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    Best-of de la connerie universelle

    Johnathan R. Razorback
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    Message par Johnathan R. Razorback Jeu 3 Avr - 12:18

    "J’ai pensé qu’il était possible d’obtenir de la société capitaliste qu’elle se réformât elle-même. […] Bref, j’ai dialogué. Et la société en question a dialogué avec moi, comme elle a dialogué avec tous les autres qui lui parlaient aussi poliment. [...]. Le capitalisme n’aime rien tant pour cette besogne que les hommes de gauche et les généraux en retraite."
    -François Mitterrand, Ma Part de vérité.

    "C'est injuste de juger les gens sur des erreurs qui s'expliquent dans l'atmosphère de l'époque."
    -François Mitterrand, cité par P. Péan in Une jeunesse française.

    "L'admiration méritée par Mussolini ne se discute pas."
    -Le Colonel de La Rocque, Service public.

    "Une autre grave erreur de notre enseignement public, c'est qu'il était une école d'individualisme. Je veux dire qu'il considérait l'individu comme la seule réalité authentique et en quelque sorte absolue.
    La vérité c'est que l'individu n'existe que pour la famille, la société, la patrie dont il reçoit, avec la vie, tous les moyens de vivre.
    Il est aisé de le constater d'ailleurs. Les époques où l'individualisme a fait loi sont celles qui comptent le moins d'individualités véritables. Nous venons d'en faire la cruelle expérience.
    C'était une grande pitié de voir, jusqu'à la veille de la guerre, nos journaux et nos revues tout plein d'éloges de l'individualisme français, qui est exactement ce dont nous avons failli mourir.
    [...] L'école française de demain enseignera avec le respect de la personne humaine, la famille, la société, la patrie. Elle ne prétendra plus à la neutralité. La vie n'est pas neutre ; elle consiste à prendre parti hardiment. Il n'y a pas de neutralité possible entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal, entre la santé et la maladie, entre l'ordre et le désordre, entre la France et l'Anti-France
    ."
    -Philippe Pétain, "La réforme de l'Éducation nationale, La Revue des deux mondes, 15 août 1940.

    "Devant la faillite universelle de l'économie libérale, presque tous les peuples se sont engagés dans la voie d'une économie nouvelle. Nous devons nous y engager à notre tour et, par notre énergie et notre foi, regagner le temps perdu. Deux principes essentiels nous guideront : l'économie doit être organisée et contrôlée. La coordination par l'État des activités privées doit briser la puissance des trusts et leur pouvoir de corruption. Bien loin donc de brider l'initiative individuelle, l'économie doit la libérer de ses entraves actuelles en la subordonnant à l'intérêt national."
    -Philippe Pétain, L’ordre nouveau, discours du 11 octobre 1940.

    "L'homme du fascisme est un individu qui est nation et patrie, une loi morale unissant les individus et les générations dans une tradition et une mission, supprimant l'instinct de la vie limitée au cercle étroit du plaisir, pour instaurer dans le devoir une vie supérieure, libérée des limites du temps et de l'espace: une vie où l'individu, par l'abnégation de lui-même, par le sacrifice de ses intérêts particuliers, par la mort même, réalise cette existence toute spirituelle qui fait sa valeur d'homme."

    "Le fascisme est non seulement un système de gouvernement, mais encore, et avant tout, un système de pensée."

    "Le libéralisme niait l'Etat dans l'intérêt de l'individu ; le fascisme réaffirme l'Etat comme la véritable réalité de l'individu."

    "Le principe d'après lequel la société n'existe que pour le bien être et la liberté des individus qui na composent ne semble pas être conforme aux plans de la nature."
    -Benito Mussolini, Le Fascisme (1929).


    Dernière édition par Johnathan R. Razorback le Mer 5 Aoû - 14:53, édité 5 fois


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    « La question n’est pas de constater que les gens vivent plus ou moins pauvrement, mais toujours d’une manière qui leur échappe. » -Guy Debord, Critique de la séparation (1961).

    « Rien de grand ne s’est jamais accompli dans le monde sans passion. » -Hegel, La Raison dans l'Histoire.

    « Mais parfois le plus clair regard aime aussi l’ombre. » -Friedrich Hölderlin, "Pain et Vin".

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    Message par Johnathan R. Razorback Ven 4 Avr - 16:04

    "Si les pays émergents exportent leur main d'œuvre bon marché, à nous de nous adapter en transformant nos ouvriers en cadres. Problème, l'école continue à créer des salariés non qualifiés."
    -Un crétin.

    Source: http://www.minarchisteqc.com/2010/10/pour-en-finir-avec-la-theorie-de-lexploitation-du-labeur-dautrui-de-marx/

    "Sait-elle seulement qu’on ne voit plus aujourd’hui en Montesquieu un penseur anti-esclavagiste, mais un auteur beaucoup plus ambivalent, comme le furent d’ailleurs, globalement les Lumières ?"
    -Esther Benbassa, Sénatrice EE-LV du Val-de-Marne, directrice d’études à l’EPHE (Sorbonne), Le voile, pas plus aliénant que la minijupe, Libération, 6 avril 2016 (cf: http://www.liberation.fr/debats/2016/04/05/le-voile-pas-plus-alienant-que-la-minijupe-par-esther-benbassa_1444176 ).

    "La prétention à l’universalisme est en fait une spécificité française. Encore tous les Français ne se soucient-ils pas d’universalisme. [...]
    Qu’est-ce donc que l’universalisme ? J’ignore ce qu’il devrait être en théorie, mais dans la pratique, c’est en fait le travail très particulier par lequel un groupe social dominant tend à constituer son ethos en éthique. [...]
    Rien n’est universel.
    "
    -Louis-Georges Tin, Êtes-vous communautaristes ? Quelques réflexions sur la rhétorique « anti-communautaire », 19 février 2005.

    "C’est le cas des « Li-Li », selon la formulation d’aujourd’hui, les fameux Libéraux-Libertaires, qui glissent subtilement du libéralisme à une forme édulcorée d’anarchisme cachant mal leur égoïsme, souvent dû à la réussite matérielle : ils rejettent une autorité qui peut leur demander des comptes ou pire, de partager.

    Ce libéralo-anarchisme frappe aussi en matière morale. Les déclarations récentes de certains responsables sur les drogues réputées « douces » en sont une illustration parmi d’autres.

    La liberté peut aussi n’être enseignée que de façon très minimaliste. L’exemple le plus connu est la définition de la Déclaration des Droits de l’homme : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ». C’est tout, et c’est bien peu. Ai-je donc la « liberté » de faire quelque chose qui me nuise ? Chaque homme ne vaut-il pas mieux que cela ? Ai-je donc la liberté de faire quelque chose contre la morale, contre la justice ou contre la droite raison ?
    " (cf: http://www.ichtus.fr/autorite-et-liberte-lindispensable-harmonie/ )

    "Le 14 mars 2014, le journal d’information économique, Les Échos, pouvait très sérieusement titrer, « EDF et GDF Suez, pénalisés par la douceur de l’hiver ». La douceur de l’hiver ne fait pas que des heureux, poursuit en substance l’article. Horreur pour les marchands, « la consommation de gaz a chuté de 25 % en février »3. L’article pudique parle de ralentissement de la production et non de la baisse des gains des entreprises, mais c’est bien ceux-ci que la baisse de la dépense des ménages met en cause. Voici la sagesse du libéralisme dans des moments où toute la communauté internationale semble se mobiliser sur les économies d’énergie !" -Anne Jollet et Jérôme Lamy, « La double défaite du libéralisme », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique [En ligne], 123 | 2014, mis en ligne le 01 avril 2014, consulté le 15 mai 2019. URL : http://journals.openedition.org/chrhc/3462



    Dernière édition par Johnathan R. Razorback le Jeu 16 Mai - 14:09, édité 5 fois


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    Message par Johnathan R. Razorback Lun 7 Avr - 12:35

    "Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup, résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires."
    -Victor Hugo en 1879.

    « La violence est la sage-femme qui aide la nouvelle société à naître des entrailles de l'ancienne. »
    -Karl Marx, Le Capital, coll. « Bibliothèque de la Pléïade », t.I, p. 31

    « La libération de l'Europe vis-à-vis des valeurs capitalistes est identique à sa libération vis-à-vis des valeurs juives. »
    -Karl Marx, La question juive.

    "Parmi les caractéristiques de la Chine et de ses 600 millions d'habitants, une des plus frappantes est la pauvreté et le dénuement. Choses mauvaises en apparence, bonnes en réalité. La pauvreté pousse au changement, à l'action, à la révolution."
    -Mao Zedong, Le Petit livre rouge.

    "Propriétaires d'esclaves et esclaves : telle est la première grande division en classes."

