaissent de nouvelles coupes budgétaires sur fond de problèmes structurels plus profonds." (p.17)
"Atteindre le niveau fixé par l'OTAN de 2% du PIB en dépenses militaires d'ici 2025, soit une augmentation considérable du budget du ministère des Armées (environ 295 milliards d'euros sur l'ensemble de la période, ce qui représente 9.8 Mds d'euros supplémentaires et une augmentation d'environ 1.7 Md d'euros par an) afin de montrer que la France respecte ses engagements internationaux et prend très au sérieux la défense collective de l'Europe." (p.18)
84 pages.
https://fr.calameo.com/read/0005581155644e8e649cc
"Le budget de la défense s'établit aujourd'hui à 42.3 milliards d'euros, soit 13.7% du budget général (Éducation 21.7%, charge de la dette 14%). Le calcul hors pensions fait apparaître des moyens budgétaires à hauteur de 31.4 milliards d'euros en 2015, 32 en 2016 et 32.2 en 2017.
Les deux questions sont posées au futur chef de l'Etat, chef des Armées, sont, respectivement, celle du respect des engagements de la loi de programmation (LPM) 2014-2019 et celle des 2% du PIB, montant estimé indispensable par les militaires (dont le Céma) pour restaurer certaines capacités militaires, accomplir les missions des Armées et préparer l'avenir. Leur affectation aux Armées supposerait un budget d'un montant annuel de 24 milliards, hors pensions." (p.
"On a une volonté de réaffirmation de la puissance française et de son poids militaire en Europe, à l'heure où les principales Armées européennes connaissent de nouvelles coupes budgétaires sur fond de problèmes structurels plus profonds." (p.17)
"Atteindre le niveau fixé par l'OTAN de 2% du PIB en dépenses militaires d'ici 2025, soit une augmentation considérable du budget du ministère des Armées (environ 295 milliards d'euros sur l'ensemble de la période, ce qui représente 9.8 Mds d'euros supplémentaires et une augmentation d'environ 1.7 Md d'euros par an) afin de montrer que la France respecte ses engagements internationaux et prend très au sérieux la défense collective de l'Europe." (p.18)
84 pages.