-François Mitterrand, Ma Part de vérité.
"C'est injuste de juger les gens sur des erreurs qui s'expliquent dans l'atmosphère de l'époque."
-François Mitterrand, cité par P. Péan in Une jeunesse française.
"L'admiration méritée par Mussolini ne se discute pas."
-Le Colonel de La Rocque, Service public.
"Une autre grave erreur de notre enseignement public, c'est qu'il était une école d'individualisme. Je veux dire qu'il considérait l'individu comme la seule réalité authentique et en quelque sorte absolue.
La vérité c'est que l'individu n'existe que pour la famille, la société, la patrie dont il reçoit, avec la vie, tous les moyens de vivre.
Il est aisé de le constater d'ailleurs. Les époques où l'individualisme a fait loi sont celles qui comptent le moins d'individualités véritables. Nous venons d'en faire la cruelle expérience.
C'était une grande pitié de voir, jusqu'à la veille de la guerre, nos journaux et nos revues tout plein d'éloges de l'individualisme français, qui est exactement ce dont nous avons failli mourir.
[...] L'école française de demain enseignera avec le respect de la personne humaine, la famille, la société, la patrie. Elle ne prétendra plus à la neutralité. La vie n'est pas neutre ; elle consiste à prendre parti hardiment. Il n'y a pas de neutralité possible entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal, entre la santé et la maladie, entre l'ordre et le désordre, entre la France et l'Anti-France."
-Philippe Pétain, "La réforme de l'Éducation nationale, La Revue des deux mondes, 15 août 1940.
"Devant la faillite universelle de l'économie libérale, presque tous les peuples se sont engagés dans la voie d'une économie nouvelle. Nous devons nous y engager à notre tour et, par notre énergie et notre foi, regagner le temps perdu. Deux principes essentiels nous guideront : l'économie doit être organisée et contrôlée. La coordination par l'État des activités privées doit briser la puissance des trusts et leur pouvoir de corruption. Bien loin donc de brider l'initiative individuelle, l'économie doit la libérer de ses entraves actuelles en la subordonnant à l'intérêt national."
-Philippe Pétain, L’ordre nouveau, discours du 11 octobre 1940.
"L'homme du fascisme est un individu qui est nation et patrie, une loi morale unissant les individus et les générations dans une tradition et une mission, supprimant l'instinct de la vie limitée au cercle étroit du plaisir, pour instaurer dans le devoir une vie supérieure, libérée des limites du temps et de l'espace: une vie où l'individu, par l'abnégation de lui-même, par le sacrifice de ses intérêts particuliers, par la mort même, réalise cette existence toute spirituelle qui fait sa valeur d'homme."
"Le fascisme est non seulement un système de gouvernement, mais encore, et avant tout, un système de pensée."
"Le libéralisme niait l'Etat dans l'intérêt de l'individu ; le fascisme réaffirme l'Etat comme la véritable réalité de l'individu."
"Le principe d'après lequel la société n'existe que pour le bien être et la liberté des individus qui na composent ne semble pas être conforme aux plans de la nature."
-Benito Mussolini, Le Fascisme (1929).
Dernière édition par Johnathan R. Razorback le Mer 5 Aoû - 14:53, édité 5 fois