    "Le servage cède la place au capitalisme où la division en classes demeurait, ainsi que des traces et des survivances du servage, mais où, pour l'essentiel, la division en classes affectait une autre forme."

    "L'Etat, c'est une machine destinée à maintenir la domination d'une classe sur une autre."

    "Tout Etat où existe la propriété privée de la terre et des moyens de production, où règne le capital, est un Etat capitaliste, une machine aux mains des capitalistes pour maintenir dans la soumission la classe ouvrière et la paysannerie pauvre.

    Le suffrage universel, l'Assemblée constituante, le Parlement, ne sont que la forme, une sorte de lettre de change, qui ne changent rien au fond.

    La forme que revêt la domination de l'Etat peut différer : le capital manifeste sa puissance d'une certaine façon là où existe une certaine forme, d'une autre façon là où la forme est autre ; mais, somme toute, le pouvoir reste aux mains du capital, que le régime soit censitaire ou non, même si la république est démocratique ; mieux encore : cette domination du capitalisme est d'autant plus brutale, d'autant plus cynique que la république est plus démocratique
    ."

    "La force du capital est tout, la Bourse est tout ; le Parlement, les élections ne sont que des marionnettes, des fantoches..."

    "Avec cette machine, ou avec ce gourdin, nous anéantirons toute exploitation ; et quand il ne restera plus sur la terre aucune possibilité d'exploiter autrui, qu'il ne restera plus ni propriétaires fonciers, ni propriétaires de fabriques, qu'il n'y aura plus de gavés d'un côté et d'affamés de l'autre, quand cela sera devenu impossible, alors seulement nous mettrons cette machine à la ferraille.

    Alors, il n'y aura plus d'Etat
    , plus d'exploitation. Tel est le point de vue de notre Parti communiste
    ."
    -Lénine, De l'État, 1919.

    "Ce qui nous intéresse, ce n'est point cette inévitable victoire finale du socialisme. Ce qui nous intéresse, c'est la tactique que nous devons suivre, nous, Parti communiste de Russie, nous, pouvoir des Soviets de Russie, pour empêcher les Etats contre-révolutionnaires de l'Europe occidentale de nous écraser. Pour que nous puissions subsister jusqu'au prochain conflit militaire entre l'Occident impérialiste contre-révolutionnaire et l'Orient révolutionnaire et nationaliste, entre les Etats les plus civilisés du monde et les pays arriérés comme ceux de l'Orient, et qui forment cependant la majorité, il faut que cette majorité ait le temps de se civiliser."
    -Lénine, Mieux vaut moins mais mieux, « Pravda » n° 49, 4 mars 1923.

    "La toute-puissance de la "richesse" est plus sûre en république démocratique, parce qu'elle ne dépend pas des défauts de l'enveloppe politique du capitalisme. La république démocratique est la meilleure forme politique possible du capitalisme; aussi bien le Capital, après s'en être emparé (par l'entremise des Paltchinski, Tchernov, Tsérétéli et Cie), assoit son pouvoir si solidement, si sûrement, que celui-ci ne peut être ébranlé par aucun changement de personnes, d'institutions ou de partis dans la république démocratique bourgeoise.
    Il faut noter encore qu'Engels est tout à fait catégorique lorsqu'il qualifie le suffrage universel d'instrument de domination de la bourg
    eoisie."
    -Lénine, L'Etat et la Révolution, chapitre I "La société de classes et l'Etat", 1917.

    "Dans la répartition socialisée le capital argent disparaît. La société répartit la force de travail et les moyens de production dans les différentes branches de l’économie. Le cas échéant les producteurs pourraient recevoir des bons en papier, leur permettant de prélever sur les réserves sociales destinées à la consommation des quantités correspondante à leur force de travail. Ces bons ne sont pas de l’argent ; ils ne circulent pas. "
    -Karl Marx, Le Capital, t. I, " Économie", Pléiade, p. 883.

    "Bien que la productivité augmente [en Russie soviétique, bien que la masse des produits sociaux croisse, le producteur ne reçoit néanmoins pas une plus grande part de production - donc il est exploité."

    "À une certaine date, l’argent sera déclaré sans valeur et seul l’argent travail donnera droit a recevoir une part du produit social."
    -Ian Appel, Principes de base de la production et de la distribution communiste (1930).

    "En fin de parcours: le capitalisme est ce monstrueux paradoxe: le libéralisme économique est étatique et l'appareil d'Etat est social-démocrate. Le capitalisme viré à gauche -au niveau politico-culturel- et à viré à droite -au niveau économico-social. Sa dialectique a inversé ses composantes originelles: libéralisme économique et conservatisme politique. Quelle ruse !"
    -Michel Clouscard, Le Capitalisme de la séduction (1981).

    "La recherche de l'individualité est une démarche vaine qui aboutit au néant."
    -Pierre Hervé, Individu et Marxisme (1948).

    « L'homme moyen [dans la société communiste future] se hissera au niveau d'un Aristote, d'un Goethe ou d'un Marx. Et de nouvelles cimes s'élèveront à partir de ses sommets.»
    -Léon Trotski, Littérature et révolution, 1925. Cité par Ludwig von Mises in Le Libéralisme, 1927.

    « Dans le pays que le prolétariat dirige virilement et avec succès, l'homosexualité [гомосексуализм] qui déprave la jeunesse est considéré comme un crime social et puni comme tel, tandis que dans le pays "cultivé" des grands philosophes, des grands savants et des grands musiciens, il se manifeste librement et impunément. On a déjà composé un slogan sarcastique : "Exterminez les homosexuels – le fascisme disparaîtra". »
    -Maxime Gorki, La Culture et le peuple, Humanisme prolétarien, 1934. [Œuvres complètes, tome XXVII, page 238].

    "La victoire de Lyssenko est effectivement, comme le reconnaît avec stupeur le Dr Jacques Monod, une victoire de la science, une victoire scientifique, le refus le plus éclatant de politiser les chromosomes."
    -Louis Aragon, « De la libre discussion des idées », Europe, octobre 1948.

    "Les classes ne sont pas faites pour cohabiter, elles sont faites pour se combattre."
    -Anne Steiner, maître de conférences en sociologie à Paris Ouest Nanterre, vice.com, 6 janvier 2016 (cf: https://i-d.vice.com/fr/article/593943/jeunes-bobos-coupables-et-si-on-navait-rien-compris-la-gentrification ).

    "De même, fidèle à la tradition trotskyste en particulier, Ian Angus, lorsqu’il évoque en passant le cas de l’URSS, oppose un avant et un après Staline, les premières années de la Russie soviétique étant marquées, selon lui, par l’avant-gardisme de l’écologique scientifique et de la protection de la nature – ce qui apparaît comme très étonnant lorsqu’on connaît le chaos engendré dans le pays par la guerre civile et les insurrections paysannes entre 1918 et 1921. Mais c’est toujours la question des moyens et du caractère concret de la mise en place d’une transition socialiste qui pèche par insuffisance. La propagande, l’idée d’un front unique contre les ravages du capitalisme, le soutien aux luttes ciblées, ne suffisent clairement pas. Et revendiquer la fin de l’armée et des dépenses militaires semble oublier la possible nécessité d’une riposte à la contre-révolution, quelle que soit la ou les formes qu’elle prenne. Ne faut-il pas, avant de faire bouger les grandes masses majoritaires, qu’une minorité prenne le pouvoir et impulse des changements par une dictature écologique ? Question dérangeante, bien sûr, mais que l’on ne trouvera pas dans cet essai dont le dénouement apparaît dès lors inachevé. C’est comme si la distance prise à l’égard du léninisme et des avant-gardes conscientes, par une partie de l’extrême gauche marxiste, avait laissé un trou noir dans la pensée stratégique…

    Dans sa préface à l’édition originale, John Bellamy Foster insiste sur les avancées majeures survenues en Union soviétique, avec la biosphère de Vernadski ou l’alerte lancée dès les années 1970 par Evgueni Fiodorov
    ." (cf: https://dissidences.hypotheses.org/tag/capitalisme ).



    Dernière édition par Johnathan R. Razorback le Sam 13 Oct - 20:29, édité 19 fois


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    Message par Johnathan R. Razorback Lun 7 Avr - 21:26

    "Dans une telle société [communiste], tous les rapports entre les hommes seront clairs pour chacun."
    -Boukharine, La théorie du matérialisme historique, 1921.

    "Il faut remiser l'individualisme au rayon des vieilles lunes néfastes et le rayer de notre organisation sociale."
    -Henri Dorgères, Haut les fourches.

    "Rand's is the philosophy of the psychopath, a misanthropic fantasy of cruelty, revenge and greed. [...] It has a fair claim to be the ugliest philosophy the postwar world has produced."
    -George Monbiot, How Ayn Rand became the new right's version of Marx, theguardian.com, 5 mars 2012.

