"L'« humanité », l'« église universelle », le « moi » individualiste et séparé du sang, n'ont plus l'attrait de valeurs suprêmes, mais ils ressemblent maintenant partout à des élucubrations délirantes, plus ou moins chancelantes, à des abstractions violant la nature et sans véritable dessein."
"Aujourd'hui, une génération entière commence à pressentir qu'on ne peut créer et conserver de vraies valeurs que là où la loi du sang détermine les idées et les actes des hommes."
"Les géophysiciens nous désignent des massifs montagneux enfouis entre l'Amérique du Nord et l'Europe, dont nous pouvons encore voir de nos jours certains reliefs émergés au Groenland et en Islande. Par ailleurs, ils nous apprennent que d'anciennes lignes d'eau situées à plus de cent mètres au-dessus du niveau actuel de la mer sont visibles dans des îles du grand Nord (Nouvelle Zemble) ; elles rendent probable le fait que le pôle s'est déplacé et qu'un climat plus tempéré a régné en Arctique. Tout cela éclaire désormais d'une lumière nouvelle la très ancienne légende de l'Atlantide. Il semble de plus en plus probable qu'un florissant continent se soit dressé là où de nos jours grondent les vagues de l'Atlantique et où s'élèvent des icebergs géants. Une race créatrice y aurait donné naissance à une importante civilisation envoyant ses enfants, marins ou guerriers, à travers le monde."
"Aucun résultat ne pourra changer le grand principe selon lequel le « sens de l'histoire du monde » est parti du nord, rayonnant sur toute la terre, porté par une race blonde aux yeux bleus."
"Une mentalité et une éducation raciale nordiques : voilà l'unique solution contre l'Orient judéo-syrien, qui s'est immiscé en Europe."
"Chez la femme, l'impersonnel règne seul ; elle est la porteuse de la loi végétative, sans. volonté, semblable à une plante."
"Sur des œuvres d'art grecques, Dionysos a la prestance hellénique, mais une allure efféminée."
"L'argent et avec lui le sous-homme, avait déjà vaincu le sang ; abandonnant ses principes, l'Hellène commence à s'adonner au commerce, à la politique, à la philosophie ; il désavoue aujourd'hui ce qu'il encensait hier ; le fils oublie la piété à l'égard du père ; les esclaves de toutes les parties de la terre réclament la « liberté » ; l'égalité des hommes et des femmes est annoncée ; bien mieux, au nom de cette démocratie, comme Platon le remarque ironiquement, les ânes et les chevaux bousculent les hommes qui ne veulent pas leur faire place."
"Et malgré tout, même dans sa chute, le Grec a freiné la marche en avant de l'Asie. Il a disséminé sur toute la terre ses dons splendides qui aidèrent la naissance d'une culture nouvelle chez les Romains nordiques et son histoire devint plus tard pour l'Occident germanique le plus vivant des contes de fées. [...] Rome débusqua ensuite pour longtemps, par l'épée, l'ennemi proche-oriental toujours menaçant."
"L'ancienne Rome, dont l'histoire nous rapporte peu de détails, devint un véritable Etat nationaliste raciste (vôlkisch) grâce à une discipline rude et un caractère déterminé au combat contre tout l'orientalisme."
"La destruction de Carthage fut extrêmement importante du point de vue de l'histoire des races, car elle empêcha la civilisation postérieure de l'Europe du centre et de l'ouest de souffrir des effluves de ce foyer pestilentiel phénicien."
"Les puissantes forces raciales de la Rome antique se sont pratiquement épuisées au cours de quatre cents ans de démocratie désagrégeant la race. Puis les chefs vinrent des provinces. Trajan fut le premier Espagnol habillé de pourpre, Hadrien le second. Le règne de l'adoption débute alors, dernier essai de sauvetage ; on sent qu'il n'est plus possible de compter sur le sang et que seul le choix personnel peut encore assurer la continuité de l'Etat. Marc-Aurèle, Espagnol lui-aussi, est déjà affaibli dans sa valeur par le christianisme : il consacre officiellement la protection des esclaves, l'émancipation des femmes, l'aide aux pauvres (l'assistance aux chômeurs, disons-nous aujourd'hui), prive de ses droits la seule force encore capable de forger des caractères, la plus forte tradition de la Rome républicaine, l'autorité du « pater familias »."
"Le nationalisme le plus ardent n'est plus soutenu par les tribus, les dynasties ou les confessions, mais par la substance originelle, le peuple, la race : c'est le message qui fera fondre un jour toutes les scories, pour mettre en valeur la matière noble et éliminer ce qui ne l'est pas."
-Alfred Rosenberg, Le mythe du XXème siècle.
"L’ère que nous traversons, celle de l’humain comme force géologique modifiant de manière irréversible l’environnement en le détruisant, est aussi la période historique du libéralisme triomphateur. Un libéralisme à appréhender comme idée morale la plus basse, comme idée de l’homme seul dans un monde qui ne serait que le prolongement de lui-même, comme idée que l’homme n’a de compte à rendre à personne, qu’il peut allègrement se départir de sa fonction sociale. Un libéralisme s’affirmant donc comme une prédation sur le plan politique, économique et métaphysique.
Le libéralisme n’est pas un humanisme
Derrière la mascarade de l’enrichissement individuel aboutissant au bien-être commun, le libéralisme offre, dans les faits, un modèle d’indigence mesurable par le degré de rupture avec tous les codes de convenance. La cassure avec la société doit être totale ; l’idéologie libérale porte aux nues l’autodétermination de la personnalité, l’égoïsme et l’exploitation des forces sociétales au service des intérêts d’une infime minorité. On ne pénètre la société qu’à cette ultime fin. Le libéral provoque les dettes et fait appel à la collectivité quand il s’agit de les rembourser.
Sous son ordre, plus d’instrument de solidarité, les individus ne sont plus que de simples occasions de jouir, mesurables ensuite par un indice de profitabilité. Spirituellement et moralement appauvri, nourri d’un matérialisme primaire, le libéral réfute les religions, le sacré, ses principes de charité et de piété car ils seraient en totale opposition avec ses impératifs de jouissance sans borne. Obsédé par l’argent, favorisant les pratiques usuraires, estimant que tout est trop cher pour sa personne et pas assez cher pour l’autre, le libéral considère l’exploitation de l’homme par l’homme comme loi imminente de la nature. Au même titre que les carnivores ont toujours dévoré les herbivores, la société sous le joug libéral doit rester coupée en deux : une minorité de riches face à une majorité de pauvres…"
-Laurent Bodenghien, Le libéralisme : un sida mental, un cancer sociétal, 04 mai, 2015 (cf: http://diktacratie.com/le-liberalisme-un-sida-mental-un-cancer-societal/ ).
[En fait c'est tellement original qu'il suffit de remplacer "libéral" par "Juif" pour avoir un manifeste national-socialiste...]
Dernière édition par Johnathan R. Razorback le Ven 6 Oct - 23:31, édité 1 fois