    "Hitler n’est pas moins libéral que beaucoup d’autres. A cet égard, les rappels d’Arnaud Christen sur la parenté étroite du darwinisme social et de la pensée libérale me paraissent très justifiés. Hitler est un libéral qui met particulièrement l’accent sur le versant agonistique de la doctrine : la lutte pour la vie, il n’y a que cela qui fait progresser l’humanité.

    Quant à l’argument suivant lequel il ne saurait être libéral car il encadre sévèrement les échanges extérieurs, il fait bon marché du fait que les théoriciens libéraux n’ont jamais pu se mettre d’accord sur la question du libre-échange : plusieurs, et non des moindres, admettent le protectionnisme, au moins dans certains cas
    ." -François Delpla (07/05/2004, https://www.delpla.org/article.php3?id_article=86 ).

    Le retour du si populaire sophisme de l'impolitisme -ou sophisme de la clôture des possibles- (si tu n'es pas content de la politique de ton pays, c'est donc que tu dois changer de pays plutôt que de politique):

    "Sans recettes fiscales bien françaises, vous ne sauriez pas lire et vous seriez sûrement mort d’une maladie infantile comme la rougeole qu’on a pu éradiquer grâce à notre système de santé. Si vous voulez vivre dans un paradis libéral, allez vivre dans un failed state genre Soudan du Sud et allez y construire les infrastructures vous-mêmes avec vos héroiques copains entrepreneurs. Malheureusement, la vie n’est pas un livre d’Ayn Rand…"
    -AdrianSmith (cf: https://www.contrepoints.org/2018/12/03/331609-linevitable-derive-des-gilets-jaunes ).



    Dernière édition par Johnathan R. Razorback le Mar 4 Déc - 9:47, édité 4 fois


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    Message par Johnathan R. Razorback Dim 13 Avr - 21:24

    "Le judaïsme étant interdit en tant que monothéisme, les Juifs restant en France devront renouer avec l'antique paganisme des Anciens Hébreux, le molochisme. Divinité ammonite, représentée par homme à tête de taureau à qui l'on sacrifiait par le feu des victimes humaines, surtout les enfants premiers-nés, ce paganisme renouera avec la tradition nationale-socialiste des fours crématoires, et assurera un auto-anéantissement du peuple juif en Europe dans un délai que j'estimerai à une trentaine d'années. Je ferai donc mieux qu'Hitler car on ne pourra rien me reprocher, les Juifs s'étant annihilés tout seul dans le strict respect de leurs coutumes ancestrales retrouvées.

    Le projet est donc ambitieux, certains esprits chagrins le considéreront comme nazifiant..
    ."
    -Thomas Ferrier, Secrétaire Général du PSUNE.



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    Message par Johnathan R. Razorback Sam 19 Avr - 22:31

    « Il n’est besoin de contrainte au sein de la classe ouvrière que dans la mesure où les individus composant la classe ouvrière ne sont pas capables d’agir comme le commandent leurs propres intérêts ou n’y sont pas disposés. »
    -Gyorgy Lukács, Le rôle de la morale dans la production communiste, Szocialis Termelés [Production Sociale] 20 juillet 1919.

    « Nous demandons à un homme, où vous placez-vous par rapport à l'idée de révolution ? Êtes vous pour ou contre ? S'il est contre, nous le plaçons contre un mur ».
    -Lénine.

    « La contrainte prolétarienne sous toutes ses formes, en commençant par les exécutions capitales, constitue une méthode en vue de créer l'homme communiste ».
    -Félix Dzerjinski.

    « Le bilan de l'URSS et des pays socialistes est globalement positif. »
    -Georges Marchais, L'Humanité, 13 février 1979.

    « La Liberté signifie liberté pour le groupe, pas la liberté pour l'individu. (…) Les hommes ne doivent pas être les esclaves d'autres hommes, mais ils doivent être esclaves de leur propre groupe. Car s'ils ne sont pas les esclaves de leur propre groupe, ils deviendront assurément les esclaves d'un autre. »
    -Liang Qichao, Le Peuple nouveau.

    "[Libéral] partisan de laisser les forts écraser les faibles."
    -Stéphane Bortzmeyer.

    "La valeur utilité n'est ni mesurable ni appréciable, sinon personnellement par les agents économiques. Cette utilité est non comparable: si je gagne deux fois plus que mon voisin, je ne peux pas dire que je suis deux fois plus heureux que lui, mais simplement que je suis au moins aussi heureux que lui.
     
    L'économie moderne représente donc un monde où les individus sont l'explication ultime de tout phénomène social ou collectif. Il n'existe pas de collectif en soi. Tout phénomène économique peut se ramener à l'interaction des calculs d'individus séparés, autonomes, sans lien social: c'est l'hypothèse dite "d'individualisme méthodologique".
    "

    "Je répète: il n'est pas possible (au moins pour un économiste digne de ce nom) de fonder une politique économique sur le concept de marché [...] on ne se lassera jamais de le répéter, le marché n'est pas efficace. On devrait l'écrire en lettres d'or sur le frontispice du Parlement européen."

    "Tous les économistes, libéraux ou non, sont donc conscients de l'état désastreux dans lequel se trouve le libéralisme théorique. [...] Paradoxalement, la faillite du modèle théorique a propulsé au zénith l'idéologie économique libérale."
    -Bernard Marris, Le suicide du libéralisme économique, Alternatives Economiques  n° 211 - février 2003.

    "Un contrôle centralisé permet souvent de prévoir quelle est la solution optimale d'un problème, sans avoir à effectuer des essais-erreurs toujours très coûteux (tant matériellement qu'humainement, cf. coût pour l'État et les banques de la faillite d'une entreprise), alors que la raison humaine, si elle était imposée aux entreprises, faciliterait l'obtention d'une meilleure qualité et d'une plus grande efficacité. Enfin, regroupement -> économies d'échelle. Se priver de l'intervention de l'État revient à se priver de l'exercice d'une vue globale et à long terme."
    -Yann Ollivier ( http://www.yann-ollivier.org/eco/contre_ultraliberalisme ).

    "On peut se demander pourquoi les avocats de la capitalisation sont si nombreux. On pourrait invoquer la bêtise humaine. On peut aussi se demander à qui profite le crime."
    -Yann Ollivier ( http://www.yann-ollivier.org/eco/retraites ).

    "Jamais comme en ce moment les éléments ouvriers les plus avancés, n'ont eu besoin de plus de sang-froid. Il faut qu'ils fassent connaître à leurs camarades la notion exacte des événements sans craintes démagogiques, les convaincre tous de l'énorme responsabilité qui pèse sur chacun; il faut qu'ils rendent chaque ouvrier conscient qu'il est devenu un soldat, qu'il a une consigne, qu'il doit être solidement encadré, dans les rangs prolétariens, et que toute défection, toute faiblesse, tout geste impulsif doit être considéré comme une trahison ouverte, comme un acte contre-révolutionnaire."
    -Antonio Gramsci, L'occupation, Sans signature, Avanti !, édition piémontaise, 2 septembre 1920; édition milanaise, 5 septembre 1920, repris dans Écrits politiques, tome 4.

    "Les partis démocratiques servaient à révéler les hommes politiques de valeur et à les faire triompher dans la concurrence politique; aujourd'hui les hommes de gouvernement sont imposés par les banques, par les grands journaux, par les groupes industriels, les partis se sont effrités en une multiplicité de cliques personnelles. Le Parti communiste, surgissant des cendres des partis socialistes, répudie ses origines démocratiques et parlementaires."
    -Antonio Gramsci, Le Parti communiste, L'Ordine Nuovo, 11, 15, 4 septembre 1920 et 11, 17, 9 octobre 1920, repris dans Écrits politiques, tome 4.

    "La société sans classes - une société dans laquelle, avec la disparition de « l’exploitation de l’homme par l’homme », toute forme d’oppression et de violence exercée par des humains contre d’autres humains doit disparaître."

    "L’être humain est un être social, qui ne saurait survivre sans une socialisation croissante."
    -Ernest Mandel, Pourquoi je suis marxiste.

    « Les Khmers rouges s'emparent de Phnom Penh : une séquence historique s'achève parce qu'une contradiction est résolue […]. La résolution d'une contradiction exige que quelque chose disparaisse […]. Il n'est de pensée révolutionnaire véritable que celle qui mène la reconnaissance du nouveau jusqu'à son incontournable envers : de l'ancien doit mourir […]. La dialectique matérialiste affronte la perte et la disparition sans retour. Il y a des nouveautés radicales parce qu'il y a des cadavres qu'aucune trompette du Jugement ne viendra jamais réveiller. Au plus fort de la Révolution culturelle, on disait en Chine : l'essence du révisionnisme, c'est la peur de la mort. »

    « S’agissant de figures comme Robespierre, Saint-Just, Babeuf, Blanqui, Bakounine, Marx, Engels, Lénine, Trotski, Rosa Luxemburg, Staline, Mao Tsé-toung, Chou En-lai, Tito, Enver Hoxha, Guevara et quelques autres, il est capital de ne rien céder au contexte de criminalisation et d’anecdotes ébouriffantes dans lesquelles depuis toujours la réaction tente de les enclore et de les annuler. »
    -Alain Badiou.

    « La liberté de critique est totale en URSS et le citoyen soviétique améliore sans cesse sa condition au sein d’une société en progression continuelle. »
    -Jean-Paul Sartre, de retour d’URSS, Libération, 15 juillet 1954.

    « Le résultat de cette affaire [le rapport Khrouchtchev] aura été de découvrir la vérité pour des masses qui n’étaient pas prêtes à la recevoir. »
    -Jean-Paul Sartre, L’Express, 9 novembre 1956.

    « Dans notre Parti que la bataille révolutionnaire n'a pas complètement épuré du vieux fond social-démocrate, l'influence des personnalités joue encore un trop grand rôle. [...] C'est dans la mesure où toutes les survivances petites-bourgeoises du "Moi" individualiste seront détruites que se formera l'anonyme cohorte de fer des bolcheviks français. [...] s'il veut être digne des traces glorieuses du Parti Russe, le Parti communiste Français doit briser sans faiblesse tous ceux qui, dans son sein, refuseraient de se plier à sa loi! »
    -L'Humanité, 19 juillet 1924.

    « La société sans antagonismes sociaux sera, cela va de soi, sans mensonge et sans violence. Mais on ne peut jeter vers elle un pont que par les méthodes de violence. La révolution est elle-même le produit de la société divisée en classes dont elle porte nécessairement les marques. Du point de vue des « vérités éternelles », la révolution est naturellement, « immorale ». »
    -Léon Trotski, Leur morale et la nôtre, Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1966 [1939], p. 70.


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    Message par Johnathan R. Razorback Dim 20 Avr - 21:46

    "A titre personnel, je pense aussi qu'il y a un impôt injuste - l'impôt sur la fortune."
    -Jacques Attali (ici: http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2007-11-22/interview-jacques-attali-nous-avons-trop-de-pouvoir-d-achat/916/0/211197).

    "La défense de l’autosuffisance par Keynes ne se justifie pas seulement au nom de la paix. Le Libre-Échange, et en particulier la circulation libéralisée du capital, prive les nations de la liberté de leurs choix sociaux. Elle condamne à terme l’existence de la propriété privée et empêche le fonctionnement des institutions démocratiques. C’est un point que l’on peut aujourd’hui entièrement partager".
    -Jacques Sapir (là: http://russeurope.hypotheses.org/1672 ).

    "Remettant en cause la notion de propriété, les anarchistes ne nient pas le concept de possession, qui est la faculté d'user sans abuser d'un bien dont on dispose (c'est à dire une propriété d'usufruit). En revanche, les moyens de production et de distribution sont en général considérés comme possession de l'ensemble de la société."
    -Source: http://fra.anarchopedia.org/Propri%C3%A9t%C3%A9

    "Alternative libertaire revendique la réquisition de logements vides et le blocage des loyers."
    -Source: http://www.alternativelibertaire.org/?Pour-en-finir-avec-l-austerite-le

    "Les richesses, c’est comme un gâteau dont on répartit les parts. « Le tout est de savoir qui tient le couteau »."

    "L’expression même de « redistribution des richesses » n’est d’ailleurs pas idéale puisqu’elle suppose qu’une part, même moindre, de la richesse produite par les travailleur(se)s, soit reversée à une classe capitaliste dont la fonction dans la société est parasitaire."
    -Source: http://www.alternativelibertaire.org/?Redistribution-des-richesses-Tout

    "Sous les applaudissements de l'Allemagne, le soi-disant gouvernement socialiste de la France baisse la fiscalité des entreprises et diminue les dépenses - une recette pour affaiblir l'économie presque à coup sûr."
    -Joseph E. Stiglitz (source: http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0203822340078-pourquoi-lausterite-nest-pas-la-bonne-politique-economique-1048990.php ).

    "J'appelle libéralisme à la française ce consensus politique unanime depuis trente ans, mais rarement assumé, en vertu duquel une partie de l'économie, pour faire simple les grands groupes multinationaux, vit dans un univers largement libéralisé, pendant que l'Etat, transformé en Samu Social, prend en charge ceux qui ne trouvent pas leur place dans cette économie libéralisée."
    -Guillaume Sarlat ( http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2015/06/03/31007-20150603ARTFIG00397-l-autre-triple-a-perdu-alcatel-alstom-areva.php ).


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    Message par Johnathan R. Razorback Mar 22 Avr - 21:35

    "Dans les écoles confessionnelles, les jeunes reçoivent un enseignement dirigé tout entier contre les institutions modernes. Si cet état des choses se perpétue, il est à craindre que d’autres écoles ne se constituent, ouvertes aux fils d’ouvriers et de paysans, où l’on enseignera des principes totalement opposés, inspirés d’un idéal socialiste ou communiste emprunté à des temps plus récents, par exemple à cette époque violente et sinistre comprise entre le 18 mars et le 24 mai 1871."
    -Jules Ferry.

    "Les personnes d'origine musulmane sont très largement sur-représentées parmi les délinquants en France. C'est dans les chiffres. Visitez une prison ou un tribunal : ça se voit à l'oeil nu."
    -RobertMarchenoir (dans les commentaires: http://www.historionomie.com/archives/2015/04/12/31876272.html ).

    "11 Que la femme reçoive l'instruction en silence, avec une entière soumission.
    12 Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre autorité sur l'homme ; mais elle doit se tenir dans le silence.
    13 Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite ;
    14 et ce n'est pas Adam qui a été séduit : c'est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression.
    15 Néanmoins, elle sera sauvée en devenant mère, pourvu qu'elle persévère dans la foi, dans la charité et dans la sainteté, unies à la modestie.
    "
    -Première Épître de Saint Paul à Timothée, chapitre 2, 11-15. (cf: http://missionweb.free.fr//bible.php?contenu=bible/fr/lettre_1timothee ).


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    Message par Johnathan R. Razorback Sam 26 Avr - 12:53

    "Il est rigoureusement impossible d’avoir une position de combat en faveur de l’homosexualité car il faut une position acceptable par les masses."
    -Pierre Juquin, homme politique français, membre du Parti communiste français puis des Verts. La citation date du 04/07/1977.

    « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ?" Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ». Et ailleurs : « J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ». […] “Un des problèmes du jardin d’enfants, c’est que les libéraux admettent, à la rigueur, l’existence de la sexualité, alors que nous, on essayait de la développer, d’avoir un comportement qui permette aux enfants de réaliser leur sexualité. »
    -Daniel Cohn-Bendit, Le Grand Bazar, Belfond, p. 203, 1975.


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    Message par Johnathan R. Razorback Jeu 1 Mai - 8:09

    « Un régime révolutionnaire doit se débarrasser d’un certain nombre d’individus qui le menacent, et je ne vois pas d’autres moyens que la mort. On peut toujours sortir d’une prison. Les révolutionnaires de 1793 n’ont probablement pas assez tué. »
    -Jean-Paul Sartre,  au magazine Actuel (28/02/1973).

    « L'URSS se trouve grosso modo située, dans l'équilibre des forces, du côté de celles qui luttent contre les formes d'exploitation de nous connues. »
    -Jean-Paul Sartre et Maurice Merleau-Ponty, Les Temps Modernes, janvier 1950.

    « La liberté de critique est totale en URSS et le citoyen soviétique améliore sans cesse sa condition au sein d’une société en progression continuelle. »
    -Jean-Paul Sartre, de retour d’URSS, Libération, 15 juillet 1954.

    « La ruse, le mensonge, le sang versé, la dictature, sont justifiés s’ils rendent possible le pouvoir du prolétariat et dans cette mesure seulement. »
    -Maurice Merleau-Ponty, Humanisme et terreur, coll. « Essais », éd. Gallimard, 1947, p. XIV.

    « Du temps de Staline, il faut bien dire que les organisations politiques ouvrières et populaires se portaient infiniment mieux, et que le capitalisme était moins arrogant. Il n'y a même pas de comparaison. »
    -Alain Badiou, De quoi Sarkozy est-il le nom ?, 2007.

    « Staline dans le coeur des hommes
    Sous sa forme mortelle avec des cheveux gris
    Brûlant d'un feu sanguin dans la vigne des hommes
    Staline récompense les meilleurs des hommes
    Et rend à leurs travaux la vertu du plaisir
    Car travailler pour vivre est agir sur la vie
    Car la vie et les hommes ont élu Staline
    Pour figurer sur terre leurs espoirs sans bornes.

    Et Staline pour nous est présent pour demain
    Et Staline dissipe aujourd'hui le malheur
    La confiance est le fruit de son cerveau d'amour
    . »
    -Paul Eluard, « Joseph Staline », janvier 1950.

    « O grand Staline, ô chef des peuples
    Toi qui fais naître l’homme
    Toi qui fécondes la terre
    Toi qui rajeunis les siècles
    Toi qui fais fleurir le printemps
    Toi qui fais vibrer les cordes musicales
    Toi splendeur de mon printemps, toi
    Soleil reflété par les milliers de cœurs.
    »
    -Louis Aragon, "Cahiers du communisme", mars 1954.

    « Le pouvoir que Mao exerce n’est pas plus dictatorial que celui qu’à détenu par exemple un Roosevelt. La constitution de la Chine nouvelle rend impossible la concentration de l’autorité entre les mains d’un seul : le pays est dirigé par une équipe dont les membres sont unis par une longue lutte en commun et une étroite camaraderie. »
    -Simone de Beauvoir, La longue marche: Essai sur la Chine.

    « L’adversaire de l’URSS use d’un sophisme quand, soulignant la part de violence criminelle assumée par la politique stalinienne, il néglige de la confronter avec les fins poursuivies. Sans doute, les épurations, les déportations, les abus de l’Occupation, la dictature policière dépassent en importance les violences exercées dans aucun autre pays ; le fait même qu’il y a en Russie 160 millions d’habitants multiplie le coefficient numérique des injustices commises. Mais ces considérations quantitatives sont insuffisantes. […] On ne peut juger un moyen sans la fin qui lui donne son sens. […] Supprimer cent oppositionnels, c’est sûrement un scandale, mais il a un sens, une raison ; il s’agit de maintenir un régime qui apporte à une immense masse d’hommes une amélioration de leur sort. Peut-être cette mesure […] représente-t-elle seulement cette part nécessaire d’échec que représente toute construction positive. »
    -Simone de Beauvoir, Pour une morale de l’ambiguïté, Les Temps modernes de décembre 1946 à février 1947.

    « Non seulement la violence prolétarienne peut assurer la révolution future, mais encore elle semble être le seul moyen dont disposent les nations européennes, abruties par l’humanitarisme, pour retrouver leur ancienne énergie. […] Tout peut être sauvé si, par la violence, il parvient à reconsolider la division en classes et à rendre à la bourgeoisie quelque chose de son énergie. […] La violence prolétarienne, exercée comme une manifestation pure et simple du sentiment de lutte de classe, apparaît ainsi comme une chose très belle et très héroïque ; elle est au service des intérêts primordiaux de la civilisation. »
    -George Sorel, Réflexions sur la violence.

    "Si on veut qu’il y ait un jour des médias alternatifs, il faudrait déjà que les médias traditionnels aient moins d’espace. Je milite pour une réduction de leur espace. Pour la suppression de certaines chaînes et radios hégémoniques. Si on veut voir émerger de véritables radios ou télévisions de gauche, communiste, il faudrait que les médias de droite privés et publics cèdent un peu leur place. Qu’ils cessent de nous asphyxier avec leur pensée néo-libérale. Ce qui passe par des mesures coercitives, parce que si on leur demande ils ne le feront jamais."
    -Pierre Carles (source: http://the-dissident.eu/6392/pierre-carles-il-y-a-une-omerta-mediatique-sur-la-politique-menee-en-equateur/ ).

    « La terreur rouge est l'arme employée contre une classe destinée à périr et qui ne s'y résigne pas... La dictature est indispensable parce qu'il s'agit, non pas de changements partiels mais de l'existence même de la bourgeoisie... La force seule peut décider. Qui veut la fin ne peut répudier les moyens. »
    -Léon Trotski.

    « Le titre de la brochure de Kautsky n'en est pas moins : la Dictature du prolétariat. Que ce soit là le fond même de la doctrine de Marx, tout le monde le sait. Et Kautsky est obligé, après tout ce bavardage à côté du sujet, de citer les paroles de Marx sur la dictature du prolétariat.
    Comment le...marxiste...Kautsky s'y est pris, voilà qui est d'un comique achevé ! Ecoutez plutôt :
    « Cette façon de voir [que Kautsky dit être le mépris de la démocratie] repose sur un seul mot de Karl Marx. » C'est ce qu'on lit textuellement à la page 20. Et à la page 60 il le répète encore et va jusqu'à dire que [les bolchéviks] « se sont souvenus à temps du petit mot » [c'est textuel !! des Wörtchens] « sur la dictature du prolétariat, que Marx a employé une fois en 1875 dans une lettre ».
    Voici ce « petit mot » de Marx :
    « Entre la société capitaliste et la société communiste se place la période de transformation révolutionnaire de celle-là en celle-ci. A quoi correspond une période de transition politique, où l’État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat. »
    D'abord, appeler ce développement célèbre de Marx, qui résume toute sa doctrine révolutionnaire, « un seul mot » et même « un petit mot », c'est se moquer du marxisme, c'est le renier entièrement. Il ne faut pas oublier que Kautsky connaît Marx presque par cœur; qu'à en juger par tous ses écrits, il dispose sur son bureau, ou dans sa tête, d'une série de casiers où il a réparti avec soin, pour pouvoir facilement faire usage des citations, tout ce que Marx a écrit. Kautsky ne peut pas ne pas savoir que Marx et Engels, dans leurs lettres aussi bien que dans leurs œuvres imprimées, ont maintes fois, avant et surtout après la Commune, parlé de la dictature du prolétariat. Kautsky ne peut pas ne pas savoir que la formule : « dictature du prolétariat » n'est qu'une énonciation historiquement plus concrète et scientifiquement plus exacte de cette tâche du prolétariat : « briser » la machine d’État bourgeoise, tâche dont Marx et Engels, compte tenu de l'expérience des révolutions de 1848 et plus encore de celle de 1871, ont parlé de 1852 à 1891, soit pendant quarante ans.
    »
    -Lénine, La révolution prolétarienne et le renégat Kautsky, 1918.

    « Une révolution est certainement la chose la plus autoritaire qui soit, c'est l'acte par lequel une fraction de la population impose sa volonté à l'autre au moyen de fusils, de baïonnettes et de canons, moyens autoritaires s'il en est; et le parti victorieux, s'il ne veut pas avoir combattu en vain, doit continuer à dominer avec la terreur que ses armes inspirent aux réactionnaires. La Commune de Paris eu-elle pu se maintenir un seul jour si elle n'avait pas usé de l'autorité d'un peuple en armes contre la bourgeoisie ? Ne faut-il pas, au contraire, la critiquer de ce qu'elle ait fait trop peu usage de son autorité ? »
    -Friedrich Engels, A propos de l’autorité, 1873 ( http://www.reveilcommuniste.fr/article-de-l-autorite-par-friedrich-engels-121303640.html ). Cité par Lénine in La révolution prolétarienne et le renégat Kautsky, 1918.


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    Message par Johnathan R. Razorback Mar 6 Mai - 20:21

    « Nous ne voulons pas de nouveaux mois de mai. Nous sommes prêts à faire face à toute aventure qui emmènerait le pays au désordre, car nous savons le prix que peuvent coûter à la classe ouvrière les actions irréalisables, fébriles ou romantiques. »
    -Georges Séguy, secrétaire général de la CGT et membre du bureau politique du PCF, dans le Monde du 18 mai 1971.

    « Je pose la question : est-ce qu’on va recommencer à nouveau comme en 1968 ? Je réponds non, cela ne doit pas recommencer. »
    -Déclaration en 1973 de Georges Marchais, secrétaire général du PCF, lors des imposantes manifestations lycéennes contre la loi Debré (Michel Debré était ministre de la Défense nationale)


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    Message par Johnathan R. Razorback Lun 19 Mai - 11:48

    "Sur le site thechouan ils avaient répertorié le nombre de toutes les loges francs-maçonniques et à nantes, ils en avaient comptabilisé 9 !!! Cherchez pas d’où vient la chienlit... "
    -Un Internaute d'E&R (source: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Ce-que-souleve-la-jupe-reportage-d-E-R-Nantes-au-lycee-Clemenceau-25404.html).

    Encore plus fort par un autre crétin du même repaire: "Il est temps que les jeunes mâle blancs de France se réveillent et se fassent violence en réaction aux influences féminines et homosexuelles de plus en plus corrosives et étouffantes envers la "race masculine"


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    Message par Johnathan R. Razorback Ven 23 Mai - 15:17

    "Révolution [...] dont Marx et Engels, conjuguant en fait leurs vœux avec ceux de la bourgeoisie versaillaise, souhaitaient au fond l'échec pour assurer l'hégémonie de leur doctrine dans le socialisme naissant."
    -Robert Aron à propos de la Commune de Paris (in Le socialisme français face au marxisme. Source: http://books.google.fr/books?id=GM3DAjJQPM8C&pg=PT107&lpg=PT107&dq=marxisme+mystique&source=bl&ots=sakTwBE-o9&sig=OTLA2vwM6NlhHo9PhfulkGR2brI&hl=fr&sa=X&ei=pZNwU9zmF86S0QW9hYDQDA&ved=0CDoQ6AEwAzgK#v=onepage&q=marxisme%20mystique&f=false ).

    Un manifeste du fascisme à la française:
    "Il est temps de recommencer à combattre, comme le faisaient les syndicalistes d'avant guerre, les formes politiques et les formes socialistes du régime en même temps, car elles sont inséparables. Des politiciens sans scrupules osent aujourd'hui mobiliser les foules des travailleurs pour la défense du régime politique qui permet et nécessite leur asservissement. Il n'est pas inutile de rappeler à ces imposteurs que l'avènement de la Première République a coïncidé avec la loi Le Chapelier qui a livré sans défense les travailleurs à l'exploitation capitaliste ; il n'est inutile de leur rappeler que la Deuxième République est née dans le sang des insurgés de Juin, et la Troisième République, dans le sang de la Commune. Les Blum et les Jouhaux l'ont un peu trop oublié.
    Première, deuxième ou troisième du nom, la République démocratique ne peut être pour nous que la grande ennemie du peuple, le symbole de son oppression séculaire et des massacres qui l'ont assurée. C'est contre cette sanglante idole, c'est contre la
    démocratie capitaliste elle-même, et contre tous les partis qui, vivant d'elle, jusqu'aux communistes, s'en font les défenseurs, qu'il faut mener le combat.
    Démocratie et capitalisme ne sont qu'un seul et même mal : on ne les abattra qu'en même temps. Une nation régénérée, une destinée meilleure, une paix enfin florissante ne peuvent naître que sur leurs ruines."
    -Thierry Maulnier, "Le seul combat possible, Combat, juillet 1936.

    "Une dictature est indispensable à toute révolution, surtout spirituelle, pour neutraliser et fléchir les forces mauvaises."

    "Le libéralisme est le fossoyeur de la liberté."
    -Emmanuel Mounier, cité par Zeev Sternell dans Ni droite ni gauche. L'idéologie fasciste en France, p.620.


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    Message par Johnathan R. Razorback Sam 24 Mai - 14:39

    "Quant au bon peuple, l'instruction " gratuite et obligatoire " l'achèvera. Quand tout le monde pourra lire le petit journal et le figaro, on ne lira pas autre chose, puisque le bourgeois, le monsieur riche ne lit rien de plus. (...)
    Le premier remède serait d'en finir avec le suffrage universel, la honte de l'esprit humain. Tel qu'il est constitué, un seul élément prévaut au détriment de tous les autres : le nombre domine l'esprit, l'instruction, la race et même l'argent, qui vaut mieux que le nombre
    ."
    -Gustave Flaubert, Lettre à George Sand, 8 septembre 1871.

    « Il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu'il soit instruit ; il n'est pas digne de l'être. »
    -Voltaire, « Lettre à d'Amilaville » (19 mars 1766), Œuvres, éd. Hachette, 1862, t. 31, p. 164

    « La race des Nègres est une espèce d’hommes différente de la nôtre [...] on peut dire que si leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est très inférieure. Ils ne sont pas capables d’une grande attention, ils combinent peu et ne paraissent faits ni pour les avantages, ni pour les abus de notre philosophie. Ils sont originaires de cette partie de l’Afrique comme les éléphants et les singes ; ils se croient nés en Guinée pour être vendus aux Blancs et pour les servir. »
    -Voltaire, Essais sur les mœurs et l'esprit des nations (1756), Genève, 1755, t. XVI, pp. 269-270.

    "Quand nous parlons de la sagesse qui a présidé quatre mille ans à la constitution de la Chine, nous ne prétendons pas parler de la populace ; elle est en tout pays uniquement occupée du travail des mains : l’esprit d’une nation réside toujours dans le petit nombre, qui fait travailler le grand, est nourri par lui, et le gouverne. Certainement cet esprit de la nation chinoise est le plus ancien monument de la raison qui soit sur la terre."
    -Voltaire, Essai sur les mœurs et l'esprit des nations.

    "Selon ce qu'a dit Aristote, il y a des hommes naturellement esclaves, c'est-à-dire nés pour la servitude, de même, il y a des peuples dont la nature est de savoir mieux obéir que gouverner."
    -Hugo Grotius, Le Droit de la Guerre et de la Paix, PUF, 1967, p. 100.

    "Je veux rendre toute-puissante l'influence du clergé, parce que je compte sur lui pour propager cette bonne philosophie qui apprend à l'homme qu'il est ici bas pour souffrir et non cette autre philosophie qui dit au contraire à l'homme : " Jouis." "
    -Adolphe Thiers, Commission sur l'instruction primaire de 1849.


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    « La question n’est pas de constater que les gens vivent plus ou moins pauvrement, mais toujours d’une manière qui leur échappe. » -Guy Debord, Critique de la séparation (1961).

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    Message par Johnathan R. Razorback Sam 24 Mai - 14:43

    "Je veux parler de la science prodigieuse de la rééducation de l'homme, qui fait du criminel un homme utile, de l'individu déformé par la société d'hier, par les forces des ténèbres, un homme du monde de demain, un homme selon l'Histoire. L'extraordinaire expérience du canal de la mer Blanche à la Baltique, où des milliers d'hommes et de femmes, les bas-fonds d'une société, ont compris, devant la tâche à accomplir, par l'effet de persuasion d'un petit nombre de tchékistes qui les dirigeaient, leur parlaient, les convainquaient que le temps est venu où un voleur, par exemple, doit se requalifier, dans une autre profession – Cette extraordinaire expérience joue par rapport à la nouvelle science le rôle l'histoire de la pomme qui tombe devant Newton par rapport à la physique. Nous sommes à un moment de l'histoire de l'humanité qui ressemble en quelque chose à la période du passage du singe à l'homme. Nous sommes au moment où une classe nouvelle, le prolétariat, vient d'entreprendre cette tâche historique d'une grandeur sans précédent : la rééducation de l'homme par l'homme".
    -Louis Aragon à propos des bagnes soviétiques, in Pour un réalisme socialiste. Ed Denoël et Steele, Paris, 1935.


    "La France doit à Staline tout ce que, depuis qu'il est à la tête du parti bolchevik, il a fait pour rendre invincible le peuple soviétique, et dans son armée rouge, et dans sa confiance en Staline, l'homme qui disait que gouverner c'est prévoir, et qui a toujours prévu juste… La France doit à Staline son existence de nation pour toutes les raisons que Staline a données aux hommes soviétiques d'aimer la paix, de haïr le fascisme, et particulièrement pour la constitution stalinienne, qui est une de ces raisons, pour lesquelles un grand peuple peut également vivre et mourir. (…)
              Merci à Staline pour ces hommes qui se sont forgés à son exemple, selon sa pensée, la théorie et la pratique stalinienne ! Merci à Staline qui a rendu possible la formation de ces hommes, garants de l'indépendance française, de la volonté de paix de notre peuple,de l'avenir d'une classe ouvrière, la première dans le monde montée à l'assaut du ciel et que l'on ne détournera pas de sa destinée en lui faisant voir trente-six étoiles étrangères, quand elle a de tels hommes à sa tête !
    "
    -Louis Aragon, Les lettres françaises (mars 1953).

    "Staline est le midi, la maturité de l’homme et des peuples."
    -Pablo Neruda.


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    Message par Johnathan R. Razorback Sam 24 Mai - 15:31

    "Les tragédies, les histoires et les contes n'empêchent pas qu'on songe à ces dîmes, attendu qu'un homme de lettres ne doit pas être un sot qui abandonne ses affaires pour barbouiller des choses inutiles."
    -Voltaire, Lettre à d'Argental du 1er février 1764.


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    Message par Johnathan R. Razorback Dim 25 Mai - 11:11

    "Le premier acte par lequel l’Etat se constituera réellement le représentant de toute la société – la prise de possession des moyens de production au nom de la société – sera en même temps son dernier acte comme Etat. Le gouvernement des personnes fait place à l’administration des choses et à la direction des procédés de production."
    -Friedrich Engels.

    Copé démontrant sa haute compréhension du libéralisme:
    "Même la sphère économique doit accepter de ne pas fonctionner uniquement la loi du profit à court terme, parce que, contrairement à ce que nous disent par théorie les économistes libéraux, l'homme n'est pas qu'un agent économique rationnel calculant en temps réel la maximisation de son intérêt, dans un cadre de concurrence pure et parfaite."
    -Jean-François Copé, Manifeste pour une droite décomplexée (cf: https://books.google.fr/books?id=Vkd_x6wrG5QC&pg=PT36&lpg=PT36&dq=manifeste+lib%C3%A9ral&source=bl&ots=qlkcdWBLbu&sig=ujRTOz92DTWFHr136_yOxeX-OpM&hl=fr&sa=X&ei=78ErVcKlBKLB7Ab1xYGAAQ&ved=0CCMQ6AEwATgU#v=onepage&q=manifeste%20lib%C3%A9ral&f=false ).


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    Message par Johnathan R. Razorback Dim 25 Mai - 16:20

    "ARISTOCRATIE. s. f. Sorte de gouvernement politique, où le pouvoir souverain est possedé & exercé par un nombre de personnes les plus considerables. L'Aristocratie est preferable au gouvernement populaire."
    -Dictionnaire de L'Académie française, 1st Edition (1694).

    "La thématique du souverainisme prospère à nouveau aux deux extrêmes, droite et gauche ; et pas seulement.

    Derrière elle réapparaît celle de l’État-nation, le nationalisme n’étant plus qu’à un pas.

    Un retour en grâce qui s’appuie en fait sur le marché de “c’était mieux avant” et du “il n’y a qu’à… faut qu’on…”. Et qui révèle en creux, une fois de plus, l’échec de la construction européenne.
    Mais surtout une tendance qui traduit une sourde inquiétude, et derrière elle, un manque de défi, d’orgueil, de fierté et de confiance en soi pour affronter le monde en progrès.

    S’il fallait au final une seule raison, pour nos enfants, de s’opposer à ces “sirènes souverainistes”, et au retour de l’État-nation, ce serait de se rappeler la phrase de François Mitterrand : “le nationalisme, c’est la guerre”.

    Une fois de plus : vite, plus d’Europe, et mieux d’Europe
    ."
    -Henri J. Nijdam, Le nouvel économiste, Éditorial, 22/10/2015 (cf: http://www.lenouveleconomiste.fr/le-nationalisme-cest-la-guerre-28492/ ).


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    Message par Johnathan R. Razorback Lun 26 Mai - 15:13

    "L'individu doit finir par réaliser que son propre ego n'a aucune importance en comparaison avec l'existence de la nation, que la position de l'individu n'est conditionnée que par les intérêts de la nation dans son ensemble. L'esprit et la volonté de la nation unie valent bien plus que la liberté d'esprit et la volonté individuelle."
    -Adolf Hitler.


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    Message par Johnathan R. Razorback Lun 26 Mai - 21:40

    « Si un parent est propriétaire de son enfant (dans les limites de la non-agression et du Droit de s’en aller), alors il lui est aussi loisible de céder ce Droit de propriété à quelqu’un d’autre. Il peut donner son enfant en adoption ou, par contrat volontaire, vendre les Droits qu’il détient sur lui. Autrement dit, nous devons accepter le fait que le marché libre des enfants connaisse un grand développement dans une société totalement libre. »
    -Murray Rothbard, L’éthique de la liberté.

    « Le marxisme se présente comme unité (de la théorie et de la pratique), comme totalité (reprenant dans l’unité de la praxis la diversité des déterminations humaines et mondaines), et comme universalité (historique et concrète). C’est donc le totalitarisme qui rend le marxisme adéquat à incarner l’essence historique du projet philosophique. »
    -Sylvain Auroux, Barbarie et philosophie, IV, Paris, PUF, 1990.

    « Les Lumières qui suivent Kant sont connues : Feuerbach, Nietzsche [wtf ?], Marx, Freud, entre autres. »
    -Michel Onfray, Traité d'athéologie. Physique de la métaphysique, Paris : Grasset, 2005 ; Introduction, § 5 " L'immense clarté athéologique ".


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    Message par Johnathan R. Razorback Lun 26 Mai - 22:25

    "La terreur sur le chantier, à l'usine, aux lieux de réunion et à l'occasion des meetings, aura toujours un
    plein succès tant qu'une terreur égale ne lui barrera pas la route
    ."

    "La bourgeoisie ayant fait front un nombre incalculable de fois, de la façon la plus maladroite comme la
    plus immorale, contre les exigences des travailleurs même les plus légitimement humaines, sans
    d'ailleurs tirer ni pouvoir espérer un profit quelconque d'une telle attitude, le travailleur honnête s'est
    trouvé lui-même poussé de l'organisation syndicale vers la politique.
    Au début, des millions de travailleurs étaient certainement su fond d'eux-mêmes ennemis de la Social-
    Démocratie, mais leur résistance fut vaincue â maintes reprises, dans des conditions insensées, tandis
    que les partis bourgeois prenaient position contre toute revendication sociale. Ce refus borné de rien
    tenter pour améliorer la condition des ouvriers : refus d'aménager des dispositifs de sécurité sur les
    machines, refus de réglementer le travail des enfants, et de la femme - au moins pendant les mois de
    grossesse de celle-ci - ce refus, dis-je, contribua â pousser les masses dans les filets de la Social-
    Démocratie, qui s'emparait avec reconnaissance de chacun de ces cas révélateurs d'une si pitoyable
    pensée (politique). Jamais les partis bourgeois ne pourront réparer leurs erreurs d'alors. Car, en s'opposant à toutes les réformes sociales, ils ont semé la haine ; et ils ont donné raison en apparence
    aux propres affirmations de l'ennemi mortel du peuple, â savoir que le parti social-démocrate défendait
    seul les intérêts du monde des travailleurs.

    [...] La Social-Démocratie comprit l'énorme importance du mouvement syndical. L'annexant â sa propre
    cause, elle en assura le succès, tandis que la bourgeoisie, faute de s'en être rendu compte, y perdit sa
    position politique ; elle crut en effet que son veto impertinent suffirait â arrêter le développement logique
    de ce mouvement et. â le pousser dans l'illogisme. Or il est absurde et inexact de prétendre que le
    mouvement syndical est, par sa nature même, destructeur de l'idée de patrie. Bien au contraire. Si
    l'activité syndicale se donne comme but d'élever le niveau social d'une classe qui est un des piliers de la
    nation, non seulement elle n'agit pas contre la patrie et l'Etat, mais encore son action est nationale su
    meilleur sens de ce mot. Contribuant à créer les conditions sociales hors desquelles on ne saurait songer
    â une éducation nationale commune, elle mérite bien de la patrie. De même, lorsque s'attaquant aux
    causes physiques et morales de la misère du peuple, elle le guérit de ses plaies sociales et le ramène à
    la santé.

    [...] Il est donc superflu de se demander si l'activité syndicale est indispensable.
    Tant qu'il y aura des employeurs dénués de compréhension sociale ou n’ayant pas le sentiment du droit
    et de la justice, leurs employés, partie intégrante de notre peuple, auront le droit et le devoir de défendre
    les intérêts de la communauté contre l'avidité ou la déraison d'un seul ; car sauvegarder la fidélité et la
    confiance chez le peuple, c'est agir dans l'intérêt de la nation, tout comme sauvegarder sa santé.
    Lorsque d'indignes entrepreneurs se sentent étrangers â la communauté nationale et menacent la santé
    physique et morale d'une classe, leur avidité ou leur insouciance ont une action néfaste sur l'avenir du
    pays.
    Eliminer les causes d'une telle évolution, c'est certainement bien mériter de la nation
    ."

    "Le rôle que jouent les Juifs dans la prostitution et surtout dans la traite des blanches pouvait être étudié à
    Vienne plus aisément que dans toute autre ville de l'Europe occidentale, exception faite peut-être pour les
    ports du sud de la France. Quand on parcourait le soir les rues et ruelles de la Leopoldstadt, on était à
    chaque pas, qu'on le voulût ou non, témoin de scènes qui restèrent ignorées de la majorité du peuple
    allemand jusqu'à ce que la guerre eût fourni aux soldats combattant sur le front oriental l'occasion d'en
    voir ou plus exactement d'être forcés d'en voir de pareilles.
    La première fois que je constatais que c'était le Juif impassible et sans vergogne qui dirigeait de la sorte,
    avec une expérience consommée, cette exploitation révoltante du vice dans la lie de la grande ville, un
    léger frisson me courut dans le dos. Puis la fureur s'empara de moi
    ."

    "Il devint alors clair pour moi que le parti [social-démocrate], dont les simples comparses étaient mes adversaires depuis des
    mois du plus violent combat, se trouvait presque exclusivement, par ses chefs, dans les mains d'un
    peuple étranger ; car un Juif n'est pas un Allemand, je le savais définitivement pour le repos de mon
    esprit
    ."

    "Je crois agir selon l'esprit du Tout-Puissant, notre créateur, car :
    En me défendant contre le Juif, je combats pour défendre l'œuvre du Seigneur
    ."

    "Je commençai à réfléchir. Maintenant, toutes les fois que j'en eus le loisir, je revins au Reichsrat, et
    chaque fois, silencieux et attentif, je regardais le spectacle, j'écoutais les discours - quand ils étaient
    compréhensibles j'étudiais les visages plus ou moins intelligents de ces élus des nations de cet Etat
    lamentable, et je me fis ainsi peu à peu des idées personnelles sur la question. Une année de cette
    observation tranquille me suffit pour modifier ou rejeter complètement mes vues antérieures sur la nature
    de cette institution. Je n'éprouvai plus de révolte intime contre la forme médiocre qu'elle avait prise en
    Autriche ; je m'en prenais maintenant au Parlement lui-même. J'avais jusqu'alors pensé que tout le mal
    venait de ce que le Parlement autrichien n'avait pas de majorité allemande ; j'estimais aujourd'hui qu'il
    fallait le chercher dans la forme et la nature de l'institution elle-même
    ."

    "Dans l'Europe occidentale actuelle, la démocratie est le précurseur du marxisme, que l'on ne pourrait
    concevoir sans elle. Elle est pour cette peste mondiale le terrain de culture, sur lequel peut se propager
    l'épidémie. Et elle trouve son expression dans le parlementarisme avorton chez qui toute étincelle divine
    a malheureusement cessé d'animer la boue dont il est pétri.
    "
    -Adolph Hitler, Mein Kampf (1924-1925). Source: http://nsl-archiv.com/Buecher/Fremde-Sprachen/Hitler,%20Adolf%20-%20Mein%20Kampf%20-%20Mon%20Combat%20(FR,%20354%20S.,%20Text).pdf

    "Dans leur ardeur à redresser l'économie mondiale -et à multiplier leurs profits- les banquiers, seuls répartiteurs des crédits avaient dépassé d'un bon tiers les facultés d'épargne du peuple américain. [...] Mais le gouvernement (en vertu du principe "libéral"), n'avait pas à intervenir."

    "La surproduction des capitaux a engendré la surproduction des marchandises."

    "Comme toujours, dans les pays régis par l'économie dite "libérale", quand les entreprises privées sont en bénéfices, elles repoussent toutes les interventions de l'Etat, mais quand elles sont en perte, elles ne manquent jamais de l'appeler au secours."

    "Le "secret des affaires" est le principe même de l'économie libérale."

    "Le Maréchal [Pétain] qui "hait les mensonges qui nous ont fait tant de mal", a discrètement prononcé la déchéance de l'or. Dans son message du 11 octobre 1940, il a déclaré que l'or "ne serait plus affecté qu'à la garantie des règlements extérieurs", et il l'a exclu définitivement de la circulation intérieure "qui se mesurera aux nécessités de la production".
    Plus crûment, en 1933, le Président Roosevelt qui venait de dévaluer le dollar de 40%, écrivait dans son message à la fameuse Conférence monétaire de Londres: "L'or est un vieux fétiche" (il est vrai que c'était au temps où l'homme du New Deal n'était pas encore réconcilié avec les trusts)
    "

    "Voici que l'Angleterre et son "brillant second", la France, prennent ombrage du relèvement de l'Allemagne et finalement lui déclarent la guerre."

    "A la place de l'étalon-or, instrument de concurrence inhumaine, il convient d'en établir un autre. Il devra remplir deux conditions:
    a) libérer les producteurs (ouvriers et patrons) de la concurrence des pays exotiques, au niveau de vie trop bas, en limitant son usage aux hommes de même race, vivant sous le même climat, ayant même civilisation et mêmes besoins, et donc des niveaux de vie facilement ajustables ;
    b) établir entre Européens une commune mesure telle qu'elle détermine un rapport stable entre l'heure de travail, le produit qu'elle crée et les produits qui servent à son entretien.
    Ce sera, si l'on veut l'étalon-travail ou l'étalon du Producteur
    ."

    "Remettre à l'Etat ce privilège que se sont attribué les banquiers privés, d'émettre à leur gré des titres de sociétés sans autre guide que leur caprice et leur profit."

    "L'Etat, seul organe qualifié de l'intérêt général."

    "Sous le couvert de la Démocratie parlementaire s'était instauré finalement le gouvernement d'une oligarchie financière irresponsable et sans contrôle."

    "L'étalon-or universel fonctionnait comme un frein au progrès social."
    -Francis Delaisi, La Révolution européenne.


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    Message par Johnathan R. Razorback Mar 27 Mai - 16:45

    "Le Front National sait parfaitement qui sont les Banksters sataniste illuminati."
    -Un internaute d'E&R (source: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Europeennes-Un-choc-un-seisme-25456.html ).

    Son voisin bave quant à lui:
    "Si le FN était vraiment un danger pour l’establishment il serait déclaré hors la loi, ils en ont les moyens.
    Je partage les doutes d’Alain Soral à l’égard de ce parti. Ce n’est qu’un pis-aller.
    Maintenant, si vous voulez vraiment faire quelque chose, levez votre cul, éteignez votre ordinateur, prenez une arme et allez en découdre dans la rue, au prix de votre vie. C’est comme ça que se font les révolutions et les changements, dans le sang et la violence
    ."


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    Message par Johnathan R. Razorback Dim 8 Juin - 15:46

    "Le jour où un haut militaire comprendra, une bonne fois, que la démocratie et l'armée sont deux conceptions et institutions incompatibles, ce jour-là sera beau et brillant."
    -Léon Daudet, Les idées en armes.

    Le socialisme a encore frappé: https://cdn.discordapp.com/attachments/676928181143470091/692798507324538880/91024854_2560322010859183_2661884300424642560_n.png



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    « La question n’est pas de constater que les gens vivent plus ou moins pauvrement, mais toujours d’une manière qui leur échappe. » -Guy Debord, Critique de la séparation (1961).

    « Rien de grand ne s’est jamais accompli dans le monde sans passion. » -Hegel, La Raison dans l'Histoire.

    « Mais parfois le plus clair regard aime aussi l’ombre. » -Friedrich Hölderlin, "Pain et Vin".

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    Message par Johnathan R. Razorback Dim 8 Juin - 16:09

    « En dehors de l'État, rien de ce qui est humain ou spirituel n'a une valeur quelconque. »
    -Benito Mussolini.

    "La France et l'Etat se confondant, il ne saurait y avoir de philosophie politique française qu'étatiste."
    -Oriane Borja (cf: https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xfa1/t31.0-8/10535648_1577646639126730_8067612759535140864_o.jpg ).


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    Message par Johnathan R. Razorback Jeu 12 Juin - 7:58

    "La Révolution de 1917 a rapidement buté sur le fait que le peuple russe avait besoin à la tête de l’Etat d’une figure symbolique toute-puissante, à la fois paternelle et terrible."
    -"Descartes". Source: http://descartes.over-blog.fr/2014/06/le-mille-feuilles-un-gateau-qui-n-est-pas-a-la-portee-de-n-importe-quel-patissier.html

    "Le protectionnisme est officiellement considéré par les élites occidentales comme une doctrine dépassée, néfaste économiquement et politiquement. Toute protection, même partielle, des marchés nationaux empêcherait la concurrence et mènerait à la stagnation, privant la planète de spécialisations bénéfiques à tous. Obliger chaque pays à fabriquer ce qui peut être produit ailleurs, à moindre coût, serait faire baisser la productivité et le niveau de vie moyens du globe. Le rétablissement des droits de douanes conduirait au déchaînement des nationalismes et à la guerre. Selon les idéologues du libre-échange, le protectionnisme fut au cœur des problèmes du premier XXème siècle. Et voici donc Méline responsable de la faiblesse de la croissance française avant 1945 tandis que les réflexes autarciques engendrés par la crise de 1929 sont identifiés comme l'une des causes principes de la Seconde Guerre mondiale. Les dirigeants politiques occidentaux célèbrent en cœur le libre-échange et ses bienfaits, utilisant pour ce faire un bagage intellectuel minimal, en général quelques pages mal digérées de Smith et de Ricardo sur les avantages, absolus ou comparatifs, du commerce international, avec une préférence marquée pour l'exemple ricardien, totalement archaïque, d'un Portugal échangeant son vin contre du textile venu de Grande-Bretagne. Cette pseudo-culture économique est pleine de malice puisque le Portugal a très visiblement été maintenu dans le sous-développement par deux siècles de commerce avec la Grande-Bretagne, pendant que cette dernière, paralysée par son dogme libre-échangiste, s'interdisait de réagir aux nouvelles concurrences américaine ou allemande, définissant ainsi une voie originale vers le sous-développement relatif."
    -Emmanuel Todd, L'illusion économique, 1997.

    Tocqueville justifiant la colonisation...
    "Il nous importe beaucoup sans doute de ne pas laisser les Arabes livrés à l'anarchie."
    -Tocqueville, Deuxième lettre sur l'Algérie (1837).

    "Derrière chaque grande fortune, il y a un grand crime."
    -Honoré de Balzac.


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